Ethnographe néerlandaise : ce sont les « jeunes » les mieux « intégrés » qui se radicalisent

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Contrairement à une idée reçue, ce ne sont pas les jeunes d’origine immigrée les moins bien intégrés dans leur environnement occidental qui présentent le plus grand risque de « radicalisation », mais au contraire ceux qui ont vécu à la manière occidentale, éventuellement issus de familles aisées. C’est l’avis d’une ethnographe néerlandaise, Marion van San, qui devait témoigner ce lundi devant la commission « radicalisation » du Parlement flamand de ses recherches au sein de familles belges ou néerlandaises qui ont vu un enfant partir pour se battre en Syrie. Elle va même jusqu’à dire que ce sont « les jeunes les mieux intégrés qui se radicalisent », elle qui suit le problème sur le terrain depuis 2009. Elle a publié une tribune dans le quotidien belge De Standaard à l’occasion de son audition.

A l’heure où les gouvernements occidentaux aux prises avec la fascination de leurs jeunes « ethniques » (et quelques autres) par rapport à l’islam imaginent trouver une solution dans l’intégration laïciste, le constat de Marion van San mérite d’être entendu. Elle ne craint pas de dire que ce ne sont pas des jeunes de milieux pauvres, qui ont pratiquement lâché l’école avant l’adolescence, ou qui se sentent exclus de la société, qui fournissent les plus gros bataillons des recrues étrangères de l’Etat islamique. Ils sont nombreux à provenir des « classes moyennes ou aisées ».

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La famille Sarközy toujours pas assimilée…

Comme vous le savez, les prénoms sont des marqueurs identitaires, autant qu’ils révèlent l’état d’esprit des parents.
Ainsi, des naturalisés ayant une sincère volonté de s’assimiler à un peuple prendront pour leur progéniture des prénoms typiques.

En France, le couple présidentiel est constitué de deux personnes « issues de l’immigration ».  Nicolas Sarközy est hongrois par son père, « juif de Grèce » par sa mère. Son fils Jean (« converti » au judaïsme) a nommé symboliquement son premier enfant du prénom exotique de « Solal ».

La femme actuelle du président, l’italienne  de sulfureuse réputation Carla Bruni, vient quant à elle d’accoucher d’une petite fille.
Ses parents, méprisant ostensiblement à la fois la culture française et leur charge, l’ont nommée d’un prénom étranger : « Giulia ».
« Julie » (ou même Julia) aurait sûrement fait trop franchouillard, trop ringard ; mais nous avons échappé à Britney ou Brenda…
Car en effet Sarközy aurait voulu être américain. Ceci est notoire et les médias d’outre-Atlantique évoquent texto « Sarközy l’américain ».
La police, la démesure et le bling-bling américains l’inspirent beaucoup plus que la France (et les Bretons en particulier).
Il avait d’ailleurs déclaré à Philippe de Villiers dans un élan de sincérité :
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Culot sarközyste : Arno Klarsfeld va gérer notre immigration

L’avocat « franco »-israelien Arno Klarsfeld est (sans surprise) un proche de Nicolas Sarközy. Ce sioniste fanatique s’était engagé en 2002 chez les gardes-frontières israeliens et fut un partisan des diverses guerres d’agression américano-israeliennes.
Comme beaucoup, il est pour l’immigration-invasion et le métissage en France, c’est un farouche « antiraciste ». En revanche, pour Israël, il défend une politique ultra-nationaliste, voire raciste.

Figurez-vous qu’il a été nommé président de l’Office français (sic) de l’immigration et de l’intégration (Ofii) par un décret du président de la République paru aujourd’hui au Journal officiel…

Sarközy lui avait confié à plusieurs reprises des missions variées : sur « la loi, l’histoire et le devoir de mémoire » en 2005; sur la prévention de la délinquance des mineurs ou bien encore une médiation auprès des sans-papiers parents d’enfants scolarisés en 2006.

Pour la peine, en réponse à cette provocation, un montage video d’Hervé Ryssen :

Et une autre :
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En Suisse aussi, on marche sur la tête

Surtout en Suisse francophone malheureusement.

Devinez comment le canton de Genève a décidé d’aider les jeunes immigrés albanophones à mieux s’intégrer ?
En leur donnant des cours d’albanais !
Oui, l’Etat estime que leur apprendre leur propre langue, avec l’argent des citoyens, facilitera par la suite leur intégration (notoirement problématique)…
Ainsi, la Ligue des enseignants et des parents albanais (LEPA) se verra donc remettre 50 000 euros (60 000 fr s.) pour aider au financement des cours à donner aux 1500 enfants albanophones du canton, âgés de 7 à 12 ans.

Source
Merci à NG