LIESI : François Hollande a « gagné un gouvernement mais non pas le pouvoir »

Lu sur LIESI : LQuelques heures avant les élections présidentielles françaises, le Financial Times, le journal par excellence de l’establishment, publiait une tribune intitulée

“N’ayez pas peur de la révolution française“.

Cela signifiait-il que les jeux étaient faits ?

Philip Stephens y affirmait qu’avec l’élection française, un vent révolutionnaire allait souffler sur l’Europe. «Mais ce serait une erreur de croire que la Ve République est sur le point d’élire un président révolutionnaire», affirmait-il. En dépit d’un changement de gouvernement, les élites au pouvoir «continueront à vénérer l’austérité. Personne n’osera remettre en cause le catéchisme de l’assainissement budgétaire», prédisait l’éditorialiste.

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LIESI : la monnaie commune européenne est virtuellement morte

Il y a quelques heures seulement, il y eut beaucoup de bruit et de moquerie des grands médias sur le témoignage du trader d’Alessio de la BBC. Mais celui d’Attila Szalay-Berzeviczy, actuel dirigeant de la banque UniCredit, est d’un autre calibre et fait passer le témoignage du trader de la BBC pour une « comptine pour enfants ». Il faut savoir que si Szalay-Berzeviczy est l’actuel chef d’UniCredit global securities, il fut l’ancien président de la bourse hongroise. C’est donc un homme parfaitement au courant du système qui s’est exprimé sur le portail hongrois index.hu.

A la lecture de son témoignage, d’aucuns comprennent combien les moyens de subsistance qu’offre la finance sont devenus quelque chose d’extrêmement fragile. Le second grand ponzi est en train de détruire leurs boulots, leurs carrières, et leur mode de vie tout entier.

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LIESI : Les agences de notation ne sont qu’un instrument du cartel bancaire

« La présente fenêtre d’opportunité, durant laquelle un ordre mondial pacifique et interdépendant peut-être construit, ne sera pas ouverte pour très longtemps. Nous sommes à l’orée d’une transformation globale. Tout ce dont nous avons besoin est une crise majeure appropriée, et les nations accepteront le Nouvel Ordre Mondial.»

David Rockefeller, 23 septembre 1994.

Cette “transformation globale” et “la crise appropriée” ont bien un rapport avec le scénario joué actuellement par des banquiers internationaux, agissant derrière des ORGANISMES et des POLITICIENS véreux.

« Une agence de notation est un organisme indépendant qui fournit à ses clients (les investisseurs, les analystes, les marchés, etc.) une évaluation d’une entreprise, d’une institution financière, d’un pays. Cette évaluation porte sur les risques qu’un investisseur pourrait courir en investissant dans l’entreprise, l’institution financière ou le pays concerné.

La première organisation centrée sur l’évaluation sociale des entreprises est l’Investor Responsability Research Center fondé aux Etats-Unis en 1972… IRCC était financée par des fondations comme Ford, Rockefeller et Carnegie. Ses premiers clients étaient les fonds d’investissement de grandes universités américaines ». (Extrait de l’ouvrage L’émergence des risques : au travail, par Jean-Marie Mur.)

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Les langues se délient… un acteur caché dénonce les turpitudes du Système

Tout est lié.
Tout est orchestré.
Standard and Poor’s dégrade la note des Etats-Unis pour le plus grand profit d’un insider.
Et les langues se délient.

Un senior de Moodies révèle la corruption quasiment systémique de cette agence de notation. Il décrit en détail comment sociétés et états corrompent activement toute la hiérarchie pour obtenir la meilleure note possible. Il décrit comment les analystes honnêtes sont soit brimés, soit virés.
Tout le système est pourri à la base puisque l’agence est payée par les sociétés et les états qu’elle doit noter.

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Economie : c’est au tour de la France

Le président Nicolas Sarkozy a-t-il interrompu ses vacances d’été uniquement pour assister à un rebond technique des bourses européennes ? La réalité est que le problème de la dette française constitue maintenant un problème immédiat pour les marchés internationaux, bien plus grave que l’abaissement de la note de la dette américaine. Le dollar n’a pas été affecté par cette décision de Standard and Poor’s, mais l’euro, c’est une autre affaire ! Car la dégradation de la note de la dette française impacterait dramatiquement l’euro. Quand les bourses américaines ont plongé, en début de semaine dernière, de nombreux investisseurs ont afflué vers le Trésor américain, signe que le pessimisme n’était pas au plus bas pour les Etats-Unis. Par contre, les problèmes de liquidités concernant les dettes européennes sont si conséquents maintenant, que l’idée fait son chemin selon laquelle l’Allemagne et la France ne disposent pas de liquidités suffisantes pour renflouer tout le monde au sein de la zone euro. (Cliquer pour lire la suite.)

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La « reprise » américaine… celle des grands donneurs de leçons

Au tout début de la crise des subprimes, aux Etats-Unis, on distribuait un peu plus de 26 millions de bons d’aide alimentaire (Supplemental Nutrition Assistance Program : en moyenne 134 $ par mois – soit 71 Md$ distribués tous les ans). Aujourd’hui, ce chiffre a légèrement grimpé (nous parlons ainsi parce que bien évidemment, la situation américaine est tellement meilleure que celle de ces affreux Graecs) : 45 millions d’américains (15 % de la population, soit 1 américain sur 8 ) sont dans la détresse alimentaire.

source :LIESI

LIESI : la ruine prochaine d’un très grand nombre de titulaires de compte bancaire

Aujourd’hui, les « artistes » de la finance sont contraints de gérer au quotidien un énorme mensonge, celui de la faillite d’un pays qui tient toujours à sa réputation : être « numéro un » en de nombreux domaines ! En réalité, désormais, les Etats-Unis ou la Babylone de l’Apocalypse de saint Jean ont besoin de sortir les griffes, les avions militaires, les tanks, les scandales (DSK), etc., chaque jour, pour ne pas être déclarés en faillite par les organisations financières supranationales de la planète.

