C’était un 22 février…

Émile Driant 1.jpg1916 : mort, pendant la bataille de Verdun, de l’héroïque lieutenant-colonel Emile Driant, à la tête des 56e et 59e bataillons de chasseurs.
Officier saint-cyrien brillant, il fut à plusieurs reprises sanctionné pour des articles publiés sans autorisation dans lesquels il défend la mémoire de son beau-père (le général Boulanger), ou bien dénonce vigoureusement l’affaire des fiches (fichage des officiers catholiques sur ordre du ministre franc-maçon, le général André).
En 1905, sa carrière étant définitivement compromise, il se lance en politique avec l’appui de Déroulède et Barrès et est élu député à Nancy (1910-1916).
En 1907, il signa une Protestation contre la présence des francs-maçons aux fêtes de Jeanne d’Arc.
Il avait écrit sous le pseudonyme de Capitaine Danrit des romans militaires d’anticipation souvent prophétiques (La guerre de demain, L’invasion noire, L’invasion jaune) qui connurent un grand succès.
Militant antimaçon, il fonda également la Ligue antimaçonnique pour les hommes et la Ligue Jeanne d’Arc pour les femmes.

1945 : près du lac de Constance, en Allemagne, deux avions attaquent en rase-mottes une Mercedes portant un drapeau tricolore peint à l’arrière. Jacques Doriot est tué sur le coup, et son chauffeur grièvement blessé.
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C’était un 3 janvier : mort de Sainte Geneviève

Sainte Geneviève*, née à Nanterre en 423 (et décédée en 512), voue très jeune sa virginité à Dieu.

Elle est très vite remarquée par saint Germain d’Auxerre et saint Loup de Troyes, qui passent par Nanterre en 429 (elle n’a que six ans), à l’occasion de leur voyage vers la province romaine de Bretagne (Grande-Bretagne actuelle).
Elle mène une vie consacrée et ascétique, probablement dès ses seize ans.
De son père, franc, dont elle est la fille unique, elle a une charge de membre du conseil municipal de Paris.

Lors du siège de Paris par les Huns, en 451, elle convainc, aidée par sa grande force de caractère, les Parisiens de ne pas abandonner la ville (leur sauvant probablement la vie car toute fuite aurait été très périlleuse) :

« Que les hommes fuient s’ils veulent, et s’ils ne sont plus capables de se battre. Nous, les femmes, nous prierons Dieu tant et tant qu’Il entendra nos supplications. »

De fait, Attila (pressé d’en découdre avec les Wisigoths, en Aquitaine) finit par épargner Paris.
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C’était un 18 décembre…

• 1912 : découverte de « l’homme de Piltdown », dans le Sussex, à partir de morceaux de crâne. Il a été considéré pendant 50 ans comme un fossile datant de «l’Acheuléen» («Paléolithique inférieur») et comme un chaînon manquant entre le singe et l’homme (selon la théorie de l’évolution) en raison de ses caractères simiens (mâchoire) et humains (calotte crânienne).
En 1959, des tests montrèrent définitivement qu’il n’était qu’un canular paléontologique. Les créationnistes considèrent qu’il ne s’est agi que d’une supercherie produite par manque de preuve en faveur de la théorie de l’évolution. Pour une critique efficace de l’évolutionnisme, nous vous conseillons l’ouvrage « Le darwinisme tient-il debout ? » d’Arthur Demongeot et ceux de Dominique Tassot.

1948 : fondation, à Lausanne (Suisse), de l’Association des amis de Robert Brasillach (livres ici).

1970 : première manifestation du mouvement nationaliste Ordre Nouveau.

• 1975 : mort, à Toulon, du fameux historien contre-révolutionnaire Léon de Poncins. Antibolchevique, antimaçon, anti-d’autres choses, il est l’auteur de divers ouvrages comme La guerre occulte, La dictature des puissances occultes, Christianisme et Franc-maçonnerie (pour les livres, voir ici).
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C’était un 4 décembre : mort de Maurice Barrès

Le grand écrivain patriote Maurice Barrès s’est éteint le 4 décembre 1923 à son domicile de Neuilly.

Écrivain parmi les plus célèbres de sa génération, il était surnommé le « prince de la jeunesse ».
Il fut l’un des principaux fondateurs du nationalisme français moderne.

