Le soutien américain aux « rebelles modérés » profite… aux djihadistes !

rebelles

Les « rebelles modérés » supposés s’opposer aux djihadistes en Syrie refusent désormais de se battre, abandonnant le terrain à cause du manque d’armes et de soutien promis par l’Occident, ont récemment déclaré certains leaders.

« L’inconsistance » de la stratégie américaine …

Malgré la stratégie d’Obama, révélée le mois dernier, qui consistait à armer et entraîner des rebelles pour lutter contre l’Etat Islamique puis contre Bachar el Assad, ces rebelles affirment ne rien recevoir qui leur permettent de combattre convenablement.

« Nous décidons d’une mission. Ensuite nous nous adressons à l’Etat-major pour recevoir des armes. S’ils acceptent notre plan, les armes arrivent » raconte le commandant Abu Ahmed avant de poursuivre : « Si nous recevons des missiles TOW, nous devons filmer chaque utilisation pour prouver que nous ne les avons pas vendus ».

Cette défiance engendre de nombreux problèmes, dont celui d’être attaqué par les groupes djihadistes sans recevoir ensuite à temps le soutien nécessaire. Si bien que Jabhat al Nosra, qui se battait aux côtés de rebelles « modérés » jusqu’à ce que les Etats-Unis le bombardent comme l’Etat Islamique s’est retourné contre les premiers, récupérant ensuite les quelques armes distribuées par les Américains …

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Le marché transatlantique, cimetière des nations

Excellent texte de Pierre Hillard (livres ici) pour  Boulevard Voltaire :

Après l’annonce par le président Obama, en février 2013, du lancement d’un marché transatlantique, les événements se sont accélérés les 17-18 juin lors de la réunion du G8 en Irlande du Nord. Avant de rentrer à Washington, le président américain a fait un détour, comme par hasard… à Berlin afin de régler avec la chancelière Merkel les derniers points permettant l’assujettissement du Vieux Continent aux financiers de Wall Street. La France n’oppose plus de résistance. Des secteurs étant plus égaux que d’autres, nos responsables politiques n’hésitent pas à sacrifier des pans entiers du patrimoine (industrie, agriculture, secteur public, environnement, normes sanitaires…) à l’exclusion de la sacro-sainte « exception culturelle ». Nos artistes ont beau se proclamer « citoyens du monde », l’ouverture a ses limites.

Tant pis pour l’ouvrier de Michelin ou l’agriculteur de l’Aveyron : ils devront goûter aux joies des normes transatlantiques standardisées made in USA appelées à être les références pour le monde entier. C’est le point clef de l’affaire. Sans oublier les droits de douane en voie d’évaporation qui vont décapiter des secteurs clefs de notre industrie et de notre agriculture. Il s’agit d’appliquer à toutes les strates des sociétés occidentales des mesures calquées sur les intérêts et les normes régissant le modèle américain. Ces normes édictées par l’activité intense des lobbies anglo-saxons à Bruxelles reposent toutes sur le principe du libéralisme le plus effréné. Cette situation n’est que la conséquence d’un long travail fait en amont.

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Des cellules de foetus avortés pour réhausser le goût : Obama a dit oui !

La société Pepsi, en vue de lancer son produit « Pepsi Next », a fait face à la réaction d’une partie de la population américaine laquelle, pro-vie, appelait au boycott. Et pour cause, la société utilise dans ses recherches des cellules issues de foetus avortés afin de réhausser le goût de la boisson. Eh bien Pepsi a obtenu gain de cause grâce à l’aide de l’administration Obama : la Security and Exchange Commission, mise en place par le président Obama, a statué et rendu publique sa décision le 28 février : le laboratoire Semonyx, filiale de recherche du groupe PepsiCo’, est autorisé à utiliser des restes de foetus avortés comme rehausseurs de goût.

Signe avancé d’une société de mort qui se substitue à la Civilisation. Le fœtus n’est-il donc qu’un amas de cellule ? Qu’un matériau à la disposition de la toute puissance d’un homme qui a voulu se faire Dieu ? Ou bien n’est-ce pas d’abord une vie humaine qui a été conçue ? N’est-ce pas plutôt un être humain en gestation ?

Mais le pire, c’est qu’en plus de légiférer sur un usage que condamnent tous les principes traditionnels sur lesquels s’est bâtie la civilisation occidentale, et dont témoigne par exemple le serment d’Hippocrate, l’administration Obama considère cet usage comme des « opérations commerciales ordinaires ».  Ou comment banaliser la culture mort… Ignoble !

