Avenir de l’église Saint-Eloi de Vierzon : entre centre d’avortements et siège du parti communiste…

A Vierzon, l’église Saint-Eloi continue à faire parler d’elle : le député-maire Front de gauche, Nicolas Sansu, s’oppose au rachat de l’église Saint-Éloi par la confrérie Saint-Eloi, qu’il juge en effet tenir un discours discriminatoire envers les musulmans dans son appel aux dons. « Je dis à tous ceux qui leur donnent de l’argent qu’ils vont le perdre ! Car je ne laisserai pas la confrérie racheter l’église« , s’exclame-t-il avant de poursuivre : « Je n’accepte pas que l’on mette en péril le vivre-ensemble dans la ville (…).Nous ferons jouer notre droit de préemption urbain« .

Mais monsieur le maire est généreux et pense à l’avenir de l’église : tout en affirmant vouloir aider les musulmans à trouver un autre local, il envisage de racheter l’église…pour y installer la section locale du parti communiste, ou bien pour en faire un centre IVG !

Manifestement, le maire n’a pas la même bienveillance envers les musulmans et envers les catholiques : il s’inquiète de reloger les premiers afin de mettre à leur disposition un nouveau lieu de prière, et s’empresse de vouloir faire du lieu de culte des autres une antichambre de l’enfer !

Tout un symbole : un diocèse français s’apprête à vendre une église… à des musulmans.

De nombreuses églises restent désormais vides le dimanche, victimes de la déchristianisation à laquelle a d’ailleurs contribué une bonne partie du clergé français, avec sa nouvelle approche de la religion et ses lubies gauchisantes.

Mais ça ne suffit pas à certains évêques : il faut encore parfois qu’ils facilitent l’installation de la nouvelle religion.

Ainsi, on apprend que dans le Cher, à Vierzon, l’église Saint-Eloi a été mise en vente au prix de 170 000 €, et qu’une association marocaine a pris contact avec la paroisse. Leur objectif : transformer l’église en mosquée.
Il est vrai que le bâtiment est « situé dans un quartier qui a vécu de grands bouleversements démographiques » comme le dit pudiquement Le Berry.