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C’était un 1er décembre : mort de Charles de Foucauld

Le 1er décembre 1916, Charles de Foucauld était assassiné par des Senoussis et des Touareg ajjer dissidents, armés par les services secrets allemands.

Ancien saint-cyrien (même promotion que le Maréchal Pétain et le marquis de Morès), lieutenant de cavalerie, explorateur et géographe, après une vie dissolue, il s’était converti.
Passé par la Trappe, en quête d’un idéal de pauvreté, d’abnégation et de pénitence encore plus radical, il s’était fait ermite.
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C’était un 18 novembre…

L’amiral Koltchak, au centre, inspectant des troupes. DR

1918 : coup d’État à Omsk qui porte au pouvoir, contre sa volonté, l’amiral Koltchak, élu Régent de Russie et chef suprême des armées blanches, fonction fictive qu’il ne pourra jamais exercer. Dans le Sud, le général Denikine reconnaîtra son autorité le 30 mai 1919.

1936 : mort de Roger Salengro, né en 1890, politicard socialiste et franc-maçon. De nombreuses rues et avenues portent son nom.

Il devint ministre de l’Intérieur sous le très néfaste Léon Blum.
C’est Salengro, ce corrompu, qui a totalitairement dissous les puissantes « Ligues » patriotiques en 1936, portant un rude coup au camp national et donc à la France.
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22 août 1914 : mort au front d’Ernest Psichari,

à l’âge de 31 ans. Ce jeune écrivain était le petit-fils d’Ernest Renan.

Il rejeta tôt les idées exprimées par le milieu de la bourgeoisie intellectuelle dreyfusarde de sa jeunesse.
Au pacifisme succéda la ferveur nationale, au culte du moi celui de la communauté enracinée, au rationalisme la ferveur des sentiments.
Psichari est, par sa personnalité, ses préoccupations, ses aspirations morales et son engagement, emblématique d’une jeunesse exaltée dont fit aussi partie Charles Péguy par exemple.
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28 juillet 1985 : mort de Michel Audiard

La mort de Robespierre ou l’élan de l’égalité brisé

• 1794 : exécution de Robespierre, Saint-Just, Couthon, et d’autres robespierristes, par leurs amis d’hier. C’est la fin de la « Terreur » républicaine. La mort de Robespierre fut particulièrement sordide.

1985 : mort de Michel Audiard, scénariste, réalisateur et écrivain.

Les dialogues de ses films (entre autres) Un singe en hiver, d’après le roman d’Antoine Blondin, et Les tontons flingueurs restent un modèle du genre et l’archétype d’une certaine esthétique, disparue avec « la France d’avant ».
Nombre de ses répliques sont d’ailleurs devenues « cultes ».

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29 avril 1975 : mort du jeune Sergio Ramelli, 18 ans, assassiné par les Rouges

L’extrême-gauche européenne a, à travers les décennies, assassiné de nombreux patriotes, souvent jeunes, souvent dans l’impunité. C’est autre chose que l’« affaire Méric », qui eut un formidable écho médiatique et des conséquences judiciaires scandaleuses, alors qu’un antifa violent mais freluquet trouvait la mort accidentellement en assaillant des gens d’en face.

En cette année 1975 donc, à Milan, Sergio Ramelli était un jeune étudiant de 18 ans.

Militant nationaliste au sein du Front de la Jeunesse (branche jeune du Mouvement Social Italien, MSI), il était connu comme tel dans son milieu scolaire, dans une époque de tension politique marqué par la violence d’extrême-gauche (l’année précédente, plusieurs militants italiens avaient été assassinés par les Brigades rouges).

Le 13 mars 1975, Sergio Ramelli rentre chez lui en fin de journée.
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C’était un 30 juin : le suicide du général de Larminat

Le 30 juin 1962, le général de Larminat, gaulliste indéfectible dont le président de la République félon exigeait qu’il préside un tribunal militaire chargé de juger les membres de l’OAS, se suicide la veille de la réunion de cette instance, tiraillé entre son gaullisme et son sens de l’honneur.

Ancien haut commissaire gaulliste en Afrique équatoriale française, il avait été le vainqueur de la poche de Royan en 1945.

Un mort de plus, parmi ses fidèles, sur la noire conscience de De Gaulle.

Un site consacré à cet épisode :  www.larminat-jm.com

Boycott Amazon !

