Seine Saint-Denis : deux agressions de journalistes dans la journée d’hier

Hier, mercredi 17 avril, en Seine Saint-Denis, trois journalistes ont été attaqués par ceux que la presse appelle avec pudeur des « jeunes ». Ce sont en fait deux agressions distinctes, en deux points différents de la Seine-Saint Denis, qui se sont déroulées durant la même journée.

La première agression a eu lieu peu avant midi, à Sevran. Un journaliste de la chaîne d’information en continu BFM TV tournait un reportage devant l’école primaire Emile Zola où des enfants s’étaient piqués en jouant avec une seringue la veille : « il a été molesté par un groupe de cinq jeunes« , « a été blessé au visage« , et « sa caméra a été jetée à terre » a précisé la préfecture du département. Le journaliste a été conduit à l’hôpital.

Quant à la deuxième agression, elle eu lieu vers 17 heures, à Pierrefitte-sur-Seine. Ce sont cette fois deux journalistes de M6 qui ont été pris à partie alors qu’ils tournaient un reportage. Ils interviewaient le gérant d’un magasin d’alimentation de la ville, situé proche d’une cité sensible et victime de plusieurs braquages ces derniers mois. L’un des journalistes a reçu des coups sur le visage et souffre d’un hématome à l’oeil gauche.

Deux possibilités : ou bien la violence des banlieues se banalise, et la capacité d’indignation de la population s’estompe avec le temps qui passe. Ou bien s’opère une prise de conscience au sein de la population, et celle-ci prendra les moyens de reconquérir les territoires perdus de la nation. Ou bien on subit et on meurt, on bien on réagit.

Il reste que la deuxième solution suppose que les causes de la violence dans les banlieues ne soient plus ignorées ni occultées. Quand des territoires entiers sont dépourvus d’autochtones et que des bandes ethniques issues de l’immigration y règnent en maître, on ne nous fera pas croire que l’immigration de peuplement et de substitution est un mythe. Et on ne nous fera pas croire qu’elle n’est pas génératrice de violence. Et ce n’est pas en voilant la réalité par des éléments de langage -du type « des jeunes » pour désigner les immigrés- que la réalité elle-même cessera d’exister…

L’UE veut contrôler davantage les médias : quand l’européisme révèle son caractère totalitaire

The Telegraph, un site d’information britannique, se fait l’écho d’un rapport d’experts de « haut niveau », lequel établit notamment que « tous les pays de l’UE devraient disposer d’un conseil indépendant des médias« , lequel doit « disposer de réels pouvoirs de sanction comme le fait d’imposer des amendes, d’ordonner la diffusion d’excuses publiques ou le retrait du statut de journaliste » . En bref, le rapport préconise d’instaurer un contrôle accru des médias, par instances de supervision nationales, lesquelles rendraient compte à la Commission.

Réagissant à cette annonce, le député conservateur britannique Douglas Carswell a déclaré que ce rapport illustre « le genre d’état d’esprit que je m’attendrais à rencontrer en Iran pas en Occident. Cette idée loufoque nous en dit un peu plus quant au futur de la réglementation de la presse. Elle laisse entendre que le projet européen est finalement incompatible avec la notion d’une société libre » .

En réalité, nous pouvons nous indigner, mais non pas être surpris. Rien d’étonnant que l’Union Européenne prenne les moyens de contrôler de plus près la presse et les journalistes : son caractère totalitaire est inscrit dans son ADN. Conçue à rebours des exigences du principe de subsidiarité, lequel n’admet pas qu’une société d’ordre supérieur confisque les prérogatives d’une société d’ordre inférieur, chaque fois que celle-ci peut les assumer par elle-même, elle apparaît comme un pouvoir lointain qui s’impose directement et indistinctement à chaque individu, au mépris de la responsabilité des corps intermédiaires. Or une telle structure doit disposer d’un appareil aux ordres, qui puisse notamment centraliser l’information.

