Application « Viber » : attention, espionnage israélien

« Viber » est un programme gratuit qui, installé sur les téléphones modernes, permet d’appeler gratuitement une personne équipée du même logiciel.
On estime actuellement à plus de 100 millions le nombre d’utilisateurs de Viber.

Or il apparaît que le fondateur et propriétaire de la compagnie Viber Media  est Talmon Marko, un américano-israélien qui a servi 4 ans dans l’armée israélienne.
Il aurait été nommé au poste de directeur exécutif responsable des renseignements au commandement central

« Sachant que le programme Viber offre un service gratuit à 100%, permet l’échange de vidéos et des messages textuels, et ne diffuse pas de publicité. Face à ces données, une question se pose : quel est l’objectif d’un tel service, gratuit à 100% ?
La réponse est simple : le programme « Viber » sur les Androïd et Iphone par exemple est capable de lire tous les contacts figurant sur la liste des contacts téléphoniques, même ceux qui ne font pas partie du programme.
Viber est aussi capable de localiser le lieu de l’utilisateur, ses comptes électroniques, l’enregistrement de sa voix, de vidéos et la prise de photos !
Il a également la capacité d’espionner toutes les informations présentes dans les fichiers téléphoniques et de connaitre tous les programmes utilisés par les utilisateurs !
C’est donc à travers ce programme gratuit très populaire, qu’on offre à « Israël » nos informations personnelles, gratuitement aussi ! »

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Le Mossad prépare le terrain à l’intervention militaire d’Israël en Iran

Le Mossad a orchestré l’explosion du dépôt de munitions des Gardiens de la révolution samedi, près de Téhéran, affirme ce matin le magazine Time, qui dit s’appuyer sur un haut responsable d’une agence de renseignement occidentale.  »Ne vous fiez pas aux Iraniens qui évoquent un accident, et ne vous étonnez pas si nous assistons à d’autres sabotages de ce type dans les prochains temps », aurait affirmé ce responsable. L’explosion de samedi a fait 17 morts, dont l’expert en missiles balistiques des Pasdaran, le brigadier général Hassan Tehrani Moghadam.
Le ministre israélien de la Défense Ehoud Barak s’est félicité de l’explosion du dépôt de munitions en Iran dans laquelle a été tué le fondateur des unités d’artillerie et de la force balistique des Pasdaran, l’armée d’élite du régime islamique iranien, le général de division Hassan Moghadam. Interrogé par Galei Tsahal, le ministre a exprimé l’espoir que de telles explosions « se multiplient ».

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Le rôle du Mossad dans une série d’assassinats

L’assassinat du scientifique nucléaire iranien a Téhéran la semaine dernière était la première opération majeure du nouveau directeur du Mossad, Tamir Pardo, a rapporté lundi le site du journal allemand Der Spiegel. L’article, qui cite une source dans les renseignements israéliens, enquête sur une série de tentatives d’assassinat impliquant des scientifiques iraniens au cours des 18 derniers mois, et pointe le Mossad comme l’organisation à la tête de la campagne d’Israël contre le programme nucléaire iranien.
Selon les rapports, le scientifique a été abattu samedi dernier alors qu’il apportait sa fille à la maternelle. « C’était la première opération publique du nouveau chef du Mossad, Tamir Pardo, » a déclaré une source anonyme des renseignements israéliens au correspondant de Der Spiegel à Beyrouth.

Coup du Mossad ? 5 ingénieurs russes du nucléaire iranien s’écrasent en avion

Suite au récent crash de l’avion transportant cinq ingénieurs russes travaillant dans le secteur nucléaire en Iran, même JSSnews, « webzine d’opinion israélien […] édité depuis Jérusalem » évoque un possible coup du Mossad et fait état d’une « enquête préliminaire [qui] a écarté la possibilité d’une défaillance technique« .

Des disparitions d’ingénieurs liés au nucléaire iranien, des cerveaux utiles à la création de la bombe qui sont fusillé en pleine rue de Téhéran, un spécialiste anti-stuxnet mort dans une explosion de son véhicule en Iran et à présent, cinq scientifiques russes qui ont aidé à la conception de l’usine nucléaire de Bushehr qui viennent de mourir dans le crash de leur avion.

 

Leur Tupolev-134 s’est brisé et a pris feu lors d’un atterrissage d’urgence en dehors de la ville du nord de Petrozavodsk. Une enquête préliminaire a écarté la possibilité d’une défaillance technique. Continuer la lecture de « Coup du Mossad ? 5 ingénieurs russes du nucléaire iranien s’écrasent en avion »

Pendaison d’un espion du Mossad à Téhéran

Ali Akbar Siadat a été reconnu coupable d’avoir transmis des informations militaires confidentielles au Mossad, pour le compte duquel il travaillait depuis 2004.

