L’entourage de Sarközy vaut le coup d’œil

Le très sioniste  Thierry Gaubert (de son vrai nom Goldenberg) était déjà mis en examen par le juge d’instruction de Nanterre pour abus de biens sociaux et escroquerie (utilisation des fonds du 1 % logement des Hauts-de-Seine dans les années 1980-1990), et placé en garde à vue en septembre 2011 dans le cadre de l’enquête sur l’affaire Karachi. Il est aujourd’hui impliqué dans une affaire de proxénétisme en Colombie.
Thierry Gaubert (frère de l’inquisiteur antinationaliste Patrick Gaubert) est un très proche de Nicolas Sarközy.

Le site mediapart évoque l’affaire : «La police de Bogota a engagé des investigations pour blanchiment présumé visant les propriétés de Thierry Gaubert et de son associé en Colombie, Jean-Philippe Couzi. Après avoir construit leurs villas avec des fonds occultes, les deux hommes ont monté des bars dans le village de Nilo : le « Nibar » et le « Nichon », qui attirent, eux, d’autres soupçons. En France, Hélène Gaubert et Astrid Betancourt ont accusé leurs maris d’héberger des prostituées. Les intéressés démentent. » (source et suite)

L’écrivain Hervé Ryssen rappelle à cette occasion que « le proxénétisme international est largement le fait de la mafia juive », dont il a traité dans un sulfureux ouvrage (disponible ici).

« Nicolas Sarkozy est au cœur de la corruption dans l’affaire de l’attentat de Karachi »

Lu sur Mecanopolis

« Le Président de la république est accusé sans ménagement dans cette affaire dite de « l’attentat de Karachi », où onze ingénieurs et techniciens français de la Direction des constructions navales (DCN) avaient trouvé la mort en 2002.

L’explosion du bus de la DCN avait d’abord été attribuée à Al-Qaeda par le gouvernement pakistanais. Une autre thèse est aujourd’hui privilégiée par le juge d’instruction parisien Marc Trévidic. Celle d’une vengeance de militaire pakistanaise, auxquels des commissions – promise lors de la signature, en 1994, d’un contrat de vente de trois sous-marins français Agosta, n’auraient pas été entièrement versées. Les militaires pakistanais auraient donc organisé une opération false flag, de sorte à faire croire à une attentat terroriste aux populations, tout en envoyant un message clair au gouvernement français, qui ne pouvait ignorer la supercherie mais avait intérêt à laisser camoufler la vérité.

Pour l’heure, le juge d’instruction et ses enquêteurs se concentrent sur ces commissions : 80 millions (soit 10% du marché), ont pu donner lieu au versement des rétrocommissions. Ces fonds, estiment-ils, auraient été destiné à financer la campagne d’Édouard Balladur, candidat à la présidentielle en 1995.
Continuer la lecture de « « Nicolas Sarkozy est au cœur de la corruption dans l’affaire de l’attentat de Karachi » »