Elections américaines : le positionnement libertarien des athées

Un sondage du National Journal indique que les américains athées voteront majoritairement pour le candidat libertarien Gary Johnson. Obama et Romney sont recalés derrière. N’est-ce pas l’écho de Sartre qui parvient jusqu’à nous : « Il n’y a plus rien au ciel, ni bien ni mal, ni personne qui me donne des ordres ». En effet, si Dieu n’existe pas, il n’existe pas non plus d’ordre transcendant, car pas d’auteur pour le concevoir: subsistera seulement l’ordre que déterminera la volonté humaine. Rien n’a plus de sens, sinon celui que l’homme introduit lui-même dans les choses. En bref : ou Dieu, ou rien. Retirez la clef de voûte à laquelle vous raccrochiez par le haut l’échelle des valeurs, niez le ciel métaphysique au-dessus de nos têtes, et il ne restera que l’homme pour décréter le bien et le mal.

JdR

Hollande va chercher son équipe de campagne aux Etats-Unis

Cet homme semble avoir un problème avec tout ce qui est (vraiment) français.

Lu dans Daoudal-Hebdo :

« François Hollande est candidat à l’élection présidentielle française. Mais pour sa campagne il veut le meilleur, et le meilleur est américain. Il est allé chercher aux Etats- Unis l’équipe qui a conduit la campagne d’Obama sur internet: celle de Blue State Digital. Dans les locaux de campagne de Hollande, ces jours-ci, on ne parle qu’américain. Il y a Matt Ipcar, l’homme qui a conçu le site de campagne d’Obama et celui de la Maison Blanche, Joe Rospars, l’homme qui était aux commandes de la campagne, Ryan Davis, qui s’occupait des réseaux sociaux, Sam Jeffers, directeur stratégique de Blue State, et carrément l’un des patrons de Blue State, Steve Jacobs.
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La note financière des Etats-Unis dégradée

Pour la première fois de leur histoire, les Etats-Unis n’ont plus leur «AAA», la note maximale (censée être fonction de leur solvabilité).
L’agence d’évaluation financière Standard and Poor’s (S&P) a en effet décidé cette nuit de dégrader la note attribuée à la dette publique du pays, citant les «risques politiques» face aux enjeux du déficit budgétaire.
Dans un communiqué, S&P a annoncé avoir abaissé d’un cran cette note, pour la porter à «AA+». Elle a par ailleurs abaissé la perspective à «négative», ce qui signifie qu’elle estime que la prochaine évolution sera plutôt négative que positive.
Les médias américains ont affirmé que le gouvernement avait sévèrement contesté les projections des analystes de l’agence après avoir examiné les conclusions de S&P. En vain. La perte de ce sceau d’excellence devrait avoir des répercussions brutales sur les marchés financiers, difficiles à imaginer dans l’immédiat.

Petit sondage :
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Comment le Congrès états-unien s’est vendu à Wall Street

A l’instar des Etats-Unis, de très nombreux pays ont adopté de couteux plans de relance, durant et après la crise financière de 2008. Or, souligne Greg Gordon, la conception de ces plans a été imposée au Congrès par les banques qui en ont été les principales bénéficiaires, via des parlementaires qu’elles ont grassement rétribués. Parmi eux, quelques personnalités connues, comme… Barack Obama.

Des sénateurs et représentants, chargés de veiller sur l’économie des Etats-Unis, ont reçu des millions de dollars des entreprises de Wall Street.
Depuis 2001, huit entreprises figurant parmi les plus fragilisées par la crise ont versé 62,4 millions de dollars aux candidats au Congrès, aux candidats présidentiels et aux partis, aussi bien républicain que démocrate [1].
Des sénateurs comme Barack Obama et John McCain ont reçu, à eux deux, 3,1 millions de dollars.
Parmi les donateurs figurent les banques d’investissement :
Bear Stearns,
Goldman Sachs,
Lehman Brothers,
Merrill Lynch,
Morgan Stanley,
la compagnie d’assurances American International Group,
les géants de l’hypothèque Fannie Mae, et Freddie Mac.
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Lettre d’insultes à Obama

Pour avoir envoyé un courriel anonyme bordé d’injures à Barack Obama, un adolescent anglais a vu la police débarquer chez ses parents, à la demande du FBI américain.

Son courriel, envoyé à l’adresse publique du président américain, contenait une critique du gouvernement américain au regard du 11 septembre 2001. Le jeune homme qualifie également Obama de « connard » (« prick »).

Le FBI n’a donc semble t-il rien de mieux à faire que de traquer le « courrier des fans » d’Obama.

Cet injure lui a valu d’être photographié par la police qui lui a signifié qu’il était désormais banni à vie du sol américain.

Il explique son geste par le fait d’avoir bu quelques bières, tout en estimant que la réaction du FBI est quelque peu disproportionnée.

