Femen : en 2013, il vaut mieux être féministe que catholique !

Après leur interpellation, les Femen ont été relâchées immédiatement, sans avoir été placées en garde à vue, alors que les faits sont punissables par la loi.

Les huit activistes Femen, après avoir agressé les fidèles de la cathédrale de Paris, en paraissant dénudées, ont été conduites par les forces de police au commissariat du IVe arrondissement : «simplement pour la forme», assure une source de la Préfecture de police de Paris, pour «vérifier leurs papiers d’identité» et «elles ont été relâchées dans la foulée, sans garde à vue».

Les faits sont pourtant tous des délits punissables par la loi, tant du point de vue civil que pénal. «Exhibition sexuelle dans un lieu accessible au public» (article 222-32 du Code pénal), «atteinte à l’affectation cultuelle» et «atteinte à la liberté d’exercice du culte» (loi de 1905), «injure commise envers (…) une personne ou un groupe de personnes à raison de leur origine ou de leur appartenance ou non-appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée» (article 33 alinéa 3 de la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse), «coups et blessures», «destruction ou profanation d’objet sacré»…

Maître Laurent Delvolvé, avocat de l’archevêché de Paris, lequel a porté plainte, s’interroge sur cette procédure : «Et avec tout ça, on juge seulement bon de vérifier leurs papiers? On ne les prie pas de s’expliquer? Au regard de la gravité des faits et du lieu dans lequel ils ont été commis, on peut s’interroger sur le traitement policier de cette affaire… À situations égales, on a vu des traitements bien différents».
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En France, il vaut mieux occuper une cathédrale qu’une mosquée…la république s’en porte mieux !

Après le dernier scandale provoqué par les extrémistes du mouvement Femen à Notre-Dame de Paris, le monde politique a réagi pour condamner cette provocation. Et l’on reste sur sa faim…

La condamnation de Manuel Valls, ministre des cultes, s’est faite longuement attendre, moins enthousiaste, semble-t-il, à condamner une provocation menée contre l’Église que contre l’islam. Quant au ministre du Droit des femmes, Najat Vallaud-Belkacem, elle a constaté « une provocation qui peut paraître assez inutile« , soulignant que la France n’est pas un pays où les libertés publiques sont en danger, au point que de telles actions seraient nécessaires. Hallucinant ! Le ministre suggère par là que cette provocation aurait pu être utile : même s’il s’avère qu’elle peut paraître inutile ! Aucune condamnation de principe donc.

Pour information, lorsque une mosquée, seulement en construction et donc déserte en l’état, est symboliquement et ponctuellement occupée par un mouvement dans le but de faire passer un message politique, la condamnation de principe ne se fait pas attendre et l’on déclare sur tous les tons la République en danger, réclamant la dissolution du mouvement à l’initiative de l’action.
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Renonciation du pape : l’ultime provocation des Femen à Notre-Dame de Paris

Mardi matin, afin de «fêter le départ du pape», huit féministes du mouvement Femen ont manifesté seins nus dans la nef de Notre-Dame de Paris. Elles ont fait tinter trois des neuf nouvelles cloches provisoirement déposées dans la nef, avec des morceaux de bois, criant en anglais «Pope no more», c’est-à-dire «Plus de pape». Des slogans écrits au feutre parcouraient leurs corps dénudés : «No homophobe», «Crise de la foi», «Bye bye Benoît !»

Cette scandaleuse provocation a suscité l’indignation des visiteurs de la cathédrale, lesquels ont réagit : «Ici c’est sacré, vous n’avez pas à vous dénuder», leur a ainsi lancé  une dame. Les intruses ont néanmoins été rapidement évacuées de l’édifice par le service d’ordre de Notre-Dame. Demeurant encore une dizaine de minutes devant la cathédrale, elles ont scandé des slogans comme «In gay we trust», ou «Dégage homophobe !», avant d’être embarquées par la police et conduites au commissariat du IVe arrondissement.

