Prison : « On n’est pas des surveillants mais des maîtres d’hôtel ! »

Image d’un clip de rap filmé dans une prison savoyarde

Pour d’autres, « la situation s’enlise ! » Un surveillant, « dans le métier depuis 22 ans », résume sa fonction à celle « d’un maître d’hôtel ! » Parce que selon, lui :

« Il ne faut pas frustrer le détenu alors on ne le restreint pas sur la cantine. Ils ont la télé mais aussi des friteuses, des sorbetières… C’est le détenu qui fait sa loi, ici ! Chaque matin, je ne viens pas pour le réinsérer mais pour le servir ! Certains sont illettrés mais ils font trois heures de musculation par jour et même de la boxe ! C’est une catastrophe et ça fait 22 ans que c’est la galère ! On se doit de leur donner du travail mais ils n’y vont qu’une fois sur deux et ne sont jamais déclassés ! Que m’arriverait-il à moi si je ne venais qu’une fois sur deux ? »

1 commentaire concernant l'article “Prison : « On n’est pas des surveillants mais des maîtres d’hôtel ! »”

  1. Oui les prisons sont des lieux pénibles à fréquenter pour ceux qui dans un geste d’égarement (à l’insu de leur plein gré) ont volé, viole, tué…. Imaginez ces prisonniers ne voient jamais la mer, le sable fin, les sirènes… Certains étaient commerçants ils vendaient des herbes fines et des sentiments…
    Avons nous vocation à enfermer tous ces gens là….les priver de leur gagne pain Non !
    Il faut remédier au problème, nous avons une population carcérale jeune, dynamique une aubaine pour notre pays ! d’autre part des migrants enfermés dans des lieux d’accueil exigus loin de l’avenue Montaigne ou du faubourg St Honoré. Donc je propose que l’on construise des bateaux ultra légers avec comme moyen de propulsion des prisonniers rameurs (la rame est un sport excellent) qui transporteraient tous ces malheureux ver les oasis verdoyants du proche Orient où l’argent coule à flot, opération sportive humanitaire et écologique garantie…. et nous on serait tellement soulagé de les savoir heureux là bas. Franchement un peu d’humanité ne serait pas de trop. Je propose même de récompenser les prisonniers rameurs par un brevet et puis même la liberté… au bout d’une centaine de traversée suivant la peine.

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