« Il faut se préparer à la fin de la Belgique »

« Il faut se préparer à la fin de la Belgique » selon Laurette Onkelinx, du Parti Socialiste wallon, après l’annonce de l’échec de la formation d’un gouvernement de coalition entre la gauche francophone menée par le franc-maçon Elio di Ruppo et la droite séparatiste néerlandophone.

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La République veut démembrer les restes de l’empire français

Ca y est, la Nouvelle-Calédonie a officiellement adopté un hymne propre, ses billets, une devise. Celle-ci est un tantinet ridicule : « terre de parole, terre de partage ».

Voici donc mis en place trois des 5 « signes identitaires » prévus par les fameux et lamentables « accords de Nouméa » signés il y a douze ans.

Restent le nom et le drapeau, plus délicats. Néanmoins, le drapeau devrait être rien moins que celui du très antifrançais « Front de libération nationale kanak et socialiste » (FLNKS), qui est de plus en plus fréquemment hissé sur les bâtiments ou utilisé sur des documents officiels, avec le soutien de l’Etat !

Depuis des années, l’UMP travaille méticuleusement et discrètement, comme la « gauche », à abandonner ce territoire aux mains de séparatistes. Ces derniers sont soutenus en sous-main par l’Australie et la Nouvelle-Zélande, qui rêvent de voir la France éliminée de cette zone du globe, qu’ils espèrent récupérer, avec ses ressources remarquables (spécialement en nickel).

L’extrême-droite « identitaire » toujours plus perdue

Après avoir condamné le nationalisme, clamé son refus de l’indépendance nationale et son européisme, son amour de la république et de la « laïcité », son mépris de la libre recherche historique et de la lutte anti-lobbies, avoir dénoncé le « racisme »  fantasmé de certains nationalistes, voilà que sous le nom de sa structure niçoise (Nissa rebela), le Bloc Identitaire manifestait le 12 juin 2010 pour dénoncer l’ultime retour de Nice au sein de la nation française lors du rattachement de 1860.

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