Les féministes des Femen se sont donc enfermées dans leur rôle de provocatrices violentes, au point de ne pas savoir respecter ce qu’il peut y avoir de plus sacré en l’homme : sa dimension spirituelle. A vrai dire, on s’interroge encore sur la dignité de la femme que ces féministes sont sensées promouvoir : dénudées en permanence, obsédées du sexe, elles renvoient à une image très dégradée de la femme, difficilement compatible avec la mise en valeur de la féminité.

Lorsqu’on met en regard l’humilité du pape et sa hauteur de vue avec la caricature dont les Femen sont les actrices, et la l’abîme intellectuel des slogans qu’elles scandent, on a vite fait de se faire un avis. C’est d’ailleurs à se demander si ces féministes n’ont pas à cÅ“ur de discréditer le combat idéologique qu’elles mènent et de rendre le pape sympathique aux yeux de l’opinion. Elles le voudraient, elles ne s’y prendraient pas autrement…

Cloches de Notre-Dame : Riaumont s’oppose aux marchands du temple !

Riaumont fait le point, dans son dernier communiqué, sur la situation. Car la guerre des cloches n’est pas terminée, et l’Institut Sainte-Croix de Riaumont poursuit son combat pour sauver les cloches de Notre-Dame de Paris que l’archevêché refuse de lui vendre et destine à la destruction.

Alors que le recteur de la cathédrale Notre-Dame de Paris, Mgr Patrick Jacquin, a répété à plusieurs reprises, et notamment sur France-Inter le 20 décembre dernier, puis dans Ouest France, que « les cloches de Notre Dame de Paris ne seront ni détruites, ni vendues« , le Père Alain Hocquemiller, prieur de la Sainte-Croix de Riaumont, fait le point, avec précision, en déclinant tous les détails, sur cette déclaration qui sous-entend que l’institut religieux affabulerait.

Pour sauver les cloches de Notre-Dame et soutenir l’action de Riaumont, signez la pétition !

Pétition pour sauver les cloches de Notre-Dame de Paris !

On se souvient du bras de fer que l’institut de la Sainte Croix de Riaumont avait entamé avec le diocèse de Paris pour racheter les cloches de Notre-Dame, vouées à la destruction. Le combat se poursuit, et Riaumont lance une pétition pour sauver les cloches de Notre-Dame de Paris ! Démarche à soutenir par votre signature et par l’écho que vous donnerez à cette pétition ! A noter que cette pétition a le soutien du maire de Liévin, commune où est implantée la communauté de Riaumont.

Pétition pour sauver les cloches de Notre-Dame de Paris

Sauver les cloches de Notre-Dame de Paris :

Scandalisé par le projet mercantile de destruction des quatre cloches de la Cathédrale Notre-Dame de Paris, destinées à être fondues en Chine pour être transformées en clochettes touristiques, je demande que soit menée à bon terme la procédure validée en juillet 2012 par la Direction Régionale des Affaires Culturelles d’Ile de France qui prévoyait l’attribution de ces cloches à l’Association Sainte-Croix de Riaumont à Liévin (62) au bénéfice de son chantier-école de l’église Saint Jean-Baptiste. Témoins prestigieux de l’histoire de notre capitale, ces cloches ont sonné les grandes heures, les joies et les peines de notre pays. Elles ne peuvent être détruites à des fins commerciales. Qu’elles continuent de carillonner !

Riaumont veut racheter les cloches de Notre-Dame

Alors que les quatre cloches de Notre-Dame de Paris sont promises à la destruction, parce qu’elles sonnaient faux, l’institut de la Sainte Croix de Riaumont a décidé de les racheter, entamant alors un bras de fer avec l’évêché de Paris. Ce conflit se poursuivra désormais devant la justice.

