Les extrémistes laïcards de Prochoix exigent la révocation définitive du courageux Philippe Isnard

Ils appellent leurs sympathisants à faire pression sur le ministre de l’Education nationale et sur le rectorat.

Nous vous invitons à demander le maintien de ce courageux professeur qui a présenté les arguments POUR et CONTRE l’avortement ainsi que la réalité de l’acte à ses élèves, auprès de

• Luc Chatel, ministre de l’Education nationale 61-65, rue Dutot 75732 Paris Cedex 15 (mediateur@education.gouv.fr)

• l’Académie d’Aix Marseille Place Lucien Paye 13621 Aix-en-Provence cedex 1 (mediateur@ac-aix-marseille.fr et 0040533h@ac-aix-marseille.fr)

(Source : E-Deo)

La République s’attaque à une école catholique

Lu sur le site du Renouveau français :

« La République veut contrôler les cerveaux des jeunes catholiques

Le recteur de Bordeaux a annoncé jeudi qu’il avait sommé (sous peine de poursuites pénales) les parents d’élèves du collège catholique hors-contrat « Don Bosco-Saint Projet » d’inscrire leurs enfants dans un autre établissement. Il prétexte des carences dans l’enseignement, suite à deux enquêtes diligentées par ses services après la diffusion sur France 2 d’un reportage douteux.

Selon lui, les heures d’enseignements en sciences de la vie seraient insuffisantes et l’enseignement « en histoire est très marqué par un point de vue qui ne permet pas de former l’esprit critique des élèves » (« une vision catholique du monde », incroyable de nos jours !) alors qu’aucun cours d’instruction civique n’est dispensé.

En gros, le recteur, en bon républicain, voudrait probablement qu’on parle davantage de sexe, que l’on bourre le crâne des enfants avec la version officielle de l’histoire ainsi qu’avec l’idéologie maçonnico-républicaine. Comme dans le public…

Il est urgent pour les catholiques et plus généralement pour tous les Français soucieux d’une instruction saine pour nos enfants de réagir, de se mobiliser, de s’engager politiquement.

Faites savoir au rectorat de Bordeaux votre indignation, avec courtoisie et fermeté, par téléphone au 05 57 57 38 00 ou par fax au 05 56 96 29 42. »