Déchaînement de racket et de flicage, sous l’égide du franc-maçon Hortefeux.

Alors que la République dilapide massivement l’argent des Français  au profit de n’importe quoi et n’importe qui, le ministre de l’Intérieur Brice Hortefeux a annoncé hier une batterie de mesures répressives à l’encontre des automobilistes.
D’ici 2012, ce ne sont pas moins de 1 000 nouveaux radars qui devraient être installés !
Dont certains de type entièrement nouveau, tels ces « radars-tronçons » qui contrôlent la vitesse moyenne sur une distance donnée, ou ces radars mobiles, embarqués dans des véhicules banalisés et « capabes de contrôler la vitesse dans le flux de circulation ».
Par ailleurs, la gendarmie va voir son arsenal s’alourdir fortement : 1 800 éthylomètres embarqués supplémentaires, 24 000 terminaux pour dresser des PV électroniques, etc.
Enfin, rappelons que le prix des péages autoroutiers a augmenté en moyenne de 2,4% au 1er février, au bénéfice de multinationales aux profits déjà indécents !
Décidément, qu’il est doux de vivre dans la « France d’après ».

Au moins « 30.000 armes illégales circulent dans les banlieues »

Un jour, elles sortiront peut-être toutes ensemble… Pour le malheur des Gaulois.

« «On nous expliquait que les kalachnikovs, très peu nombreuses en France, passaient surtout de main en main, mais il faut bien se rendre à l’évidence : plus on en saisit, plus on en voit surgir de nouvelles dans des affaires spectaculaires, de Paris à sa banlieue en passant par Lyon, Grenoble ou Marseille.» (…)
Un préfet de haut rang fait ce pénible constat : les armes de guerre se diffusent de plus en plus dans l’Hexagone.»

(…) Dans les services spécialisés du ministère de l’Intérieur, le chiffre de 30.000 armes illégales circule sous le manteau. Une estimation réalisée d’après les saisies opérées par les services. Explication : «Les forces de l’ordre mettent la main sur environ 4000 armes par an, principalement en banlieue, or nous savons que l’essentiel du stock échappe à la police, qui ne saisit peut-être que 10 % à 15 % du total», estime un commissaire de la PJ.

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