Sarkozy en garde à vue

Nicolas Sarkozy on visit in BordeauxBygmalion, Buisson, Bettencourt, les écoutes, les sondages de l’Elysée… et maintenant, une première : un ancien chef d’Etat en garde à vue. Sarkozy est depuis quelques temps déjà dans la ligne de mire, le voilà derrière les barreaux.
Il est arrivé dans les locaux de la PJ de Nanterre peu après 8 heures ce matin et a immédiatement été mis en garde à vue dans l’affaires des écoutes, pour trafic d’influence présumé.

Les gardes à vue de son avocat, maître Herzog et de deux autres magistrats (Gilbert Azibert, ex-avocat général à la chambre civile de la Cour de cassation, et Patrick Sassoust, qui tient les mêmes fonctions à la chambre criminelle de cette haute juridiction) qui duraient depuis lundi ont été prolongées.

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26 mai 2013 : l’UMP participera pour canaliser la révolte populaire

Activités quotidiennes des policiers auxiliaires de la Police nationale à Paris et à Sens.

Quoi de mieux qu’un parti politique pour canaliser les protestataires de la manifestation de dimanche prochain ? Rien selon la gauche… D’ailleurs Copé l’a déjà annoncé, ce sera la dernière manif de l’UMP contre la loi Taubira.

Lu sur le Figaro :

A gauche, si l’on critique la «tentative de récupération du mouvement par l’UMP», on espère toutefois que l’opposition parviendra à canaliser la colère du peuple de droite. Après tout, ce serait la première fois en trente ans qu’il descend dans la rue sans obtenir satisfaction. La dernière fois que la droite est descendue dans la rue remonte à 1984 pour défendre les écoles libres face au projet de François Mitterrand de les intégrer dans un grand service public. C’est ainsi que malgré ses critiques, la gauche ne verrait pas d’un mauvais œil la droite réussir à prendre la main en proposant une alternative. «Le meilleur moyen de tuer un mouvement social, c’est qu’un parti politique en prenne la tête. En revanche, après, il est tout à fait logique d’offrir une continuité politique pour faire descendre la pression», explique un socialiste. Ce sera aussi l’enjeu de la journée de dimanche.

Catholiques et patriotes de France, ne tombons pas dans le piège tendu par République.

Fidèles à leurs habitudes, des députés UMP trahissent leur combat

Répondant au président de l’UMP, Jean-François Copé, qui la semaine dernière a appelé les militants à défiler en masse le 26 mai contre le mariage gay et la politique du gouvernement, François Baroin, député maire de Troyes, ainsi que Dominique Bussereau, président du conseil général de la Charente-Maritime, ont estimé «peu républicain» d’appeler à défiler après un vote. Surtout pour des élus.

Comme une impression de déjà vu. Après s’être opposé au projet de loi, on s’y rallie, et demain on propose de l’améliorer. Mais au nom de quoi ces députés UMP se sont-ils opposés au projet de loi ? Au nom de l’intérêt de l’enfant ? Et cet intérêt supérieur de l’enfant ne serait-il lui-même plus digne d’intérêt depuis hier ? Ne subsisterait-t-il plus au lendemain du vote de la loi ?

A vouloir placer la loi au dessus de l’éthique, monsieur Baroin fait de l’arbitraire du législateur le critère de discernement le plus élevé. De quoi nous rappeler les z’heures-les-plus-sombres-de-notre-histoire…

« Mariage » homo : que ferait demain l’UMP au pouvoir ?

On se souvient que Nicolas Sarkozy et son gouvernement, durant le dernier quinquennat, n’ont jamais abrogé les 35 heures. Que la PACS, auquel la droite parlementaire était opposé lors de sa discussion à l’assemblée nationale, n’avait pas davantage fait l’objet d’une abrogation : mieux, Sarkozy voulait l’améliorer. En bref, toutes les lois que la gauche fait passer, et qui ont un temps suscité l’opposition de la droite, finissent au mieux dans l’indifférence de la droite qui compose avec. Au pire, elle finissent par rentrer dans le logiciel de la droite qui veut poursuivre plus avant, dans la même direction.

La droite est simplement en retard sur la gauche, car à la vérité elle n’ose pas s’opposer intellectuellement au « progressisme » de la gauche. Incapable de s’émanciper de la domination culturelle de son adversaire, la droite a rendu les armes.