Pour recevoir une visite à domicile, vous pouvez contacter Barack Obama sur cette page : http://www.whitehouse.gov/contact

Source : The Sun

La marionnette sioniste se dégonfle

«Je dois me rendre en septembre à New York pour participer à l’Assemblée générale des Nations unies. Je suis prêt à m’asseoir avec M. Obama, en tête-à-tête, d’homme à homme, pour parler librement des questions mondiales devant les médias pour voir la solution qui est la meilleure», avait déclaré lundi le président Ahmadinejad à l’occasion d’un congrès des Iraniens vivant à l’étranger.

Il n’y aura pas de débat «en tête-à-tête» entre le président Barack Obama et son homologue iranien Mahmoud Ahmadinejad. La Maison Blanche a rejeté ce mardi la proposition du chef de l’Etat iranien. La marionnette métisse aux ordres de Tel-Aviv aurait-elle peur de la transparence ?

Source : 20 Minutes (Merci à Bisounours)

Encore plus d’assassinats par l’Etat yankee avec Obama qu’avec Bush

Les Etats-Unis sont le principal Etat dans le monde à pratiquer les exécutions extra-judiciaires.

« Selon le Washington Post, la Maison-Blanche a réservé 9,8 milliards de dollars pour les Opérations spéciales en 2011 (6,3 milliards imputés sur le budget général et 3,5 milliards de dépenses exceptionnelles). (…)

Sous l’autorité de l’amiral Eric T. Olson, des interventions secrètes ont été planifiées dans 75 pays cette année, contre 60 lors de la dernière année de George W. Bush, indique le quotidien.

Présentant son rapport annuel au Conseil des Droits de l’homme des Nations Unies, le rapporteur spécial sur les exécutions extra-judiciaires a noté la banalisation des assassinats par drones. »

Source et suite

Affaire de pédophilie: l’administration Obama défend le droit international

L’administration Obama a demandé à la Cour suprême de confirmer que le Vatican disposait de l’immunité dans une affaire de pédophilie aux Etats-Unis et que ses hauts responsables, y compris le Pape, ne pouvaient être interrogés, selon un document dont l’AFP a obtenu copie mardi. La Cour suprême a été saisie en février d’un appel déposé par le Vatican pour contester la décision d’une cour d’appel de lever l’immunité du Saint-Siège dans une affaire de prêtre pédophile dans l’Oregon (ouest des Etats-Unis).
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Obama veut financer davantage l’armement d’Israël

Nous évoquions récemment les accusations israéliennes à l’encontre de la Syrie: celle-ci aurait livré des missiles de moyenne portée (300 kms pour la version B) SCUD au Hezbollah libannais, tout comme l’Irak détenait des armes de destruction massives.

Si ce prétexte pourrait servir de prétexte pour lancer cet été une nouvelle offensive de Tsahal contre le Liban, une autre piste est à explorer: le prix Nobel de la paix Barack Obama a demandé au congrès américain de débloquer 205 millions de dollars à destination d’Israël; ce fond devant servir à la mise en place d’un système de défense anti-missiles.
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Quand Carla Sarkozy raconte ses galipettes à Michelle Obama

Jonathan Alter, éditorialiste de Newsweek, rapporte dans son récent ouvrage The Promise: President Obama, Year One, une discussion entre Michelle Obama et Carla Sarközy.

Cette dernière, voulant probablement faire amie-amie, n’a rien trouvé de mieux que d’aborder un sujet dans lequel son expérience est incontestable: sa vie sexuelle. Narrant une anecdote selon laquelle elle et son mari auraient fait attendre un chef d’État, le temps de finir leurs ébats.

Bruni voulait savoir si, comme les Sarkozy, Michelle et le président avaient déjà fait attendre quelqu’un de cette manière. Michelle a ri nerveusement et répondu non.

Ajouter une première grossièreté diplomatique à une seconde en y ajoutant le manque de la pudeur la plus élémentaire, voilà une belle performance qui n’a pas manqué de faire réagir la « presse » dite « people ». Le Sun britannique n’hésitant pas à titrer En plein ébats, Carla fait attendre la Reine, supposant que le chef d’État en question n’était autre que Sa Gracieuse Majesté.

Honni soit qui mal y pense.

Source

Sarközy le gaffeur

« Ca ne va pas le faire » pour « Sarközy l’Américain ».
Depuis quelques temps, une rumeur (occultée par les medias français) circule très largement sur l’internet anglophone : dans un rapport interne de la DGSE (service secret français) récupéré par le FSB (service secret russe), Nicolas Sarközy aurait qualifié Barack Obama de « dangereux aliéné », après son dîner à la Maison-Blanche.

Source : Faits et Documents n°294.