La Turquie menace à nouveau, de « réexaminer » le pacte sur les « migrants »

Le calife Erdogan et sa clique de valets sont arrogants vis à vis des nations européennes, car ils possèdent l’arme ultime, des millions de migrants.. Dès qu’Erdogan et sa cour se sentent insultés, ils brandissent immédiatement le carton jaune. C’est un coup de sifflet sous forme d’avertissement : « à la prochaine incartade, c’est carton rouge et on ouvre les vannes. »  

Cette déclaration intervient dans la foulée de l’affaire des meetings pro-Erdogan interdits en Allemagne et aux Pays-Bas, qui a exacerbé les tensions entre la Turquie et l’Union européenne.

Un ministre turc a évoqué lundi un «réexamen» du pacte sur la lutte contre l’immigration clandestine entre la Turquie et l’Europe, sur fonds de tension avec plusieurs pays de l’Union européenne.

« La Turquie devrait réexaminer le volet des passages terrestres » figurant dans ce pacte conclu il y a un an, a déclaré le ministre des Affaires européennes Omer Celik, cité par l’agence progouvernementale Anadolu.

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Pays-Bas : les chiens et les poissons rouges pourront bientôt être parents…

Non, sans blague. Pas encore, mais presque. Lorsque l’on s’émancipe du modèle naturel que l’on juge trop contraignant, on se libère finalement de toutes les règles qui fondaient leur objectivité ailleurs que dans la volonté fluctuante de l’homme. En refusant de considérer la société comme une réalité organique, et la famille comme une communauté naturelle, structurant l’ordre social, on place l’individu dans un rapport de propriété avec le modèle familial : on ravale alors celui-ci à un contrat, et on l’expose ainsi à toutes sortes d’expérimentations possibles. Jusqu’où ira-t-on ? Car de limites, il n’y en a plus.

Pour preuve, au Pays- Bas, le gouvernement va examiner les possibilités juridiques de reconnaître officiellement trois personnes ou plus comme parents d’un même enfant. L’enjeu : protéger les familles construites autour du mariage homosexuel. Voilà donc les implications -ultimes ?- du « mariage gay ». Après l’adoption, voici le troisième, et pourquoi pas le quatrième et le cinquième parent. En France, on les appellera parent 1, parent 2, parent 3, parent 4…

En bousculant à ce point les lois de la filiation, on refuse de restituer aux orphelins le modèle traditionnel d’où ils sont pourtant issus, lequel évoque évidemment leur origine, et on les prive ainsi des repères nécessaires à leur construction. Une manière aussi, pour ces apprentis sorciers et ces négateurs du réel, d’arracher l’homme à ses racines, de lui confisquer sa mémoire et de poursuivre ainsi leur entreprise révolutionnaire de destruction…

Jean de Rouen