C’était un 27 août 1793 : l’insurrection contre-révolutionnaire de Toulon

Les Fédéralistes, qui avaient pris le pouvoir local aux Jacobins lors d’une insurrection, sont supplantés par les royalistes, bénéficiant du soutien de la flotte toulonnaise (restée majoritairement fidèle au roi).

Les insurgés se sont rebellés à l’annonce de la reprise de Marseille par les Républicains et de la répression sanglante qui s’en est suivie, et seront soutenus par les Britanniques et d’autres.

Ils feront proclamer Louis XVII (le très jeune fils de Louis XVI)  roi de France et hisser le drapeau blanc à fleur de lys.
Les Républicains feront le siège de la ville, et le jeune Napoléon s’y illustrera contre les royalistes…
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Un nouveau livre choc d’Anne Kling

On peut dire qu’Anne Kling frappe fort avec son cinquième et nouveau livre : Menteurs et affabulateurs de la Shoah.
Vaste sujet !
Le livre vient de sortir et personne chez Contre-info ne l’a encore lu : nous vous signalons simplement sa parution, et sa disponibilité ici.
256 p. 18 €.

Anne Kling est l’auteur de divers livres à succès, dont le CRIF, un lobby au coeur de la République et Les révolutionnaires juifs, qui viennent d’être réédités pour l’occasion. Tous ses livres peuvent se trouver ici.

4e de couverture du nouveau livre :
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21 janvier : anniversaire du régicide

Le 21 janvier 1793, la racaille révolutionnaire, ivre de haine et de rage, assassinait le roi de France, Louis XVI, agé de 38 ans.
Cet acte sauvage recelait une grande force symbolique : en décapitant celui qui était le père de la nation organique et le sommet de l’Etat monarchique, c’était l’ordre ancien qui était abolit en profondeur, au profit d’une contre-civilisation qui allait s’instaurer progressivement et inexorablement et dont nous connaissons aujourd’hui une certaine étape.

Pour l’anecdote, et contrairement à ce que laissait espérer l’innovation technique que constituait la guillotine, l’exécution du roi martyr fut une boucherie.
Revenons donc à ce triste épisode, au coeur des heures les plus sombres de notre histoire.

Craignant un ultime rebondissement si le roi faisait un discours devant la foule, le commandant de la garde nationale donna l’ordre de faire jouer tous les tambours au pied de l’échafaud, qui était d’ailleurs fortement protégé.
Sur la dernière marche cependant, le roi fit un signe impérieux aux tambours qui, surpris, cessèrent de battre,
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