Rivarol et Minute tricards du congrès du FN !

« C’est l’AFP qui l’a annoncé ce soir : les journaux Minute et Rivarol se sont vu refuser leur acréditation au congrès du Front national. Jean-Marie Le Pen a justifié sa position par la volonté de ceux-ci « de nuire au parti« . « Il y a des hostilités qui sont légitimes« , a-t-il poursuivi, citant L’Humanité et Libération « mais quand il y a volonté de nuire, comme l’ont démontré Minute et Rivarol au cours de leurs derniers numéros… Leur hostilité n’est pas légitime« .

Contacté par Infos-Bordeaux, Bruno Larebière, rédacteur en chef de l’hebdomadaire Minute, « déplore cette punition ». « Le Front national semble nous dénier le droit de faire notre travail. La ligne du journal a toujours été l’union des droites. Quand nous faisons des révélations sur un autre parti, il s’en réjouit, mais nous dénie le droit d’en faire sur lui« . En cause les révélations de Minute sur le fonctionnement du Front national avec la publication d’un projet d’organigramme du futur FN dirigé par Marine Le Pen. Au téléphone, le bordelais Bruno Larebière nous confie que la véritable cause de cette mise à l’écart est sa révélation sur « Cotelec ». « L’association de financement du Front national continuera a être dirigée par Jean-Marie Le Pen après le congrès« .
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Affaire de Bordeaux, la grosse presse sent-elle le vent tourner ?

A en croire cet article de « 20 Minutes », incroyablement objectif pour un organe du système médiatique, on est en droit de se demander si les journaleux ne sont pas en train de se rendre compte que CAPA et France 2 ont joué avec le feu dans cette affaire.
D’après nos informations, de plus en plus d’observateurs avertis ne sont pas convaincus que le fameux Mathieu Maye soit réellement un journaliste « infiltré » comme le prétend CAPA. Les différentes déclarations inexactes et contradictoires qu’a fourni Laurent Richard, directeur de la rédaction CAPA, ainsi que les déclarations de Mathieu Maye faites au journaliste de Minute, semblent accréditer la thèse que ce monsieur Maye était en réalité un flic infiltré, un « barbouze » et que l’agence CAPA n’a fait que récupérer son « travail » pour ensuite le vendre à France 2.
Les services de l’Etat ripoublicain ont toujours introduits des agents provocateurs dans les mouvements politiques qu’ils voulaient décrédibiliser. Dans le cas de Bordeaux, il semblerait que CAPA ait fait un « deal » avec la police politique de ce régime.
Si cette thèse se confirme, la crédibilité de CAPA, Pujadas et France2 risque d’en prendre un sacré coup : une agence de presse soit-disant indépendante travaillant en collaboration étroite avec des barbouzes, ça fait désordre…

C’est avec attention que nous suivrons les suites judiciaires de cette affaire qui permettront peut-être de mettre en lumière certaines pratiques peu reluisantes de notre régime pseudo démocratique.