Pour preuves, quelques déclarations de responsables de l’UMP à propos du « mariage » homosexuel, dans le cas où leur formation reviendrait au pouvoir :

Jean-François Copé, président de l’UMP, promet uniquement de revenir sur l’adoption pour les couples homosexuels : « On reviendra sur toute la partie adoption.(…) nous préconiserons une modification de la loi« .

Même son de cloche chez François Fillon : « Si nous revenons au pouvoir, nous réécrirons ce texte sur la question de l’adoption, la PMA et naturellement, nous rendrons totalement impossible la GPA« .

Pierre Lellouche, proche de François Fillon : « C’est absurde de se lier les mains. Les gens seront mariés, les enfants auront un état civil, et on reviendrait sur tout ça ? Moi, je ne sais pas faire! En plus, ce n’est pas sur ce sujet que les gens nous attendrons, mais sur l’économie, alors ne faisons pas de la question du mariage gay l’alpha et l’oméga de notre projet politique! »

Luc Chatel, l’ancien ministre de l’Education nationale qui a introduit l’idéologie du gender dans les programmes scolaires : « Je ne suis pas favorable à l’idée de revenir sur ce texte une fois au pouvoir. J’ai voté contre à cause de l’adoption, mais j’étais pour une avancée des droits des couples homosexuels (…) On se concentre trop sur la question du mariage pour tous« .

C’est assez clair, non ?

La gauche la plus bête du monde !

Prenant la parole pour répondre à une collègue écologiste, le sénateur UMP Bruno Retailleau a déclaré hier, dans l’hémicycle : « Nous n’avons pas la même couleur politique. D’autres couleurs non plus d’ailleurs, mais on peut s’entendre ». Qu’est-ce qu’il n’avait pas dit !

Depuis, la gauche dénonce un « dérapage ». Encore que pour déraper, il faut sortir d’un sentier balisé…reste à savoir qui met les balises. Mais la gauche moralisatrice à l’habitude de se prendre elle-même pour la mesure du bien et du mal, et c’est toujours à l’aune de son nombril qu’elle juge ce qu’il est autorisé de dire et ce qui ne l’est pas.

En l’état, le sénateur UMP est accusé du crime inexpiable de « racisme » ! Évoquer « d’autres couleurs » que la couleur politique, vous pensez… C’est très suggestif, hein ? Sauf que la sénatrice écologiste est blanche, comme monsieur Retailleau. Et que la seule couleur qui jure un peu chez cette dame, c’est la couleur de ses cheveux, teints en rouge ! Auxquels il faisait manifestement allusion…

Comme quoi, la gauche est très sensible au réflexe pavlovien. Quand elle entend le mot « couleur« , elle salive et elle sort du bois. Ne cherchez pas, c’est un comportement totalement irrationnel. Enfin, il faut bien faire feu de tout bois pour disqualifier son adversaire politique…

UMP : une proposition de loi en faveur de l’obligation du vote a été déposée

En plein débat sur le « mariage » homo, une proposition de loi vient d’être déposée par dix députés UMP, le 6 février dernier, afin de rendre le vote obligatoire en France.

Cette proposition de loi propose donc de sanctionner les abstentionnistes par une amende à hauteur de 15 euros, et même 45 euros en cas de récidive « dans les cinq ans« . Les députés UMP à l’origine de la proposition de loi prévoient tout de même des dérogations où les citoyens seraient alors exemptés de cette obligation de vote pourvu qu’ils puissent apporter la « preuve de son impossibilité par procuration« , ou en « cas de force majeure« . Cette proposition, quoiqu’issue de la droite parlementaire, compte déjà un solide soutien à gauche : Claude Bartolone, le président de l’Assemblée nationale, qui s’est déclarait personnellement favorable à l’obligation de voter dès 2012.

Une proposition de loi a un but, selon ses défenseurs : répondre à « la persistance de l’abstention à chaque scrutin« . Nous nous permettons néanmoins d’émettre des réserves sur la méthode qui consiste à rendre, par la contrainte, une démarche aimable et attractive. Curieux procédé. Il eût sans doute été préférable d’user du ressort de la pédagogie : si le vote est bon par nature, il appartient à l’homme public de manifester cette bonté et de susciter dans l’opinion l’attrait du vote. Ou comment changer la contrainte en liberté.

