[MAJ : Renaud Camus condamné] Pour le commissaire politique Frédéric Potier (DILCRAH), évoquer le Grand Remplacement, c’est de la « haine », donc répréhensible par la justice

M-à-j. 17 janvier : les juges ont fait le travail que le Régime attendait d’eux. Renaud Camus a été reconnu coupable d’« incitation à la haine et à la violence », pour des propos aussi banals que « l’immigration est devenue invasion », à deux mois de prison avec sursis et 1800 € de « dédommagement et frais » à chacune des officines de délation remplacistes (jugement complet visible ici). C’est très grave.

L’écrivain (1) et militant politique Renaud Camus comparaissait ce jeudi, devant le tribunal correctionnel d’Auch, pour « incitation à la haine raciale et à la violence ». Il était jugé pour des tweets et des vidéos publiées sur Internet, en 2017 et 2018.
La Dépêche relate : « Une phrase a notamment été au cœur des débats : « S’il n’y a d’alternative que la soumission ou la guerre, la guerre cent fois », la présidente du tribunal Cécile Delazzari interrogeant longuement le prévenu quant à savoir s’il n’y voyait pas un appel à la violence. Ce dernier se bornera à dire qu’il s’agit d’un « appel politique ». Elle lui rétorque qu’elle y voit un « appel aux armes ». »

La République va-t-elle déboulonner les statues de De Gaulle ?!

Mais attardons-nous plutôt sur les propos, très graves et très révélateurs de sa méthode, de Frédéric Potier.
Préfet, ce zélé serviteur du Régime est délégué interministériel à la lutte contre le racisme, l’antisémitisme et la haine anti-LGBT (DILCRAH).
La DILCRAH est un énième (mais public cette fois, au budget de 100 millions d’euros par an !) organisme de traque des propos politiquement incorrects.
Elle s’évertue donc à traîner devant les tribunaux les Français qui n’appliquent pas bien l’idéologie cosmopolite du Régime, pour les y saigner financièrement et les détruire socialement, en vue de maintenir une terreur intellectuelle sur la France.
Bref, Potier est une sorte de super commissaire politique.
Voici ce que déclare ce préfet – qui s’est déplacé pour l’occasion – à La Dépêche (2e partie de la video) :

En substance, il décrète que critiquer l’immigration de masse (et même « de remplacement » désormais) c’est de la haine, et c’est donc interdit (et punissable).
Sous le prétexte (avancé de façon perverse et hypocrite) de l’amour, on détruit complètement la liberté d’exprimer la réalité et l’on établit un totalitarisme brutal, dont les conséquences seront l’anéantissement du peuple français autochtone.
Le sursaut est d’une urgence nécessité et doit être massif.
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Notes :
(1) Renaud Camus est un grand écrivain et si l’on peut lire ses essais politiques et sa série « Demeures » par exemple, en revanche, ses journaux annuels contiennent des passages moralement scandaleux.