« Nous avons acheté Manhattan, la Hongrie, la Roumanie et la Pologne »

Il nous faut rétablir certaines vérités concernant le Jobbik, le parti nationaliste hongrois.
Les merdias français l’accusent parfois de délire antisémite, parce qu’il affirme par exemple que les Israéliens raflent massivement l’immobilier hongrois.
Laissons donc le président israélien Shimon Peres nous donner son avis (à l’Hotel Hilton de Tel-Aviv en 2007) :

Hongrie : un test génétique créé la polémique…

Les médias hongrois ont rué dans les brancards quand les résultats d’un test génétique commandé à un laboratoire d’analyse médicale par un député du Jobbik, l’excellent parti nationaliste, ont été rendus publics.

L’un des principaux sites nationalistes magyars s’est naturellement réjoui des résultats, qu’il a qualifiés de « nobles » :
« Aucune trace génétique d’ancêtres juifs ou roms. »

Emoi (probablement feint) chez les « scientifiques » stipendiés et les politicards de gauche comme de droite. Ceux-là qui faisaient mine de se haïr récemment (le parti conservateur d’Orban, au pouvoir, étant présenté comme « d’extrême-droite », sic) s’unissent sur-le-champ dans un concert d’indignation citoyenne, républicaine, etc.

Le directeur de l’institut de génétique de l’Académie hongroise des sciences, István Raskó, a qualifié ce test de « non-sens », n’hésitant pas à mentir en affirmant qu’il est « impossible de déduire des origines ethniques d’après des variations génétiques dans le génome ».
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Réunion nationaliste internationale : hystérie du Système politico-médiatique croate

« A l’invitation du parti croate HCSP (« Parti authentique du droit croate »), une délégation du Renouveau français menée par son directeur Thibaut de Chassey s’est rendue à Zagreb quelques jours pour participer à une conférence nationaliste internationale, puis à une manifestation contre la détention de généraux croates par l’illégitime tribunal pénal international de la Haye.

Le moins que l’on puisse dire est que l’événement n’est pas passé inaperçu en Croatie. Il a fait la une de toute la presse et même le président de la République s’est exprimé à ce sujet. Le gouvernement a embrayé sur les médias de gauche en interdisant le meeting et la manifestation sous des prétextes relevant de la plus pure mauvaise foi. Cette décision, constituant un grave scandale, est une première depuis 15 ans.
L’année dernière, une manifestation spontanée et populaire sur le même thème avait réuni 50 000 personnes. »
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Le mouvement Jobbik réclame le retrait de la Hongrie de l’UE

Un drapeau européen brûlé: l’image est plutôt rare. Ce sont deux députés hongrois du parti Jobbik qui ont mis le feu au symbole de l’Union européenne le 14 janvier à Budapest. Deux mille sympathisants de Jobbik réclament le retrait de la Hongrie des institutions européennes.

Gollnisch et le Jobbik embarrassent la direction du FN

Le Front National aurait « rompu les liens avec le Jobbik », le puissant et dynamique parti hongrois nationaliste, selon son vice-président, Louis Aliot.

Bruno Gollnisch, son prédécésseur à la vice-présidence, chargé des questions internationales, affirme que les deux partis continuent d’être des partenaires, notamment dans le cadre de l’Alliance européennes des mouvements nationaux (AEMN) qu’il préside :

« Le FN a toujours des liens avec le Jobbik. En tout cas, moi, je continue à en avoir. Je continue à travailler sur le plan parlementaire avec eux.

Louis Aliot m’apprend que l’on n’a plus de liens avec le Jobbik ! Louis Aliot n’est malheureusement pas au Parlement européen et je ne sais donc pas si M. Aliot est exactement informé de la situation ». […]
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Curiosit̩ РLe Jobbik (Hongrie) en revient aux runes

Csanád Szegedi est député européen du Jobbik (puissant mouvement nationaliste et chrétien hongrois, dont nous vous parlons de temps en temps). En 2010, il a lancé un programme afin d’inscrire les noms des villes hongroises en anciennes runes hongroises. Gyöngyöshalász a été la première municipalité a placer les inscriptions. D’autres ont suivi.
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La droite nationale hongroise commémore le traité de Trianon

