Spoliation : le Lobby sarközyste pris la main dans le sac

Trente oeuvres « disparues ou volées » saisies à l’institut Wildenstein. Les richissimes marchands d’art sont soupçonnés de « recel ».

C’est un rebondissement dont les Wildenstein, richissimes marchands d’art au coeur d’un scandale politico-financier se seraient bien passés. Les héritiers Wildenstein étaient déjà accusés « d’abus de biens et de blanchiment » dans le cadre de la succession du patriarche Daniel Wildenstein en 2001. Les voilà maintenant soupçonnés de « recel ». Une mauvaise nouvelle pour Guy, chef de file de la famille et représentant (UMP) au sein de l’Assemblée des Français de l’étranger, proche de Nicolas Sarkozy.

Les 11 et 12 janvier dernier, lorsque les policiers ont débarqué à l’Institut Wildenstein, l’une des adresses parisiennes, ils ont foncé droit vers la salle des coffres et ont demandé à y avoir accès. À l’intérieur de cette chambre forte d’une vingtaine de mètres carrés, une véritable caverne d’Ali Baba avec, entassés du sol au plafond, plusieurs centaines de tableaux et sculptures.

Au milieu de ce capharnaüm : une trentaine d’oeuvres déclarées disparues ou volées, que les enquêteurs ont immédiatement saisies.

Les Wildenstein figurent par ailleurs parmi les principaux donateurs de l’UMP.

Source : Le Point

Un sarközyste du CRIF pris au piège par Les Infiltrés

Parmi les 22 individus arrêtés suite à l’investigation menée par les journalistes de l’émission Les Infiltrés sur les réseaux pédophiles, figure un gros poisson.

L’une des « victimes » de ces journalistes, dont l’émission est présentée par David Pujadas sur France 2, est en effet un fer de lance du sionisme et du sarközysme.
Il s’appelle Maurice Gutman, est conseiller municipal UMP du Mesnil-Saint-Denis, chargé d’Internet, président du comité local de la Croix Rouge, membre éminent du consistoire (institution hébraïque) (source : Le Parisien), et en outre membre à part entière du CRIF (source : CRIF) et webmestre du « Comité Français pour Yad Vashem » (source)

Rappelons aussi au passage que le journaliste responsable de cette enquête de longue haleine, Laurent Richard, également rédacteur en chef de l’agence Capa, a éprouvé le besoin moral de dénoncer les actes de pédophilie dont il a été témoin – chose que l’on peut évidemment saluer – face à la décadence et au désordre moral que représente de plus en plus visiblement le sarközysme.