Rare et belle initiative d’Europe 1 de raconter l’histoire de Bruce qui est devenu Brenda suite à la folie d’un médecin

On ne le répétera jamais assez : non seulement la « théorie du genre » est une folie qui ne peut pas fonctionner, mais celle-ci s’avère criminelle, menant les gens au suicide. On se félicitera de l’initiative d’Europe 1, racontant l’histoire d’un garçon -Bruce Reimer, devenu « Brenda », puis David- qu’on a élevé comme une fille et ce depuis l’enfance. Dès l’adolescence, les problèmes ont surgi avant de finir par un suicide, et toute une famille brisée (son frère aussi se suicidera). Malgré ces échecs, les tenants de la théorie du genre, comme Judith Butler, sont présentés comme des scientifiques par les media, alors que ce ne sont que des imposteurs-criminels mal dans leur peau.

Canada. Lors d’un hommage rendu aux victimes d’Orlando, le premier ministre québécois se fait agresser par un militant LGBT

Nous vivons dans une société où des communautés se sentent en permanence persécutées, pourtant (ou parce que ?) surprotégées par des lois spécifiques. Cela mène parfois à des situations cocasses, telle celle qui s’est déroulée à Montréal.

Ainsi, une veillée était organisée en hommage aux victimes d’Orlando, en présence notamment du premier ministre québécois. Jusqu’ici nous n’aurions rien à dire, tant le terrorisme nous répugne et il est normal de rendre hommage à ses victimes. Mais cet acte terroriste est systématiquement présenté comme homophobe, ce qui est beaucoup plus discutable. Ainsi, selon cette logique, les attentats de Bruxelles seraient avionphobes ou métrophobes et qu’en serait-il de l’attentat, par exemple, du Bataclan ? D’autant que l’auteur des faits, Omar Matten, musulman d’origine afghane, serait lui-même homosexuel.

Quoiqu’il en soit, la communuauté LGBT fait tout pour récupérer à son profit cet événement abominable et exige d’être présente à toute commémoration. Les autorités, ne sachant rien lui refuser, obtempèrent et c’est ainsi que lors de l’hommage de Montréal, un certain Esteban Torres, 20 ans, se définissant lui même comme « trans » eut la parole et ce à la même tribune que le premier ministre. Mais, pour des raisons que nous ignorons, (a-t-il pris ombrage de devoir parler après le premier ministre et pas avant ?), il a agressé celui-ci en lui lançant un objet.

Un prof d’une école privée sous contrat change de sexe

Un professeur de sciences physiques dans un lycée privé de la banlieue nantaise a changé de sexe au cours de l’été, selon une information publiée par le quotidien Presse-Océan vendredi et confirmée à l’AFP par la direction diocésaine.

« Vincent » en juin dernier, lors de la sortie des classes, était devenu « Martine » jeudi, pour accueillir les élèves le jour de la rentrée.

Le directeur du lycée Saint-Dominique de Saint-Herblain, Dominique Foucault, a indiqué à Presse-Océan avoir transmis, en lien avec l’Association des parents d’élèves de l’enseignement libre (APEL), un courrier aux parents d’élèves pour les informer de la situation avant la rentrée.

Transexualisme : Roselyne Bachelot ouvre la voie

Le transsexualisme n’est plus une maladie mentale dans notre pays.
La République française est ainsi le premier gouvernement au monde à faire cette démarche par un décret publié, mercredi dernier, au Journal officiel. Ce décret du ministère de la Santé supprime « les troubles précoces de l’identité de genre » d’un article du Code de la Sécurité sociale relatif aux « affections psychiatriques de longue durée ».
Roselyne Bachelot, ministre de la Santé, avait annoncé, le 16 mai 2009, à la veille de la Journée mondiale de la lutte contre l’homophobie et la transphobie, sa volonté de ne plus considérer les transsexuels (50 000 personnes environ) comme des malades psychiatriques.

Les associations transsexuelles sont bien sûr satisfaites, mais elles ont toutefois précisé qu’elles veilleront à ce que les transsexuels français continuent d’être pris en charge par la Sécurité sociale, le transsexualisme pourrait être alors classé comme affection longue durée « hors liste ».
Ce qui veut dire en bref : « On est comme tout le monde, mais on veut que la Sécu continue à payer nos délires! »

L’association Outrans a rappelé que ce changement n’empêche pas pour autant le transsexualisme de rester psychiatrisé. En effet, les trans restent notamment soumis à un suivi psychiatrique, la transphobie n’est toujours pas reconnue comme une discrimination par la Halde, le changement d’identité reste difficile et la stérilisation forcée obligatoire.

Une fois de plus la droite est pire que la gauche. Il serait bon que tous les naifs qui ont voté Sarkozy s’en rendent compte.

Source

Indonésie : une mosquée pour les sodomites

Le journal Le Monde de la semaine dernière raconte l’histoire étonnante d’un salon de coiffure sur l’île de Java, en Indonésie, qui se transforme le soir en lieu de culte musulman pour les homosexuels et les transsexuels.

Ce long reportage décrit avec de nombreux détails le fonctionnement de cette école coranique un peu spéciale: «17 h 50. Le crépuscule vient de tomber. Une dizaine d’élèves attendent déjà à la porte l’heure de la prière du soir. En jean ou voilés, Tika, Cinta, Jak et les autres appartiennent à la communauté gay et transsexuelle de Yogyakarta. A la différence d’autres lieux de culte, celui-ci les accueille à bras ouverts. Interdits de mosquée en raison de leur orientation sexuelle, ils peuvent, dans cette école réservée aux transsexuels, lesbiennes et homosexuels, pratiquer librement leur religion».

Une idée à creuser pour le très médiatique imam Hassen Chalghoumi. En ouvrant une mosquée de la sorte, il est sûr de faire le 20h sur TF1.

Source