Les députés écrivent en outre : « Si le vote est un droit, il doit être également un devoir en l’honneur et en mémoire de celles et de ceux qui ont versé leur sang pour notre Patrie. » Cela n’est qu’une opinion, voire un dogme tel que l’idée est formulée, sans être davantage étayée. Peut-on contraindre les gens à être libres, si tenté que la liberté du citoyen soit suspendue à son droite de vote ? En attendant, ceux qui ont combattu en versant leur sang pour le régime actuel ont d’abord versé le sang des autres. L’histoire est têtue, comme les faits : il est parfois préférable de ne pas l’invoquer quand elle peut se retourner contre vous…

Le droit de vote est déjà obligatoire dans de nombreux pays, dont certains voisins : la Belgique, le Luxembourg, ou l’Autriche. Plus loin, l’Australie a adopté le principe en 1924. Si jamais cette loi devait passer, espérons que le vote obligatoire aura plus de valeur que le vote non obligatoire : le traité constitutionnel rejeté par les français et adopté par le parlement laisse un goût amer…

Vannes : le bail signé par l’UMP pour une mosquée est rejeté par la justice

A Vannes, la mairie UMP de David Bodo avait signé un bail emphytéotique avec l’Association cultuelle des musulmans de Vannes. Eh bien le 7 décembre dernier, le Tribunal Administratif de Vannes a rejeté ce bail préparé en vue de l’installation d’une mosquée. La mairie avait en effet été poursuivie en justice par la Libre Pensée, laquelle association reprochait au bail d’être une subvention indirecte : car les baux emphytéotiques permettent de mettre des terrains municipaux à disposition pour des loyers souvent symboliques et des durées de 99 ans.

Une maigre victoire face à la lente et imperceptible colonisation musulmane du vieil Occident chrétien. Mais sachant que chaque mosquée érigée sur le territoire français, selon la symbolique musulmane qui ne distingue pas le domaine temporel du domaine spirituel, ni le domaine privé du domaine public, est un territoire conquis politiquement, chaque abandon de mosquée est une victoire française. Il reste que le problème ne sera résolu qu’en amont : tant que l’immigration de masse ne sera pas endiguée et qu’elle sera majoritairement issue des pays du sud de la Méditerranée, l’islamisation de la France se poursuivra inexorablement, et aboutira, à ce rythme, inéluctablement…

Copé attaqué par le Conseil du culte musulman…

Le Conseil français du culte musulman (CFCM) a annoncé hier avoir porté plainte pour diffamation contre Jean-François Copé. Motif ? Les propos que le président de l’UMP, et candidat à sa propre succession, a tenu lors d’un meeting à Draguignan, évoquant le cas d’un jeune garçon qui se serait fait « arracher son pain au chocolat par des voyous » au motif « qu’on ne mange pas au ramadan« . Le CFCM juge en effet que de tels propos alimentent « l’islamophobie ».

Manifestement, le système dévore ses enfants. La « droite » parlementaire, soumise à la domination culturelle de la gauche, incapable de s’émanciper de l’asservissement idéologique de ses adversaires, s’est toujours fait l’écho de l’idéologie gauchisante, en relayant, sous couverts des meilleurs sentiments et de l’universalisme républicain, les anathèmes convenus contre les patriotes attachés à leur race, à leur terre, à l’héritage qu’ils tenaient de leurs pères. Copé semble s’apercevoir néanmoins, à la faveur d’une campagne électorale tout de même, que les Français ne sont pas sensibles aux abstractions philosophiques de 1789, et que la patrie, comme le disait Charette, ils ne l’ont pas dans la tête, mais sous les pieds. Et que leur culture, hé bien ils y tiennent…

Jean de Rouen

François Lebel (UMP), à propos du « mariage » gay : « Comment s’opposer demain à la polygamie en France ? »

François Lebel, maire UMP du 8ème arrondissement de Paris, s’oppose fermement au projet de législation du « mariage » homosexuel. Dans une tribune, déclarant qu’il ne procèdera « personnellement à aucun mariage de cette nature« , il exprime ses craintes à propos « des pires dérives » polygame, pédophile et incestueuse, auxquelles la société sera désormais exposée « si le tabou immémorial du mariage hétérosexuel vient à sauter« .

