Bientôt des personnages homosexuels chez Disney?

«Ils se pacsèrent et adoptèrent beaucoup d’enfants». C’est peut-être la phrase qu’on entendra bientôt à la fin des dessins animés Disney.
Dans une récente interview, l’animateur et militant homosexuel, Andreas Deja,  qui a notamment travaillé sur Le Roi Lion, Aladdin et La Belle et la Bête, a laissé entendre que le studio américain pourrait prochainement inclure des personnages gays et des familles de même sexe dans ses dessins animés.

«Y aura-t-il bientôt dans nos films des familles avec deux papas ou deux mamans ? Seul le temps nous le dira, mais je pense que lorsque les producteurs de Disney trouveront une histoire adéquate avec un concept qui s’y prête, ils le feront», affirme-t-il .

Malgré sa réputation plutôt conservatrice, public familial oblige, Disney organise chaque année à Walt Disney World, en Floride, ainsi qu’à Disneyland, en Californie, des « Gay Days », des journées entièrement dédiées aux homosexuels. Un concept qui a même récemment été repris à Disneyland Paris (lire ici).

En 2009, la firme américaine a nommé à la tête de son studio le tout premier big boss ouvertement homosexuel à Hollywood.

Lettonie : un film de propagande homosexuelle financé par l’argent public crée le scandale

Le film de propagande intitulé Homo@lv et gracieusement distribué fin janvier par le lobby homosexuel à l’Assemblée nationale de Lettonie, la Saeima, a provoqué un véritable scandale dans le pays .

Financé totalement par le budget de l’Etat, ce documentaire militant dénonce la soi-disante intolérance de la société vis-à-vis des LGBT dans ce pays balte.

On y suit le parcours de deux invertis qui décident d’organiser une gay pride à Riga en été 2005 et qui découvrent à cette occasion la saine hostilité d’une population ayant encore quelques repères.
Derrière ce manifeste homosexualiste, l’opinion publique lettone n’a pas digéré ce gaspillage d’argent public et ce mépris de la volonté populaire.

«C’est magnifique quand les artistes peuvent créer quelque chose d’important. Mais ce qu’on voit ici, c’est que l’argent de l’Etat sert à financer des jeux intellectuels, avec lesquels les citoyens ne sont pas d’accord» a déclaré la députée Inguna Ribena, de la coalition Unité, de centre-droit, qui a remporté les dernières élections. Selon elle, les droits des personnes vivants dans la pauvreté sont plus importants que les films sur les gays.
«Nous ne pouvons pas devenir une machine de propagande» s’est défendu de son côté Ilze Gailite Holmber, directrice du Centre National du Cinéma.