Il est de notoriété publique que le fondateur d’Amazon est militant homosexualiste acharné (2.5 millions de dollars de dons à des associations d’invertis), mais voici que la multinationale Amazon produit une série dégénérée.  Le personnage principal (Mort, de son petit prénom) de la série « Transparent » est un père de famille qui devient Transexuel ! Ce n’est pas fini :

« Autour de ce père qui décide enfin d’assumer son identité profonde, les enfants s’agitent, aux prises avec eux-mêmes : l’aînée, Sarah, femme au foyer, flirte avec une ex lesbienne, le garçon enchaîne les filles sans bien savoir pourquoi, tandis que la dernière est incapable de trouver un job. »

C’est pas beau tout ça ?  Sinon concernant le titre :

« Le titre évoque à la fois la « transparence » d’une vie enfin menée au grand jour, mais aussi le « parent trans », car Mort/Maura est avant tout un père et la série fait une large place aux dynamiques de cette famille de Los Angeles bobo, juive et névrosée. »

On a les mêmes en France…
Cette daube en boite fait forcément les choux gras de la presse US qui est aux anges :

« La critique est enthousiaste : « presque parfait » selon le site culture du New York Magazine, « vraiment épatant » pour The Independent, « superbe » pour les Inrocks »

Petit bonus de fin. La créatrice de la série s’appelle Jill Soloway, elle est juive et cette histoire s’inspire de son propre père…

C’est nous qui décidons à qui nous donnons notre argent. Ne nous laissons pas avoir par la facilité et évitons de financer des entreprises militantes !

Source : Rue89

Espagne : décès de Blas Pinar, figure historique du patriotisme d’après-guerre

Alberto Torresano nous écrit :

« BLAS PIÑAR  ¡¡PRESENTE !!

Blas Piñar est décédé ce 28 janvier, à son domicile, à l’âge de 95 ans.

Porteur des idéaux de la Croisade du 18 juillet 1936, il avait fondé dans cet esprit la revue Fuerza nueva, en 1966.
Patriote éminent, théologien, poète, juriste et écrivain, remarqué pour ses discours classiques et majestueux.
Depuis la mort de Franco, il a dirigé le patriotisme espagnol comme un véritable « caudillo », que des millions de personnes ont acclamé en Espagne, en Europe et en Amérique, s’abandonnant au charme de sa parole et à son clair jugement.
Notaire de profession, marié à Carmen Gutiérrez, il avait 8 enfants, fidèles continuateurs de sa lignée, 43 petits-enfants et 70 arrières petits-enfants.

Il a dirigé l’Institut culturel hispanique jusqu’à ce qu’il soit démis pour son article « Hypocrites », publié dans ABC, dénonçant les maîtres du monde et la trahison des Nord-Américains devant l’avance inexorable du communisme.

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Décès de Jean Madiran

Jean Madiran s’est éteint  ce mercredi 31 juillet, à l’âge de 93 ans.

C’est une figure importante de la droite nationale et catholique de ces 60 dernières années qui disparaît. Un intellectuel véritable et une fine plume.

Jean Madiran (de son vrai nom Arfel) avait commencé jeune, et fort, étant secrétaire de Charles Maurras durant la Seconde guerre, durant laquelle il fut décoré de la Francisque.
Il collaborait alors à L’Action française et à la Revue universelle (fondée par Jacques Bainville et Henri Massis).

Réfugié dans un monastère situé sur la colline de Madiran, d’où son pseudonyme, après 1945, il devint ensuite journaliste et essayiste. Il publia son premier livre, La Philosophie politique de saint Thomas (Les Éditions Nouvelles, 1948), sous le pseudonyme de Jean-Louis Lagor et lanca une publication d’inspiration maurassienne, l’Indépendance française, rachetée en 1950 par Aspects de la France.

Il marqua son époque avec la publication de qualité Itinéraires, fondée en 1956 et qu’il dirigea durant 40 ans, réunissant des intellectuels réputés et menant un inlassable combat face au modernisme.

Madiran cofonda (en 1982) et dirigea aussi (pendant 25 ans) le quotidien Présent.

Les obsèques de Jean Madiran seront célébrées, ce lundi 5 août à 10 h en la chapelle Notre-Dame des Armées (Impasse des Gendarmes) à Versailles, par Dom Louis-Marie, Père Abbé du Barroux.