Le prieur de la Sainte Croix de Riaumont, le père Alain Hocquemiller, communique, afin d’expliquer son initiative : « il est inconcevable de s’en débarrasser comme des objets encombrants de consommation courante qu’on jette quand on n’en a plus l’utilité. Je ne peux pas croire qu’il n’existe pas une solution juridique pour sauver ces cloches » déclare-t-il, avant de poursuivre : « Quelle que soit leur valeur musicologique, elles sont des témoins des grandes heures de la capitale : elles ont sonné l’armistice de 1918, la libération de Paris et la visite de Jean Paul II en 1980 ! »

Et les choses tombent bien, car le village de Riaumont a entamé un chantier pour construire une nouvelle église : « Pour éviter ce gâchis et parce que nous en avions l’utilité à Riaumont, dans le clocher en construction de notre future église, j’ai effectivement demandé que ces cloches en déshérence nous soient attribuées et cette solution heureuse a été facilement agréée en juillet dernier par le responsable des Monuments historiques», explique le père Alain. Mais il se heurte à un mur du silence : «cette procédure [a] été interrompue sans explication. J’ai multiplié pendant trois semaines des démarches amiables auprès de l’archevêché, continue-t-il. Je suis peiné qu’elles n’aient rencontré que le silence. Les courriers sont restés sans réponse écrite».

« Ces cloches sont des objets consacrés par une bénédiction spéciale qui les retire de l’usage profane pour pour leur conférer une mission sacrée qui est d’appeler à la prière. Par là même, elles ont une vocation à la pérennité et ne peuvent être détruites qu’en dernière extrémité, pour éviter par exemple qu’une extrême vétusté ne finisse par les profaner, ce qui est évidemment très loin d’être le cas des cloches de Notre Dame« .

Alors pourquoi ce refus injustifié, de la part de l’évêché, de concéder ces cloches, dont il ne veut plus de toutes façons, et qui seraient ainsi sauvées de la destruction, poursuivant ainsi leur vocation chrétienne ? Il y a là un mystère que l’évêché se refuse même, curieusement, à dissiper, refusant tout élément d’explication.

Procès des militants ayant défendu ND de Paris face aux extrémistes homosexuels.

Le procès de 4 jeunes catholiques qui avaient protégé le 14 février le parvis de la cathédrale Notre-Dame de Paris, face à une manifestation (interdite) d’extrémistes homosexuels qui voulaient y perpétrer des provocations, s’est ouvert en ce début d’après-midi.

Contre-Info vous tiendra au courant de l’évolution de l’affaire, mais nous pouvons d’ores-et-déjà vous informer que Caroline Mecary sera l’avocate des extrémistes : la même qui avait défendu le soi-disant « couple » de Bègles.

Tellement vexée que les « injures homophobes » soient prescrites, elle a fait une requête auprès du conseil constitutionnel pour faire annuler la prescription, sans même la transmettre à la cour ou à la défense ! Vous trouverez des parties entière de sa requête dans 2 articles sur des sites homosexualistes (ici et là).

Exclu Contre-Info : provocation et répression devant Notre-Dame

Comme on pouvait le redouter, des extrémistes homosexuels sont venus, malgré l’interdiction de la préfecture, mener à bien une lamentable provocation devant la cathédrale Notre-Dame de Paris, symbole de la civilisation chrétienne.

Des dizaines de Parisiens, principalement jeunes, étaient rassemblés là pour défendre le lieu sacré.
La cinquantaine de provocateurs « perturbés » se sont approchés sans être empêchés par la police et quelques heurts ont éclaté.

4 Parisiens chrétiens ou pro-chrétiens ont été interpellés brutalement puis emmenés au commissariat du 4ème arrondissement.

Une petite manifestation s’est ensuite improvisée devant l’hotel de police, rassemblant principalement des militants du Renouveau français, pour exiger leur libération immédiate :

Mise-à-jour : les 4 jeunes normaux ont été relâchés après plusieurs heures. Nous vous tiendrons informés des suites éventuelles.