Ce à quoi nous assistons était déjà écrit : encore fallait-il discerner les implications du projet européen, dès qu’il a été mis en place. Big brother is watching you !

Le cinéaste gauchiste Oliver Stone « regrette » ses propos sur les Juifs

Le réalisateur américain Oliver Stone a affirmé hier « regretter » ses propos controversés publiés dans la presse britannique ce week-end, où il affirmait que si la culture occidentale met l’accent sur l’Holocauste c’est parce que les juifs « contrôlent les médias ».

« En essayant d’avoir une vision historique plus large sur les atrocités commises par les Allemands envers de nombreuses personnes, j’ai fait un amalgame maladroit sur l’Holocauste, j’en suis désolé et je le regrette », déclare-t-il dans un communiqué. « Bien évidemment, les juifs ne contrôlent pas les médias ou une quelconque autre industrie », ajoute-t-il. « Le fait que l’Holocauste soit aujourd’hui un sujet très important et toujours d’actualité est à mettre au crédit du travail inlassable de nombreuses personnes engagées dans le travail de mémoire sur cette atrocité — car ce fut une atrocité », conclut-il. Continuer la lecture de « Le cinéaste gauchiste Oliver Stone « regrette » ses propos sur les Juifs »

Eric Zemmour ne sera pas viré du Figaro

Le Figaro a annulé la convocation d’Eric Zemmour, préalable à un licenciement, à la suite, comme par hasard du retrait de la plainte de la Licra.
On peut ici toucher du doigt l’extraordinaire pouvoir de ce lobby sioniste et cosmopolite. Il peut faire et défaire la carrière de n’importe quel journaliste, quel que soit son « poids médiatique ». Il est de bon ton d’affirmer que les médias ne résonnent qu’en terme d’audience et donc de retombées publicitaires. Preuve est faite qu’un certain lobby est bien au-dessus de cela…
Quel que soit son talent, Zemmour a dû s’excuser auprès de la Licra pour conserver son boulot.
Par ailleurs, il ne fait aucun doute que ses excuses aient été acceptées par le seul fait de son appartenance à la communauté juive.

Enfin, il est à noter que le courageux Zemmour a finalement renoncé au débat qui devait le confronter au président de la Licra, l’odieux Jakubowicz.
Sans doute, avait-il trop à perdre d’un tel face à face. Soit il ridiculisait Jakubowicz pour soigner son image vis-à-vis de ses fans mais se retrouvait de nouveau avec une plainte, un licenciement et une meute médiatique aux fesses. Soit il se laissait dominer et perdait ainsi la confiance des ses fans et donc de son fonds de commerce… Zemmour a choisi la fuite.

Avis à tous ceux qui voyaient en lui le nouveau « Duce » de la mouvance nationale.

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Dégradations sur la façade de Saint-Nicolas-du-Chardonnet : on attend toujours la réaction des autorités

Vers trois heures de l’après-midi du dimanche 17 janvier 2010, trois jeunes cagoulés ont lancé neuf projectiles (des pots de confiture) remplis de peinture rouge sur la façade de l’église Saint-Nicolas-du-Chardonnet.
Ils ont été aperçus par un fidèle présent qui a pu donner leur signalement à la police qui est arrivée sur les lieux quelques minutes après les faits.
Aucune revendication n’a été faite.

Aucune protestation publique non plus…

M. Sarkozy ne s’est pas déplacé pour dénoncer « le scandale digne des heures les plus sombres de notre histoire ».
Mgr Vingt-Trois ne nous a pas fait part de sa « solidarité », encore moins de son indignation devant le temple de Dieu sali.
La Halde [Haute Autorité de Lutte contre les Discriminations et pour l’Egalité] ne s‘est pas saisie de cette injure faite à des Français « en raison de leur religion ».
Quant aux médias, ils n’ont pas jugé utile de faire connaître les faits au public.

Ce n’est après tout qu’une église catholique…