Décès d’un militant de l’extrême-gauche violente et manipulations médiatiques

Hier à Paris, près de Saint Lazare, une rixe a opposé quelques jeunes nationalistes (dont une femme, pas encore identifiés) à plusieurs militants d’extrême-gauche (se faisant appeler « antifas ») qui semble-t-il les ont provoqué et menacé, les attendaient, et qui ont porté les premiers coups.
Cela s’est produit à l’issue d’une vente privée de vêtements Fred Perry, où l’année dernière des militants d’extrême-gauche avaient déjà guetté et attaqué des patriotes, en blessant un à la tête.

Après avoir reçu un coup, un jeune « antifa » est tombé et sa tête a alors heurté un plot en métal. Ce choc accidentel a été fatal à Clément Méric, 19 ans (qui n’était pas un pacifiste comme le disent mensongèrement les médias : voir ici).

Aussitôt, c’est l’emballement médiatique contre « l’extrême-droite » : on présente cela comme une « agression », presque un meurtre avec préméditation !

« Antifas » parisiens

La vérité est que depuis quelques années, des dizaines d’activistes d’extrême-gauche, notamment à Paris, ont pour seule préoccupation d’attaquer des militants de droite nationale ou radicale : lors de rassemblements ou lorsque ces derniers sont isolés. Même les femmes n’y échappent pas, ni les commerces d’ailleurs.
Lors de la plupart de ses attaques, qui s’accompagnent pour les gauchistes d’une étonnante impunité policière, les agresseurs utilisent des armes et n’attaquent que s’ils sont en surnombre.
C’est miracle qu’il n’y ait pas eu de morts jusqu’ici.

Les antifas ne vivent que pour la violence contre les nationalistes ou supposés tels.
Faut-il s’étonner qu’à ce jeu ils puissent se retrouver perdants, de temps en temps, et accidentellement !?

antifa-copie-1
Ci-dessus des « antifas », pauvres citoyens victimes de la violence d’extrême-droite

On regrettera que ce jeune homme se soit engagé au service d’une cause qui relève de la farce idiote mais s’appuie sur une violence haineuse, et que ses parents l’y aient probablement autorisé.

Sans surprise, les vautours de gauche et d’extrême-gauche instrumentalisent cyniquement cette issue tragique pour exiger la dissolution des groupements nationaux.

Le milliardaire socialiste et pervers Pierre Bergé – naturellement défenseur de la gauche prétendue anticapitaliste – se déchaîne en imprécations, tachant de faire croire que ce décès est dû au climat créé « par les Manifs pour tous ». Le même Bergé qui souhaitait qu’une bombe explose pendant ces manifestations familiales…

En revanche, quand Romain et Damien Vandaele, 2 jeunes patriotes, sont tués il y a quelques semaines dans le nord par un Turc (les percutant volontairement avec sa voiture par « réflexe communautaire »), l’émoi est inexistant dans les gros merdias…

Aujourd’hui nos pensées émues iront à François Noguier, délaissé par les faiseurs d’opinion : ce jeune étudiant français est mort mardi après avoir été frappé par un individu de « type nord-africain », pour « un motif futile ». Comme des centaines d’autres.

La crapule Moustaki et son engagement pro-pédophile

georges-moustakiÉvidemment, les médias pleurent chaudement la mort de cet artiste (immigrant juif de Grèce), qui chantonnait « avec ma gueule de métèque ».
Il nous incombe donc de rappeler l’un des engagements de ce sinistre individu, qu’il n’a jamais renié et qui n’est pas évoqué par les journaleux.

Georges Moustaki faisait partie des 63 signataires d’un texte de soutien au pédophile Gérard R. (qui attendait depuis 18 mois son procès) paru dans Libération en mars 1979.
Y est notamment dénoncé  « l’ordre moral » qui viserait au « maintien de la soumission des enfants-mineur(e) s au pouvoir adulte » et affirmé que « l’amour des enfants est aussi l’amour de leur corps. Le désir et les jeux sexuels librement consentis ont leur place dans les rapports entre enfants et adultes. Voilà ce que pensait et vivait Gérard R. avec des fillettes de 6 à 12 ans dont l’épanouissement attestait aux yeux de tous, y compris de leurs parents, le bonheur qu’elles trouvaient avec lui ».

Source NDF