Les ahurissants vœux de François Hollande

François Hollande lors de ses vœux le 31 décembre 2016.Les derniers « vœux » du président Hollande ont été minables…
Très satisfait de lui-même, comme d’habitude, et agité, il a vanté son bilan pourtant particulièrement calamiteux, fantasmant une baisse du chômage au dernier moment de son mandat.

Un discours très horizontal, creux, économique, politicien, parlant avec véhémence du réchauffement climatique (car Donald Trump est sceptique à ce sujet), avec une touche de padamalgam bien sûr, et quelques énormités.

Ainsi, cet européiste convaincu, qui aura été pendant 5 ans aux ordres de Bruxelles et de Merkel, ose dire que « la France doit réaffirmer son indépendance » !
Quel culot faut-il…
Mais le plus fort, c’est que quelques minutes plus tard, en essayant d’élever son discours et en parlant de « nos valeurs », Hollande les définit comme suit : « La France elle [sic] est ouverte au monde, elle est européenne, elle est fraternelle. Comment imaginer notre pays recroquevillé derrière des murs, réduit à son seul marché intérieur, revenant à sa monnaie nationale, et en plus discriminant ses enfants selon ses origines ? Mais ce ne serait plus la France. »
Voilà le sommet de son discours.
Énorme…

Reprenons :
« Comment imaginer notre pays recroquevillé derrière des murs [ça s’appelle des frontières, c’est facile à imaginer et c’est ce qui définit un pays], réduit à son seul marché intérieur [on sent la terreur des financiers libres-échangistes… Pourtant pendant la plus grande partie de son existence, la France a échangé avec l’extérieur quand nécessaire], revenant à sa monnaie nationale [lui qui parlait d’indépendance… Et selon cet intellectuel, la France retrouvant sa monnaie ne serait plus la France : elle est donc née en 2002, avec l’arrivée de l’euro !], et en plus discriminant ses enfants selon ses origines ? [mais elle le fait déjà, avec la « discrimination positive » au détriment des vrais Français ! ] »

Nos ancêtres n’auraient jamais pu imaginer qu’un pareil individu soit le chef de l’Etat français…

BONUS :

le compte twitter de l’Élysée n’arrive pas à écrire français correctement :

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Il y a soixante ans : mort d’Evita Peron

à l’âge de 33 ans.

D’origine modeste, elle était devenue l’idole des descamisados argentins, c’est-à-dire des pauvres.
Sa dernière apparition en public, en fauteuil roulant, devant une foule immense et chavirée, provoqua un raz-de-marée péroniste (66% des suffrages le 11 novembre 1951). Plus de 3 millions d’Argentins passèrent devant son corps embaumé (défilé de 3 jours entiers) et plus de 2 millions de personnes assistèrent à ses funérailles.

Jean-Claude Rolinat lui a récemment consacré un ouvrage biographique, disponible ici.

Pieter Kierstens nous communique en cette occasion :

« Le 26 juillet 1952, disparaissait la madone de los descamisados (les sans- chemises), victime de la leucémie, après de longs mois de souffrances et plusieurs interventions chirurgicales. Et pour nombre d’Argentins, même après des décennies, Eva DUARTE-PERON reste une icône.

Celle qui deviendra la seconde femme du Général Juan Domingo PERON est née le 7 mai 1919 à Los Toldos en Argentine.
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Réunion nationaliste internationale : hystérie du Système politico-médiatique croate

« A l’invitation du parti croate HCSP (« Parti authentique du droit croate »), une délégation du Renouveau français menée par son directeur Thibaut de Chassey s’est rendue à Zagreb quelques jours pour participer à une conférence nationaliste internationale, puis à une manifestation contre la détention de généraux croates par l’illégitime tribunal pénal international de la Haye.

