Un maire abolit dans les cantines publiques les repas de substitution pour les musulmans

A Arveyres, en Gironde, une petite commune de 1900 habitants située près de Libourne, le maire sans étiquette,  Benoît Gheysens, a pris une décision courageuse qui a suscité l’émoi de la communauté musulmane. La mairie a décidé en effet de supprimer à l’école les fameux plats de substitution destinés aux enfants qui ne mangeant pas de porc. Le motif ? Les contraintes budgétaires et techniques auxquelles est confrontée la municipalité. Sur 180 enfants, 28 sont musulmans : selon le maire,  si les familles des enfants musulmans ne sont pas satisfaites par la décision de la mairie, elles « peuvent retirer leurs enfants de la cantine ce jour-là ».

Une décision massivement saluée parles habitants et l’opinion publique, malgré l’hostilité de certaines familles, concernées par les repas de la cantine, la pression qu’exercent les médias, ou encore le sous-préfet de Libourne, Patrick Martinez. Preuve de la popularité de cette démarche, les villages voisins de Saint-Germain-du-Puch et de Saint-Quentin-de-Baron ont décidé d’appliquer la même décision que le maire d’Arveyres.

« Personne ne peut obliger ces musulmans à manger du porc, mais personne non plus les a obligés à venir dans notre pays », résumera un internaute. Comme quoi, le bons sens n’a pas encore abandonné la population ! Car en France, on mange du porc : chaque pays a sa tradition culinaire, marquée par son terroir, sa religion, et tout cet ensemble de tissus et de liens, sécrétés par l’histoire, et qui contribuent à façonner des codes commun, en bref, une culture qui cimente le lien social. Sans culture, sans règles de vie commune, les individus peuvent éventuellement coexister, mais ils ne peuvent pas vivre ensemble. Pour vivre ensemble, il faut avoir quelque chose à partager. Le « copain », c’est celui qui partage le même pain…

La charcuterie n’est plus la bienvenue à Nimes…

Hugues Bousiges, préfet du Gard, a réuni en urgence, jeudi 27 septembre dernier, les élus et les représentants d’un quartier de Nimes. Motif ? Les pressions exercées par des musulmans, sur le marché du quartier du « Chemin-bas d’Avignon », pour que soit retirés de la vente l’alcool, la charcuterie et les vêtements féminins… Quant au représentant régional du Conseil français du culte musulman, convié à la réunion, il affirme, désolé, que « c’est la première fois qu'[il] entend parler d’une telle histoire« .

Evidemment, les revendications catégorielles de minorités issues de l’immigration sont absolument inexistantes sur notre sol. Bien sûr… Le malheur, c’est que nos dirigeants feignent de découvrir les désastreuses conséquences des causes qu’ils ne se lassent pourtant pas de promouvoir. Que l’immigration de masse puisse avoir une incidence sur la stabilité et l’équilibre culturel et démographique de nos sociétés, voilà qui semble avoir échappé à nos politiques. Que les faits viennent le leur rappeler et le vérifier, voilà qui paraît les déranger. Ces gens là n’ont eu de cesse, en effet, d’utiliser le ressort affectif et de susciter la compassion envers les populations immigrées extra-européennes, interdisant ainsi toute maîtrise de l’immigration. Ce faisant, ces démagogues ont agi sans considération du bien commun, lequel reste pourtant, en politique, le critère ultime de discernement.

Vont-ils aujourd’hui s’attaquer aux effets pervers de leur politique, et faire taire les revendications communautaires toujours plus nombreuses sur notre territoire ? Vont-ils rappeler à nos hôtes que, les ayant accepté sur son sol, la France a le droit d’exiger d’eux le respect de ses codes, de ses coutumes et de ses traditions ? Ou vont-ils céder devant ces groupes politico-religieux, sous le prétexte fallacieux d’une diversité qui brise aujourd’hui le ciment social et communautarise le pays ? Ils semblent manifestement embêtés à Nimes. « Dieu rit des hommes qui déplorent les effets dont ils chérissent les causes« , s’amusait pourtant Bossuet. Mais il est vrai que l’illustre évêque de Meaux a disparu des manuels d’Histoire avec Louis XIV…

Jean de Rouen

Haine du cochon, en France, en 2012

On se croirait en Arabie : c’est l’émoi après la découverte de deux têtes de cochon sur le chantier d’une mosquée, dans les Hauts-de-Seine, à Nanterre (source).
Le responsable islamique local parle d’« acte odieux ».
Une plainte a été déposée pour le motif absurde d’ « injures publiques à caractère religieux » (sic) et ne doutons pas que la police soit en effervescence. Le commissariat de Nanterre explique : « Une première tête de cochon fraîchement coupée a été découverte jeudi matin, devant la porte du chantier, et une autre a été jetée derrière la palissade ».

Le maire de gauche en fait des tonnes : « Ceux qui ont commis cet acte raciste doivent être recherchés et sanctionnés ».
On ne nous parle pas de « terrorisme » pour ces actes d’opposition à la colonisation islamique par le symbole du cochon, qui se multiplient à travers la Gaule, mais cela ne saurait tarder.