La droite nationale hongroise commémore le traité de Trianon

[Un reportage de Contre-Info]
Le 4 juin 2010, près de 350 patriotes hongrois se sont rassemblés à Versailles devant le palais de Trianon. 
Venus de Hongrie en car pour la plupart, en motos pour une trentaine, ils entendaient rappeler qu’il y a quatre-vingt-dix ans, leur patrie fut partagée à telle enseigne qu’il ne subsiste aujourd’hui du territoire hongrois qu’un tiers de ce qu’il fut.  
L’ensemble de la droite nationale était  représentée, à commencer par le parti Jobbik et son égérie Krisztina Morvai. Les jeunesses des 64 comtés (HVIM) avaient eux aussi fait le déplacement.
Chants et discours, dans une mer de drapeaux, dont l’emblématique bannière rouge et blanche d’Arpad, le chef historique des tribus magyares, se succédèrent dans une atmosphère presque religieuse. L’émotion était palpable. Les Hongrois se figèrent quant retentirent les premières notes du chant des Sicules, les frères séparés de Transylvanie.
Un des orateurs affirma qu’il ne suffisait pas de se souvenir du traité de Trianon, mais qu’il fallait en parler sans cesse. Cette commémoration n’était en effet pas seulement mémorielle, mais aussi revendicative, demandant à la France de réparer ce qui est considéré en Hongrie comme une injustice. 
 
Le premier rassemblement était autorisé jusqu’à 12 heures, ce qui permit à la police républicaine, invoquant ce prétexte, d’exiger des quelques patriotes français s’attardant sur les lieux, une présentation de leurs pièces d’identité. Ils agissaient « à la demande du procureur » avec une rare insolence.
Ils menacèrent même, comble de la mesure, les députés Krisztina Morvai et  Tamas Gaudi Nagy d’arrestation, car ces derniers refusaient d’obtempérer.
Invoquant leur immunité diplomatique, le député hongrois appella l’ambassade de son pays, ce qui mit la police dans une certaine confusion. « C’est un non-incident » dit en se résignant l’officier de police…
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Méfiez-vous des syndicats dits de policiers

Philippe Steens, secrétaire général du Syndicat indépendant de la police municipale (SIPM), déclare à Minute, à propos de l’intersyndicale des policiers, qui appelle à manifester le 1er juin :

« Cet «intermachin syndical» est composé de syndicats qui sont en grande majorité opposés à ce que les policiers municipaux soient armés!

Bien que la grande majorité des policiers municipaux réclame de l’être?

Oui, car il n’y a pas d’élection propre à la profession! L’« intermachin syndical » ne représente donc rien chez les policiers municipaux.

J’ai du mal à vous suivre…
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La police française de pire en pire.

L’état de la justice et de la police françaises se détériore d’année en année, alors que la criminalité et la délinquance ne cessent d’augmenter. L’Etat est-il en mesure d’assurer la sécurité des citoyens ? Le veut-il vraiment d’ailleurs ?

Contre-Info a mis la main sur une lettre du secrétaire général du Syndicat des commissaires de la police nationale au ministre Hortefeux, se plaignant et relatant l’évasion rocambolesque et ingénieuse d’un prévenu à Dreux. Document ici.

L’ordre sarközyste et la France d’après… dans le métro parisien.

Des caméras partout et 15 attaques officiellement recensées par jour (principalement contre les indigènes français).


Source : Altermedia

Exclu Contre-Info : 4 opposants au kiss-in de Notre Dame en garde à vue

24 février 2010 – Paris (Contre-info.com) – Les quatre jeunes catholiques, qui avaient été interpellés brutalement par la police lors du kiss-in homosexuel devant Notre Dame le 14 février dernier, ont été convoqués et mis en garde-à-vue ce matin vers 10h.

Preuve est faite que le système s’acharne sur d’honnêtes catholiques plutôt que sur les racailles délinquantes qui pullulent un peu partout…

Mise à jour de 20h00: Les jeunes catholiques ont été relâchés à 19h30.
Il semblerait que toutes les poursuites à leur encontre soient annulées pour vice de procédure et défaut de preuves réelles.
Deo Gratias