Jérémy Roze, étudiant en pharmacie, fut tué à coups de couteaux dans le quartier Saint-Michel à Toulouse, le 26 février 2011.
Les enquêteurs ont eu des difficultés à déterminer le motif de l’assassinat : en effet rien ne fut volé à Jérémy Roze et le cas du crime crapuleux était donc exclu.
Comme d’habitude, on trouvera des excuses aux deux assassins, Icham Ouaki, âgé aujourd’hui de 22 ans, et Driss Arab, âgé lui de 24 ans ; elles sont toujours les mêmes, troubles psychologiques, enfances difficiles, ou bien encore « misère sociale ». Toutes ces élucubrations n’ont qu’un objectif, éviter le sujet qui fâche, celui dont personne ne veut parler : le racisme anti-blanc de plus en plus fréquent et dramatique en France.
La nuit du meurtre, les deux monstres ont agressé plusieurs personnes, toutes de même profil. Selon leurs termes, ils souhaitaient « se faire un yankee », un mot qui précéda « babtou » et « boloss » et les englobe. L’enquêteur de la sûreté départementale traduisit cela par « petit étudiant européen ». Le motif du meurtre est donc clairement raciste, les deux hommes ont mené une chasse aux Blancs dans les rues de Toulouse, par pure haine.
Jérémy Roze n’aura pas de cortège officiel pour honorer sa mémoire, pas de déplacement de politiciens, etc.
Pas plus qu’il n’y en avait eu pour la victime du terrible viol collectif raciste d’Évry, qui n’avait pas suscité les cris d’orfraie des féministes ou anti-racistes subventionnés. Libération, Le Monde, L’Express, Le Point, pourtant habitués de l’indignation, n’en avaient pas fait leurs gros titres, ni même leurs entrefilets.
Les Français sont seuls face à la racaille étrangère et face à l’Etat. Ils doivent s’organiser.