Il a été arrêté en 2008 alors qu’il essayait de quitter l’Iran en compagnie de son épouse.

« Ali Akbar Siadat, qui a espionné pour le compte du Mossad israélien, a été pendu ce matin à la prison d’Evin », dans le nord de Téhéran, précise l’agence Irna.

« Siadat a reconnu avoir reçu 60.000 dollars pour transférer au Mossad des informations classifiées sur les activités militaires de l’Iran », ajoute l’agence, citant le parquet.

Siadat, qui avait reçu « un équipement spécial et un ordinateur portable », avait rencontré des agents israéliens en Turquie, en Thaïlande et aux Pays-Bas, entre autres pays.

Il avait fourni aux Israéliens des informations sur des manoeuvres, des bases, sur l’armée de l’air ainsi que sur les systèmes de missiles commandés par les gardiens de la Révolution.

Il a été pendu ce matin.

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Guerre secrète avec l’Iran

« Disparitions ou morts inexpliquées de scientifiques, défaillances techniques en tous genres, mystérieux virus informatiques, les programmes militaires et nucléaires iraniens subissent régulièrement des accidents qu’il n’est guère vraisemblable d’attribuer au seul hasard.
La triple explosion survenue le 12 octobre dans une base secrète de missiles des pasdarans, les gardiens de la révolution, est la dernière d’une longue série de revers et d’accidents, qui ont tous en commun de toucher les capacités de frappe stratégiques et les programmes nucléaires de l’Iran.
»

Les autorités iraniennes ont nié qu’il puisse s’agir d’une audacieuse opération secrète, et ont expliqué que l’explosion avait été causée par «un feu survenu dans un dépôt de munitions voisin», mais il est légitime de penser qu’il peut plutôt s’agir d’un raid aérien ou d’un attentat imputable au Mossad. Le bilan initial fait état de 18 morts.

« Quels qu’en soient les responsables, cette dernière série d’explosions dans l’une des installations les plus secrètes et les mieux protégées d’Iran, est un coup sérieux porté à Téhéran. Elle affaiblit les capacités de riposte à longue portée de l’Iran dans l’éventualité d’une attaque contre ses sites nucléaires. »

Source et détails

La France coopérerait aux assassinats politiques perpétrés par le Mossad

Selon une enquête du journal tunisien Dounia El Watan, cité par Al-Manar, l’assassinat du dirigeant du Hamas Mahmoud Mabhouh à Dubaï, le 20 janvier 2010, aurait nécessité une équipe bien plus importante que celle déjà mise en cause par les Émirats arabes unis.
Aux tueurs, il faudrait ajouter une équipe de repérage des lieux dirigée par un ancien responsable sécuritaire de la Tunisie, Ahmed Bannour.

M. Bannour vivrait actuellement en exil en France et aurait constitué une cellule de renseignement pour le compte joint des services israélien et français.
Ahmed Bannour a fuit la Tunisie après la découverte de ses activités d’espionnage au profit du Mossad israélien. Profitant de ses responsabilités au sein de l’État, il avait organisé le bombardement du siège du Fatah à Tunis, le 1er octobre 1985 —auquel Yasser Arafat (dit Abou Ammar) échappa—, puis l’assassinat d’un autre leader palestinien, Khalil Al-Wazir (dit Abou Jihad), le 16 avril 1988.

Sous couvert d’une société française qu’il contrôlerait, Ahmed Bannour aurait envoyé deux « hommes d’affaires » français et une équipe de techniciens négocier à Dubaï un contrat d’installation d’ascenseurs. A cette occasion, les agents français se seraient procurés les plans de l’hôtel où Mahmoud Mabhouh devait descendre ainsi que ceux du système de sécurité de l’hôtel.

La société française de M. Bannour est par ailleurs citée dans une affaire d’espionnage actuellement pendante devant la Cour militaire du Liban. Elle a servi de couverture pour l’immigration à Beyrouth pour des ressortissants tunisiens et égyptiens travaillant pour le Mossad. Ceux-ci projetaient un attentat contre la radio de cheikh Hussein Fadlallah et l’assassinat du secrétaire général du Hezbollah, Sayed Hassan Nasrallah.

Source

Méthodes israéliennes dévoilées.

Le Mossad (service secret israélien) a toujours allègrement pratiqué l’assassinat de ceux que l’Etat juif (vous savez, la seule démocratie du Proche-Orient) considérait comme dangereux pour ses intérêts.

Généralement bien maquillés pour passer inaperçus, il arrive que les meurtres soient éclaircis quand ce service fait preuve d’un amateurisme étonnant, comme ce fut le cas pour ce responsable du Hamas, en séjour à Dubaï.