Brest : l’imam fait du prosélytisme dans les écoles de la commune !

L’imam de Brest vient de solliciter la complicité des enseignants pour accroitre son prosélytisme auprès des enfants : profitant de la faiblesse de nos politiques, pris en otage par la culpabilisation dont ils sont menacés de faire l’objet s’ils adoptaient une attitude ferme face à l’islam conquérant, l’imam de Brest propose aux enseignant, dans une lettre datée du 19 janvier 2013, de faciliter aux enfants la découverte de l’islam en organisant une sortie pédagogique à la mosquée. Faciliter aux enfants la découverte de l’islam ? Eux qui ignorent la religion de leurs ancêtres, celle qui a façonné l’âme française dont ils sont pourtant les fils, celle qui a pourtant pénétré notre tissu social ainsi qu’en témoignent encore notre calendrier, nos clochers et nos calvaires…

 

Ironie du sort, Brest est précisément la ville dont le maire est à ce point respectueux de la laïcité qu’il a interdit le mot Épiphanie et la galette des rois dans les écoles de sa commune. Bête au point d’écarter une fête du calendrier qui, jusque là, structure toujours notre temps social. Bête au point de vouloir ignorer -du passé faisons table rase- que la religion chrétienne a imprégné notre histoire et notre mode de vie, puisque nous vivons l’année civile au rythme de ses fêtes. Bête jusqu’à vouloir écarter toute allusion à une culture, pourtant bien française, mais qui a le malheur d’avoir été modelée par la foi de ses pères. Nous sommes donc curieux de savoir comment ce maire va réagir à une telle intrusion du religieux dans l’école communale…

Jean de Rouen

Lille, première ville islamique de France ?

Petit documentaire sur la conquérante « Ligue islamique du Nord »  (« nous sommes chez nous ») et les reptations que fait devant elle le Parti socialiste (notamment Martine Aubry, maire de Lille).

Pour rester dans la région, ce lundi 11 juillet, de 16h à 18h, sera inauguré dans le centre commercial Espace grand-rue de Roubaix, un tout nouveau fast-food.
Family Food Burger, c’est son nom, s’étendra sur 600 m2, et proposera « un nouveau concept de restauration rapide halal ».

« Ils m’ont traité de mécréant et d’ imam des juifs »

Quatre jours après avoir pris position dans les colonnes du Parisien en faveur d’une loi interdisant la burqa dans les lieux publics, l’imam de Drancy et président de la Conférence des imams, Hassen Chalghoumi, a déposé plainte contre X hier après-midi pour violences volontaires et menaces de mort.

Selon ses dires, un groupe de 80 islamistes aurait fait irruption lundi soir dans sa mosquée, à l’heure de la prière, et se serait emparé du micro. « D’après ce que m’ont dit mes conseillers, car j’étais absent au moment des faits, il y a eu une bousculade. Ils m’ont traité de mécréant et d’ imam des juifs . Pour moi, ces insultes ont valeur de fatwa  (condamnation) . »
Les autorités ont pris l’affaire au sérieux car cet imam de 36 ans, connu pour ses prises de position médiatiques en faveur d’un « islam de France » et d’un rapprochement avec la communauté juive, a déjà été victime de représailles en 2006 et 2009. A sa demande, Hassen Chalghoumi est depuis hier sous protection policière. Sa mosquée est placée sous surveillance.
Hier, les réactions de soutien se sont succédé de la part des responsables des autorités. Une compassion qu’étaient pourtant loin de partager hier soir les fidèles de la mosquée de Drancy. A la sortie de la prière, ces derniers donnaient une tout autre version des faits.
Selon une vingtaine d’entre eux, présents lundi soir, seules une dizaine de personnes extérieures à la mosquée se seraient présentées pour rencontrer l’imam et lui demander des explications sur ses propos sur la burqa. « Nous étions une centaine à assister à la prière, explique un fidèle. Quelques-uns ont peut-être traité l’imam d’ imam des juifs , mais personne n’a proféré de menaces de mort. » Toujours selon ces témoins, « il n’y avait pas d’islamistes. La personne qui a pris le micro est un habitué de la mosquée, qui a même conduit la prière plusieurs fois. Et tous les fidèles ont pris part au débat. » Dans la communauté musulmane de Drancy, des voix s’élèvent pour contester la légitimité d’Hassen Chalghoumi. « Qu’il dénonce la burqa, pourquoi pas, mais pas au nom de notre mosquée, résume Malik. Ses récentes déclarations nous choquent. » « Ce n’est pas un imam, renchérit une jeune croyante. Il a la compétence administrative et peut s’exprimer comme président de l’association cultuelle, mais il n’a pas le savoir théologique. » Embarrassé, un responsable de l’association appelle au calme : « Ce débat sur la burqa crée beaucoup de tensions. Nous aimerions que le calme et la sérénité reviennent dans la maison de Dieu. »
Source: Le Parisien