L’extrême-droite « identitaire » toujours plus perdue

Après avoir condamné le nationalisme, clamé son refus de l’indépendance nationale et son européisme, son amour de la république et de la « laïcité », son mépris de la libre recherche historique et de la lutte anti-lobbies, avoir dénoncé le « racisme »  fantasmé de certains nationalistes, voilà que sous le nom de sa structure niçoise (Nissa rebela), le Bloc Identitaire manifestait le 12 juin 2010 pour dénoncer l’ultime retour de Nice au sein de la nation française lors du rattachement de 1860.

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