[Un reportage de Contre-Info]
Le 4 juin 2010, près de 350 patriotes hongrois se sont rassemblés à Versailles devant le palais de Trianon. 
Venus de Hongrie en car pour la plupart, en motos pour une trentaine, ils entendaient rappeler qu’il y a quatre-vingt-dix ans, leur patrie fut partagée à telle enseigne qu’il ne subsiste aujourd’hui du territoire hongrois qu’un tiers de ce qu’il fut.  
L’ensemble de la droite nationale était  représentée, à commencer par le parti Jobbik et son égérie Krisztina Morvai. Les jeunesses des 64 comtés (HVIM) avaient eux aussi fait le déplacement.
Chants et discours, dans une mer de drapeaux, dont l’emblématique bannière rouge et blanche d’Arpad, le chef historique des tribus magyares, se succédèrent dans une atmosphère presque religieuse. L’émotion était palpable. Les Hongrois se figèrent quant retentirent les premières notes du chant des Sicules, les frères séparés de Transylvanie.
Un des orateurs affirma qu’il ne suffisait pas de se souvenir du traité de Trianon, mais qu’il fallait en parler sans cesse. Cette commémoration n’était en effet pas seulement mémorielle, mais aussi revendicative, demandant à la France de réparer ce qui est considéré en Hongrie comme une injustice. 
 
Le premier rassemblement était autorisé jusqu’à 12 heures, ce qui permit à la police républicaine, invoquant ce prétexte, d’exiger des quelques patriotes français s’attardant sur les lieux, une présentation de leurs pièces d’identité. Ils agissaient « Ã  la demande du procureur » avec une rare insolence.
Ils menacèrent même, comble de la mesure, les députés Krisztina Morvai et  Tamas Gaudi Nagy d’arrestation, car ces derniers refusaient d’obtempérer.
Invoquant leur immunité diplomatique, le député hongrois appella l’ambassade de son pays, ce qui mit la police dans une certaine confusion. « C’est un non-incident » dit en se résignant l’officier de police…
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Actualité hongroise‏

Dimanche 25 avril, le Jobbik a confirmé sa percée électorale en envoyant 48 députés au Parlement national de Budapest.
Fondé en 2003, Le Jobbik est un exemple d’une recomposition réussie de droite nationale. Celle ci était alors handicapée par l’attitude peu habile d’Istvan Csurka, aux tendances népotistes, brillant écrivain mais piètre rassembleur. Le Miép, « Parti de la Vérité et de la Vie hongroise », dont il était le maître, avait peu de chances de remporter la mise. C’est chose faite avec le Jobbik. Issu du monde étudiant, où le « radicalisme » a ses meilleures assises, le Jobbik se fit connaître en érigeant des croix dans Budapest pendant la période de l’Avent ou en aidant matériellement les Hongrois de Transylvanie.

Profitant de l’émotion suscitée par la répression anti-nationale des émeutes de 2006, il bénéficie peu à peu du soutien de Kristina Morvai ( prononcez le i!), juriste éminente. Cette belle et très charmante personne est le cauchemar de l’établissement « hongrois ». C’est un peu comme si Élise Lucet claquait la porte de France 2 pour se mettre au service du Front National, voire du Renouveau Français. Devenue profondément chrétienne, elle a été très marquée par ce qu’elle a vue en Palestine, contrée dont elle aime comparer le sort à la Hongrie. Souhaitons-lui bonne chance.

Jean,
pour contre-info

Percée remarquable du parti nationaliste hongrois Jobbik

Les élections législatives hongroises de ce dimanche 12 avril ont été marquées par un effondrement de la gauche, un triomphe du parti de centre-droit Fidesz (52,74% des voix), et une remarquable percée du mouvement de droite nationaliste Jobbik.

Le Jobbik Magyarországért Mozgalom (« mouvement pour une meilleure Hongrie ») obtient 16,71% des voix et entre pour la 1ère fois au Parlement. Il gagne 2 points par rapport à son score des élections européennes de 2009.

D’abord association d’étudiants nationalistes créée en 2002, il devint un parti politique en 2003. Il connut un succès grandissant, dépassant l’ancien parti radical MIEP, et fit parler de lui  notamment en fondant la « Magyar Garda » (« garde magyare »), milice paramilitaire patriotique dissoute en 2009 par le gouvernement de gauche, et qu’il tente de recréer actuellement.

Il avait été aussi impliqué dans les émeutes de ces dernières années qui avaient été réprimées de manière très brutale, même sanglante, ce qui avaient motivées la création de la Garde.

La doctrine du mouvement est marquée par un nationalisme fervent, un christianisme affiché et militant, la défense des minorités hongroises hors-frontières actuelles ainsi qu’une lutte contre le lobby juif qui serait en France largement qualifiée d’antisémite.