USA : mensonges et manipulations autour de l’histoire de Ferguson

Ferguson

Depuis quelques jours, des faits divers américains servent la propagande raciale de tous les pourfendeurs de l’amalgame.

Deux délinquants noirs ont été tués par un policier, les blancs sont racistes. On connaît la musique, mais l’instrumentalisation de ces faits est devenue internationale jusqu’à notre indépendantiste guyanaise nationale Christiane Taubira qui n’a pu s’empêcher de venir pleurer sur une décision de justice américaine (celle de ne pas poursuivre le policier Darren Wilson après la mort du jeune Michael Brown à Ferguson), elle qui n’a jamais un mot pour les multiples victimes Française de la racaille immigrée.

Qu’en est-il vraiment ?

 Premier cas, Michael Brown

Ce jeune noir et délinquant notoire a été tué à Ferguson par un policier blanc, Darren Wilson. La presse affirmait qu’il était désarmé et qu’il allait se rendre, le policier affirmait qu’il avait tenté de lui voler son arme et recommençait à attaquer quand il a tiré. Le rapport d’autopsie a donné raison au policier, quelques témoignages de personnes noires (sous anonymat tant elles avaient peur des représailles) devant le Grand Jury le confirment également.

Ce dernier a donc décidé de ne pas poursuivre le policier. Aucune problématique raciale, si ce n’est dans l’instrumentalisation politique et dans les slogans anti-blancs hurlés dans les rues de Ferguson depuis.

Deuxième cas, Eric Garner

Cet homme noir de 43 ans a été tué à New-York par un policier blanc, Pantaleo. Une vidéo d’un ami de Garner a montré la scène : Garner, qui pesaient quelques 180 kilos, était confronté à la police pour avoir vendu illégalement des cigarettes. La vidéo montre Garner résister à la police avant que Pantaleo ne l’attrape par derrière et lui passe son bras autour du cou. Trois officiers l’ont tenu, lui ordonnant de mettre ses mains derrière la tête.

Garner a alors affirmé qu’il ne pouvait plus respirer. Aucun témoin n’a alors cru que Garner était en danger de mort. Il est pourtant mort 5 minutes plus tard. L’autopsie a rapporté qu’il était mort à cause de son asthme, de son obésité et de ses problèmes de cœur.

Mercredi dernier, un Grand Jury de New York a donc refusé de poursuivre le policier. Quand bien même la police aurait usé de force excessive contre Garner, ce qui n’est pas impossible, cela ne voudrait toujours pas dire qu’elle l’ait fait pour des raisons raciales.

Obama et le maire de New-York se sont pourtant empressés de fustiger malhonnêtement le racisme des Américains… soutenus par toute la grande presse du pays.

Mort d’un blanc, silence des médias et des politiques

En revanche, le 30 novembre dernier, on apprenait la mort d’un jeune américain blanc de 32 ans, Zemir Begic, tué par quatre adolescents noirs et hispaniques qui l’avaient battu à mort avec des marteaux.
Comme pour la mort du policier blanc originaire de Virginie, le capitaine Kevin Quick, tué par les membres d’un gang noir, les médias ont tu la mort de ce jeune homme, trop préoccupés par leur rôle de porte-paroles de la cause des manifestants de Ferguson.
Selon Fox News, Begic a été tué à Bevo Mill, à quelques 30 kilomètres de Ferguson. Mais les autorités de la région affirment que le meurtre de ce jeune Zemir Begic n’a aucune motivation raciale.

Trois des quatre suspects ont été arrêtés… Aucun média n’a jugé bon de couvrir l’événement. Pourtant, cette fois-là, le crime racial pourrait bien être réel.