“Tu chouines”, “putain d’assisté”, “loser” : l’humoriste de France Inter, Guillaume Meurice, s’en prend aux commerçants confinés

Guillaume Meurice (à droite) bras dessus bras dessous avec l’extrémiste bolchevique Philippe Poutou.

Dans un torchon d’extrême-gauche radicale, l’humoriste bien-pensant Guillaume Meurice, qui gagne sa vie en crachant son venin sur France Inter, et qui vit donc de l’argent public, s’en prend stupidement et haineusement à la France des travailleurs.
Pour ce communiste, les travailleurs indépendants et commerçants sont des « dominants ». C’est tellement énorme et grossier, qu’on pourrait croire à du second degré. Mais non. Voici ce que pensent réellement ceux que le Service public délègue sur les ondes à la fabrication de l’opinion publique :

« Il se dit de lui-même « grognon » en préambule de partager sur Twitter son billet d’humeur publié dans Sine Mensuel. Mais ce n’est rien à côté des propos qu’il tient dans ce dit billet. Ou plutôt cette diatribe anti-commerçants. Guillaume Meurice, chroniqueur sur France Inter, n’y va pas par quatre chemins. « Je rêve ou tu chouines ? Ton business est en train de couler, alors tu demandes de l’aide à l’Etat ? Ah bon ? », questionne-t-il dans un premier temps de manière avilissante. Puis il continue : « Je croyais que dans la vie, il fallait se débrouiller tout seul. Que quand on veut, on peut. Qu’il ne faut pas donner du poisson, mais apprendre à pêcher, ou je ne sais quelle autre connerie inventer pour justifier ta petite position dominante ». 

Un discours à la limite de la haine où il reproche aux patrons en difficulté actuellement de s’être moqué de ceux qui étaient « au chômage ou à la rue » par le passé, et d’avoir voté pour Fillon ou Macron « contre l’Etat providence que tu conchiais », lance-t-il en utilisant toujours le tutoiement comme pour se rapprocher de son interlocuteur tout en le critiquant.

Guillaume Meurice leur reproche ensuite d’être désormais des « défenseurs de la solidarité nationale » à cause du coronavirus. « Il y a des gènes de marxisme à l’intérieur ? Qu’est-ce qui t’arrive ? Respecte-toi un peu », grogne encore le chroniqueur alors qu’il est lui-même en train de manquer de respect aux commerçants. « Tu ne vas pas devenir un putain d’assisté, tu vas t’en sortir tout seul », lance-t-il aux professionnels confinés, en précisant que s’ils n’y parvenaient pas, ils « crèveraient comme des grands ». 

Une posture très à gauche où il reproche aux patrons, indépendants, etc. d’avoir profité du système et de maintenant se plaindre. « Les huissiers sonnent à ta porte et cette fois-ci, c’est pas toi qui les a appelés pour déloger tes locataires au RSA qui n’avaient plus de quoi payer ton loyer ou pour ta résidence secondaire squattée », fustige-t-il. Un pamphlet où il les compare encore à des « parasites » en précisant qu’il ne leur veut pas de mal. Pourtant, il conclut comme il a commencé, avec beaucoup de condescendance : « Ciao loser ». Habitué des moqueries ou de billets d’humeur ciblés, Guillaume Meurice a toujours eu une certaine liberté de parole. Est-il allé trop loin cette fois-ci ?  » (source Valeurs actuelles)

On sent bien que cet énergumène ne connait pas son sujet. Pour ce communiste bas du front, si l’on n’est pas fonctionnaire ou salarié syndiqué, on est suspect. Et on est forcément un bourgeois, probablement fortuné, et certainement pas marxiste.
Cet idiot n’a pas l’air de savoir que ce que les commerçants réclament, ce n’est pas d’abord que l’Etat les aide, mais plutôt qu’il les laisse travailler et vivre dignement de leur gagne-pain ! Au lieu de les persécuter sous des prétextes absurdes (car un commerce propre et aéré est infiniment moins insalubre qu’un métro rempli).
Par ailleurs, il ne serait pas scandaleux que les commerçants touchent une aide de l’État si celui-ci les oblige à fermer, dans la mesure où ils payent énormément d’impôts, surtout s’ils emploient du monde.

Mais Meurice attend le moment où ils sont à l’agonie, à cause d’une politique quasi-communiste justement, pour leur vomir dessus.

La pensée qu’ose exprimer ce type, qui ne vit que de la « charité » (forcée) du peuple et qui lui crache dessus, est ignoble.