Autre détail qui laisse songeur : l’existence d’une « équipe de plongeon des marchés » dépendant directement du Secrétaire au Trésor américain et constamment sur le qui-vive. Des réunions sont régulièrement organisées avec les responsables des plus grosses banques d’affaires de Wall Street pour soutenir, par tous les moyens, les marchés financiers. C’est l’ultime rempart avant que la perception d’une crise systémique soit admise par tous les acteurs… dont l’écrasante majorité aime vivre dans le mensonge. Depuis plusieurs années, d’aucuns font des rapprochements entre cette situation désastreuse de l’économie américaine et la période de la fin des années 20.

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LIESI : si le cartel bancaire avait choisi la Grèce pour abattre l’euro ?

Nous avons déjà eu l’occasion de nous exprimer sur le sujet de la Grèce. Ce qui se passe : le comportement des politiciens européens et tout particulièrement celui du couple franco-allemand, dépasse l’entendement. On œuvre volontairement à un jeu de massacre ! Et comme une personne raisonnable ne s’amuserait pas à détruire sciemment un pays dont la chute va entraîner la faillite de nombreuses banques, il faut bien évidemment faire un rapport entre le comportement des politiciens européens et la sanction imposée par le cartel bancaire à Dominique Strauss Kahn. Ils sont sur un siège éjectable, ils ont la trouille et n’ont pas de marge de manoeuvre. Il suffit de voir leur mine ! En se comportant comme les laquais de ceux qui contrôlent les banques centrales américaine et européenne, ils s’apprêtent à ruiner leurs peuples. C’est aussi simple que cela.

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LIESI : les cas grec et la trahison des chefs d’Etat

La journée de dimanche en Grèce a donné lieu à un immense rassemblement de la population dans le centre d’Athènes. Qui est à l’origine de cette manifestation non-violente ? Les « Indignés », un mouvement alternatif de résistance fédéré sur internet et calqué sur une campagne du même type en Espagne. Selon la police, plus de 50.000 personnes se sont rendues dans la soirée sur la place Syntagma (de la Constitution), juste en face du Parlement, en chantant « Voleurs, voleurs » à l’adresse des députés et du gouvernement.

Ce rassemblement survient le surlendemain d’un accord du Premier ministre Georges Papandréou avec les créanciers du pays pour une rallonge financière en échange d’un contrôle accru sur les dépenses du pays et de nouveaux sacrifices budgétaires.

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Quand les grandes puissances provoquent des guerres pour éviter la faillite…

Lu sur LIESI :

Extraits de l’ouvrage de Jacques Delacroix : 1929-2007 des parallèles stupéfiants – Le Pouvoir occulte met Wall Street dans son ligne de mire.

Bien que ce soit l’un des secrets les mieux gardés de la guerre 1914-18, le Trésor et les finances de l’Empire britannique étaient déjà en faillite au moment où la guerre était déclarée entre la Grande-Bretagne et le Reich allemand. Si l’on examine la réalité des relations financières des principales parties entrées en guerre, on découvre un arrière-fond extraordinaire de crédits secrets, de plans pour partager les matières premières et la richesse physique du monde entier d’alors, sur la base de crédits par tranches. A ce moment-là, il fut décidé que New York devait être le banquier de l’entreprise !

En effet, la Première Guerre mondiale fut déclenchée quand on s’aperçut que les réserves d’or des pays belligérants ne pouvaient pas financer les hostilités ni garantir la valeur des émissions de monnaie fiduciaire des Banques centrales. Comme la production ne pouvait pas suivre le rythme de ces émissions, il s’ensuivit une dégradation constante de la valeur des monnaies et l’instauration de leur cours forcé, souvent accompagné d’un moratoire. Comme les échanges internationaux se réglaient en or, tout fut mis en œuvre afin d’exiger que les réserves d’or des pays belligérants soient envoyées vers les pays créanciers. Ainsi se déplaçait le centre de pouvoir de l’Europe vers les Etats-Unis ! Bien évidemment, l’ampleur de ces mouvements de capitaux déstabilisa les marchés des changes et freina le commerce international.

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Sommaire du numéro 230 de LIESI

Une analyse objective des événements du Moyen-Orient et de l’Afrique du Nord est désormais impossible si l’on occulte le document historique mis pour la première fois en évidence par l’agent des services secrets canadiens W.G. Carr: à savoir la correspondance du 15 août 1870 entre Albert Pike (pontife du rite palladique luciférien) et Mazzini (chef de la Haute Vente – la Maçonnerie italienne). Le plan ourdi à la fin du XIX° siècle entre les deux hommes disait que trois guerres mondiales et de grands désordres sociaux étaient nécessaires pour obtenir un Nouvel Ordre Mondial. Plus, qu’une Troisième Guerre mondiale commencerait au Moyen-Orient et opposerait les islamistes aux sionistes et à leurs alliés.

Dès lors que l’on touche à l’occulte, on a la certitude que les grands médias n’apporteront JAMAIS l’éclairage nécessaire à la compréhension des événements actuels. Récemment, deux journalistes nous ont dit avoir perdu leur emploi au motif qu’ils avaient souhaité dire la vérité sur la face cachée du mondialisme. En réalité, la démo(n)cratie, c’est la censure et le génocide légalisé tant que cela sert la cause du mondialisme babélien.

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