9 mars 1974 : le soldat japonais Onoda se rend, 30 ans après la fin de la guerre

Un résumé de l’incroyable histoire du soldat Onoda :

Après trente ans passés dans la jungle, le soldat Onoda est enfin sauvé. Trente ans à lutter contre un ennemi imaginaire sur l’île de Lubang, aux Philippines. Trente ans à survivre de bananes et de racines. Trente ans à attendre patiemment l’ordre de déposer les armes. Car pour ce soldat japonais de la vieille école, seul celui qui lui a confié sa mission en 1944 peut l’interrompre. Qu’on le menace de lui balancer une bombe atomique sur la figure ne le ferait pas vaciller dans sa résolution. Il faut donc que le 9 mars 1974, son ancien supérieur, le major Yoshimi Taniguichi, toujours vivant (!), vienne à sa rencontre dans la jungle pour que Hiroo accepte d’arrêter de faire la guerre à l’Amérique.

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Merci à Tanguy

13 commentaires concernant l'article “9 mars 1974 : le soldat japonais Onoda se rend, 30 ans après la fin de la guerre”

  1. Des français …?…En 1984, j’en ai vu un en WESTPHALIE, un ancien d’un bauern kommando, et bien , il occupait toujours la ferme qu’il avait « conquise  » en aout 40. Il avait meme fait des prisonniers: la fermière et plusieurs lardons. il ne semblait pas du tout décidé à abandonner le terrain gagné sur l’ennemi, et personne ne s’est trouvé disponible pour lui dire de rentrer en FRANCE. Bon il faut dire ,aussi qu’il ne parlait plus français , et n’était pas retourné au pays depuis mai 40.Mais l’absence ne lui pesait pas trop, pas de nostalgie…Un rude guerrier ! Respect !

  2. Des guerriers japonais retrouvés aux Phillipines en 2005.

    Yoshio yamakawa 87 ans.

    Tsuzuki Nakauchi 85 ans

    L’un d’entre eux a timidement demandé à un officiel japonais s’il pouvait demander une autorisation de rentrer chez lui auprès de l’armée japonaise car il avait peur d’etre fusillé en rentrant .

    La guérilla islamiste locale savait qu’il vivaient tranquillement sur place et le pire c’est qu’il avaient des armes chez eux…

    En fait il y a eu des rapts de femmes et certain on fait souche sur place.

    En 1837 plusieurs milliers de français vivait à moscou aucun ne voulait rentrer car au bout de quelques années ils étaient résignés et prennaient des femmes sur place.

  3. @super cassecouille
    des français, entre autres…Il y en avait en Russie après 1990 .c’étaient d’anciens prisonniers de guerre et déportés – libérés -par l’Armée rouge,et qui n’ont jamais été rendus à la France.La Russie, comme beaucoup de pays slaves, distingue la nationalité de la citoyenneté. Ces gens vivaient, travaillaient, avaient une famille en Russie.Ils détenaient des passeportslibellés: « citoyen soviétique de nationalité française »….Comme un ukrainien avait un pass.:  » citoyen soviétique de nationalité ukrainienne »

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