Où va l’argent des amendes et impôts des Parisiens ?

Ici, par exemple :

Cliquer sur l’image pour l’avoir en plus grand.
Coût de la fête : au moins 100 000 euros (d’après la mairie)

Pourquoi ne pas appeler ce numéro (01 42 76 63 10) pour exprimer son étonnement ou demander s’il y aura de l’alcool ?

Montpellier : la secte maçonnique distribue les postes

Crise de folie? Prise de conscience? Accès de courage? Probablement pas. Il s’agit sans doute de rivalités entre différentes loges maçonniques qui ont poussé deux journalistes du Midi Libre à publier un article qui dénonce les petites magouilles entre les « frères » montpellierains :

De l’importance d’être un frère… Hasard ou pas, les membres de cabinet d’Hélène Mandroux, nouvellement nommé, Gilles Boulet et Daniel Andersch, proposent un CV enrichi de leur présence dans la Grande Loge de France (GLDF) dont sont issus de nombreux élus montpelliérains, au premier rang desquels l’adjoint à l’urbanisme Philippe Saurel. Ce “vénérable” d’une loge montpelliéraine a aujourd’hui abandonné sa charge pour revêtir un simple tablier de maître.

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Les épurateurs sont toujours déchaînés : les 2 dernières rues « Pétain » menacées

Le Maréchal de France, héros de la première Guerre mondiale qui s’est sacrifié pour la France en 1940 et opéra son redressement temporaire, déchaîne toujours la haine des épurateurs dans l’âme.
Ainsi, le quotidien L’union – L’Ardennais daté du 20 novembre sonne l’hallali contre les 2 dernières « rue Pétain » qui existent en France.
Sous la plume hystérique de Guillaume Lévy, un « reportage » (visible en partie ici) pointe du doigt un petit village des Ardennes : Trembloy lès Carignan. Au grand dam du commissaire politique de service, le maire ainsi que divers habitants affirment ne pas être dérangés, au contraire parfois, par le nom de cette rue qui rend hommage au vainqueur de Verdun.

C’est la France profonde, réelle, qui s’exprime : « cette plaque de rue ne me dérange pas plus que ça » déclare le maire. « C’est la rue du Pétain d’avant la Deuxième guerre. Verdun n’est qu’à 50 kilomètres à vol d’oiseau d’ici. Après, pendant la Guerre de 40, il a fait ce qu’il pensait être bien. Il a peut-être pas eu le choix… ».

Il y a déjà eu cette année la mairie de Gonneville-sur-Mer, contrainte à ôter de ses mûrs le portrait du Maréchal sur injonction du tribunal administratif de Caen (articles), puis celle de Dernancourt (Somme) débaptisant sa « rue Pétain » sur « proposition » du préfet.
Tremblois lès Carignan et Parpeville (Aisne) – pour qui ce funeste préfet de la Somme conseille à son homologue d’intervenir -, sont les deux derniers villages en résistance…
Pour combien de temps ?
2010 aura été une année faste pour les épurateurs. Au détriment de la mémoire… française !

Merci à Sanglier