Le moins que l’on puisse dire est que l’événement n’est pas passé inaperçu en Croatie. Il a fait la une de toute la presse et même le président de la République s’est exprimé à ce sujet. Le gouvernement a embrayé sur les médias de gauche en interdisant le meeting et la manifestation sous des prétextes relevant de la plus pure mauvaise foi. Cette décision, constituant un grave scandale, est une première depuis 15 ans.
L’année dernière, une manifestation spontanée et populaire sur le même thème avait réuni 50 000 personnes. »
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Le président bielorusse offense un lobby très puissant en Europe occidentale

Alexandre Loukachenko s’exprimait lors d’une compétition de ski, et a répondu aux critiques du ministre polonais des Affaires étrangères, Radoslaw Sikorski et son homologue allemand, Guido Westerwelle (qui a rendu publiques ses mœurs contre-nature).
Les merdias français parlent de « dérapage » (sic) :
« Le premier vit à Varsovie, le second à Berlin », a dit M. Loukachenko. « En ce qui concerne le second, qui crie à la dictature (…) après avoir entendu ça je me suis dit : mieux vaut être dictateur que pédé », a-t-il lancé .

Ce n’est pas sa première sortie de ce style visant M. Westerwelle. En février 2011 il avait raconté avoir dit au ministre allemand ne pas aimer « les pédés » et lui avoir conseillé « les yeux dans les yeux » de mener une « vie normale ».

Salazar : une nouvelle biographie

Le président nationaliste et catholique du Portugal (1889-1970) avait fait l’objet d’une biographie copieuse par Jacques Ploncard d’Assac en 1983 (disponible ici).

Voila que 30 ans après, le très remarquable chef de l’État nouveau fait l’objet d’une nouvelle biographie en français, sous la plume du journaliste Jean-Claude Rolinat :
Salazar le regretté, Ed. les bouquins de Synthèse nationale, 164 pages, 18 €. Commandable ici.

4e de couverture :
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Le professeur Faurisson reçu par le président iranien

L’Iran vient encore d’aggraver son cas aux yeux de la « communauté internationale ».

En marge du 30ème Festival International de cinéma à Téhéran, s’est tenue une conférence sur « Hollywoodisme et sionisme », où se sont retrouvés des chercheurs antisionistes de plusieurs pays (révisionnistes ou antirévisionnistes). Tous ont apporté des arguments à l’idée centrale que la production hollywoodienne destinée à l’exportation est une arme essentielle du Pentagone.
Après le discours de M. Mahmoud Ahmadinejad ouvrant le festival international du film de Téhéran, le professeur Robert Faurisson, réputé pour ses travaux sur des questions historiques dont il est interdit de parler, et présent parmi la délégation française, a été reçu par le Président iranien et publiquement honoré. (source)
« L’Iran est le seul pays au monde où une telle confrontation entre révisionnistes et non révisionnistes est possible » a souligné le Français.

La famille Sarközy toujours pas assimilée…

Comme vous le savez, les prénoms sont des marqueurs identitaires, autant qu’ils révèlent l’état d’esprit des parents.
Ainsi, des naturalisés ayant une sincère volonté de s’assimiler à un peuple prendront pour leur progéniture des prénoms typiques.

En France, le couple présidentiel est constitué de deux personnes « issues de l’immigration ».  Nicolas Sarközy est hongrois par son père, « juif de Grèce » par sa mère. Son fils Jean (« converti » au judaïsme) a nommé symboliquement son premier enfant du prénom exotique de « Solal ».

La femme actuelle du président, l’italienne  de sulfureuse réputation Carla Bruni, vient quant à elle d’accoucher d’une petite fille.
Ses parents, méprisant ostensiblement à la fois la culture française et leur charge, l’ont nommée d’un prénom étranger : « Giulia ».
« Julie » (ou même Julia) aurait sûrement fait trop franchouillard, trop ringard ; mais nous avons échappé à Britney ou Brenda…
Car en effet Sarközy aurait voulu être américain. Ceci est notoire et les médias d’outre-Atlantique évoquent texto « Sarközy l’américain ».
La police, la démesure et le bling-bling américains l’inspirent beaucoup plus que la France (et les Bretons en particulier).
Il avait d’ailleurs déclaré à Philippe de Villiers dans un élan de sincérité :
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Retraite des élus : un régime très spécial

Petite enquête sur les retraites ahurissantes des politiciens, à commencer par le très néfaste et peu honnnête Chirac, qui empoche 30 000 euros par mois.
Les Français sont, eux, de plus en plus nombreux à devoir se serrer la ceinture et à bénéficier de retraites très réduites.

Source