Paroles fermes, à rebours de l’idéologie destructrice des valeurs et des structures traditionnelles, laquelle domine aujourd’hui l’opinion et les médias, elles valent déjà à son auteur les invectives éculées d’une certaine presse bien pensante : « Un élu UMP dérape sur le mariage homosexuel » titre ainsi Libération. Oui, mais pour constater un dérapage, il faut d’abord admettre l’existence d’un sentier balisé, duquel on se détournerait en dérapant.
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La note financière de la France enfin dégradée.

Sans surprise. Peu après 16 heures, ce vendredi, une source gouvernementale a indiqué que l’agence de notation financière Standard & Poor’s avait bel et bien décidé de « dégrader la France » en lui retirant sa note d’excellence triple A mais qu’elle maintenait en revanche les notations AAA de l’Allemagne, des Pays-Bas et du Luxembourg.

L’énorme dette que la République a contractée va nous coûter encore plus cher désormais. 2 milliards par an selon une estimation de Bercy.
Il y a encore peu de temps, Sarközy et sa clique expliquaient que si la France perdait son triple A, ce serait la catastrophe. Maintenant – magie de la politique – ils nous disent que ce n’est pas si grave.
Les Français vont à nouveau trinquer à la place de l’oligarchie.

Quelques rappels de citations :
« Nous serons là pour conserver ce triple A. C’est une condition nécessaire pour protéger notre modèle social… Nous mettrons tout en oeuvre pour ne pas être dégradés» François Baroin, ministre des Finances (France 2, 18 oct.)
Le triple A « est un atout que nous devons préserver à tout prix.(…) C’est le résultat du travail des Français.» François Fillon, devant l’Assemblée générale des maires (5 nov.)
«Si on perd le triple A, je suis mort.» N. Sarközy à des proches (6 déc.)

L’UMP et le PS unis pour baîllonner les dissidents

Actuellement, il y a un délai de prescription (au-delà duquel la « justice » ne peut plus engager de poursuites) de 3 mois pour les propos « litigieux » (injures, incitations à la violence etc) sur le net et dans les médias.
Sauf, bien sûr, lorsque l’infraction de presse a été commise en raison de « l’origine, l’ethnie, la nation, la race et la religion » ; le délai de prescription est alors d’un an !

Ce 24 novembre, l’Assemblée nationale a adopté à la quasi-unanimité (473 voix contre 4 !) la proposition de loi du député socialiste Catherine Quéré passant aussi le délai de prescription de 3 mois à un an pour les « injures homophobes ».

Fondamentaux républicains en Alsace…

plus précisément à Haguenau (2e ville du Bas-Rhin).

En cette ville d’histoire, autrefois fort belle, la mairie (dirigée par Claude Sturni, proche de l’UMP) entend commémorer le mythe républicain du 14 juillet avec deux jours de festivités.

Au programme (annoncé par l’affiche ci-contre, collée un peu partout), le rappel des valeurs et de la laïcité républicaines bien sûr, avec …
 un « Repas Républicain » (sic) et, comme unique office religieux, une cérémonie à la synagogue !

Nous attendons les réactions des laïcistes professionnels…

[Exclusivité Contre-info.com]

Christian Vanneste contre la liberté d’expression et pour la loi Gayssot

Christian Vanneste (député UMP du Nord en vogue dans certains milieux droitistes et catholiques) affirme dans un entretien au Nouvel Obs, après avoir dénoncé la loi Taubira :

« En revanche, en ce qui concerne la loi Gayssot, je faisais partie de la commission sur les lois mémorielles et j’ai été très sensible aux arguments de monsieur Badinter. […] Celui qui remet en cause la shoah remet en cause le procès de Nuremberg. C’est un argument qui mérite qu’on en tienne compte c’est pour cela que je suis moins enclin à supprimer la loi Gayssot. »

Cette loi liberticide rédigée par le communiste stalinien Gayssot a été votée en 1990 et bien sûr jamais abrogée par les diverses assemblées de droite.
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France d’en haut : 1% de pouvoir d’achat en moins, ce n’est presque rien…

selon Jean-François Copé, secrétaire général de l’UMP.
Celui-ci préconise (dans les colonnes du Parisien), un relèvement du taux de TVA de 1% !
En expliquant : « un point supplémentaire de TVA, ça se voit à peine. »

Source, via le Forum nationaliste