Cette année il y a eu de nombreux baptêmes d’adultes dans l’Eglise catholique officielle, en France.
Deux militants, pardon deux journalistes du Monde – un musulman et un juif (un vrai conte de fées) – réduisent cela à un mimétisme avec l’islam et évoquent la « radicalité » :

Effectivement la jeunesse victime de la société post-soixante-huitarde a besoin de cadre et de sens, et la radicalité n’a rien de mauvais en soi : il y a bien sûr une saine radicalité, une radicalité dans le bien, dans l’amour, dans la vérité.
Mais quand les gradés du système politico-médiatique parlent de « radicalité », c’est toujours avec une connotation négative : par exemple un musulman qui, au nom d’Allah, décapite un beau matin son voisin, a été victime de « radicalisation ». Le choix du mot est donc un acte peu bienveillant de leur part.

Cela dit, le Christ a prévenu :
« Heureux serez-vous, lorsqu’on vous insultera, qu’on vous persécutera, et qu’on dira faussement toute sorte de mal contre vous, à cause de moi. Réjouissez-vous et soyez dans l’allégresse, parce que votre récompense est grande dans les cieux ; car c’est ainsi qu’ils ont persécuté les prophètes qui ont été avant vous. » (Matt 5, 11-12)