Val-d’Oise : Louis 12 ans, harcelé et violé au collège public

Au nom de la sacro-sainte religion du « Progrès » et de l’amour de « l’autre », la discipline la plus élémentaire a été chassée des établissements scolaires. La pédagogie gauchiste qui autorise tous les comportements déviants et ne sanctionne durement que les sacrilèges « aux valeurs de la République », joue un rôle d’accélérant dans cette situation insoutenable pour les jeunes Français. « Ne compte pas sur la douceur pour extirper la violence » disait Soljenitsyne… 

« Qui imaginerait des collégiens de 6e harceler un élève au point de lui infliger agressions sexuelles et viol ? C’est ce qui est arrivé à Louis [Le prénom a été modifié], scolarisé au collège Françoise-Dolto, à Marly-la-Ville (Val-d’Oise). Au paroxysme de cet enfer, il a cherché à mettre fin à ses jours. Il est encore sous traitement et suivi psychologique en raison de tendances suicidaires. Ses parents ne le lâchent pas d’un pas.

Ce grand garçon (1,78 m) de 12 ans aux yeux bleus évoque ces sévices d’une voix calme et timide. « Ils font le jeu de l’olive. On prend quelqu’un et on cherche à lui mettre un doigt dans l’anus», explique-t-il. À plusieurs reprises, ses agresseurs lui ont mis un doigt, un stylo ou un témoin de relais d’athlétisme entre les fesses. L’épisode le plus violent date de juin. «Il était accoudé à une barre en cours de sport, relate Julia [Le prénom a été modifié], sa mère. Un des gamins est arrivé derrière lui et a plongé ses mains jointes dans son derrière.» La doublure de son short est trouée. «Ça a été très douloureux, car très profond. Je saigne encore beaucoup», témoigne-t-il. […]

D’autres agressions surviennent. À nouveau l’établissement est contacté. Les parents préviennent qu’ils porteront plainte la prochaine fois. Leur fils sombre dans le mutisme. Ils comprennent que le harcèlement n’a pas cessé quand Louis évoque les propos qui visent sa sœur. «Ils ont dit qu’ils allaient la sodomiser», indique-t-il. Elle était en CM2 cette année. «Du coup, j’ai très peur parce qu’elle rentre au collège l’année prochaine. Je ne voudrais pas qu’elle subisse ça à cause de moi», ajoute le jeune garçon. »

Le Parisien via FDS