Entretien avec Thomas Joly, secrétaire général du Parti de la France

Contre-info diffusera désormais davantage d’entretiens avec des responsables et personnalités.
Aujourd’hui, nous interrogeons le secrétaire général du Parti de la France, principale structure de l’« Union de la Droite nationale », dont on peut consulter les résultats détaillés lors du scrutin de dimanche dernier ici. Les commentaires sont ouverts.

Contre-info : Comment analysez-vous le score décevant des candidats de l’« Union de la droite nationale » (Parti de la France, MNR, Nouvelle droite populaire) ?

Thomas Joly : Ne nous voilons pas la face, nos résultats sont effectivement très décevants.
Nous ne parvenons pas à remplir notre objectif minimal qui était d’obtenir au moins 1% dans 50 circonscriptions pour accéder à une petite subvention publique annuelle qui nous aurait facilité la tâche pour nos dépenses matérielles et militantes afin de mener notre action politique.
Les raisons sont multiples : l’abstention massive qui a favorisé les partis du Système et exposés médiatiquement, l’apathie de nos compatriotes face à la colonisation migratoire et la ruine de notre pays, l’illusion de voter « utile » en préférant le candidat du Front mariniste (quel qu’il soit) à celui du Parti de la France, la proximité des élections législatives avec les Présidentielles qui démobilise complètement l’électorat protestataire,…
Même si nous ne sommes pas parvenus à émerger électoralement lors de ces législatives, comme d’ailleurs tous les « petits » partis qui ont été laminés et dont la plupart ont fait des scores inférieurs aux nôtres, nous avions le devoir de tenter le coup. Personne d’autre ne portait nos idées.
Seuls les candidats de l’Union de la Droite Nationale défendaient clairement un projet de droite nationale, européenne, identitaire et fermement opposé à la colonisation migratoire de la France (d’où notre slogan « La France aux Français »).

Cela va-t-il influer sur votre ligne politique et stratégique ?
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