L’immigration de substitution se poursuit, inéluctablement…

L’Insee (Institut national de la statistique et des études économiques) publie aujourd’hui une étude, « Immigrés et descendants d’immigrés en France « , qui confirme la progression de l’immigration de peuplement sur le sol français. On y apprend notamment que les descendants d’immigrés sont plus nombreux que les immigrés eux-mêmes : « plus de 5,3 millions d’immigrés vivaient en France en 2008, les deux tiers natifs de pays hors UE. Leurs descendants sont près de 6,7 millions, soit 11% de la population. Au total, plus de 7 millions de personnes nées à l’étranger résident en France« . Plus de détails ici.

Il est vrai que la France se met sous la dépendance des populations extra-européennes qu’elle attire économiquement, aussi bien pour pallier l’insuffisance de sa natalité qui peine à elle seule à assurer le renouvellement des générations, que pour pourvoir à la place des français, exploitant ainsi une main d’oeuvre bon marché, les métiers manuels financièrement  dévalorisés. Mais rien n’est fait pour endiguer cette politique de déracinement qui accroît chaque année le brassage des populations et des cultures : les français seront bientôt minoritaires sur la terre de leurs ancêtres ? Ces bâtisseurs auront-ils oeuvré en vain ? Était-il écrit que leurs fils ne seraient plus leurs débiteurs ? Peut être faudra-t-il atteindre le point de non retour pour être définitivement fixé, à moins que…

Jean de Rouen