Najat Vallaud-Belkacem : Les berbères à l’Elysée ? « Inch’Allah »

 

Cette vidéo, tournée à l’occasion des voeux de 2009, lorsque Najat Vallaud-Belkacem n’est encore qu’adjointe à la mairie de Lyon en dit long sur l’importance que le nouveau ministre de l’Education Nationale accorde à la promotion de la culture berbère en l’occurence et des cultures étrangères en général.

Le journaliste exalte ses origines étrangères dans une logique de conquête très claire, et Najat se plie au jeu sans hésiter :

« Les berbères à la mairie de Paris, les berbères à la mairie de Lyon, les berbères au Sénat et demain à l’Elysée ? » lui demande le journaliste, ce à quoi elle répond : « Inch »Allah »…

Elle ajoute par ailleurs : « les berbères sont très heureux lorsque l’on valorise leur langue, leur culture et leurs traditions »…

Faut-il donc lui préciser que nous attendons des politiques français une préoccupation pour la langue, la culture et les traditions françaises ?

Nos têtes blondes sont entre de bonnes mains donc entre la théorie du genre et l’exaltation de cultures étrangères…

 

La famille Sarközy toujours pas assimilée…

Comme vous le savez, les prénoms sont des marqueurs identitaires, autant qu’ils révèlent l’état d’esprit des parents.
Ainsi, des naturalisés ayant une sincère volonté de s’assimiler à un peuple prendront pour leur progéniture des prénoms typiques.

En France, le couple présidentiel est constitué de deux personnes « issues de l’immigration ».  Nicolas Sarközy est hongrois par son père, « juif de Grèce » par sa mère. Son fils Jean (« converti » au judaïsme) a nommé symboliquement son premier enfant du prénom exotique de « Solal ».

La femme actuelle du président, l’italienne  de sulfureuse réputation Carla Bruni, vient quant à elle d’accoucher d’une petite fille.
Ses parents, méprisant ostensiblement à la fois la culture française et leur charge, l’ont nommée d’un prénom étranger : « Giulia ».
« Julie » (ou même Julia) aurait sûrement fait trop franchouillard, trop ringard ; mais nous avons échappé à Britney ou Brenda…
Car en effet Sarközy aurait voulu être américain. Ceci est notoire et les médias d’outre-Atlantique évoquent texto « Sarközy l’américain ».
La police, la démesure et le bling-bling américains l’inspirent beaucoup plus que la France (et les Bretons en particulier).
Il avait d’ailleurs déclaré à Philippe de Villiers dans un élan de sincérité :
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Denis Schérer, le délateur antifa de « Réflexes » démasqué

Le site antifasciste « Réflexes » s’est donné pour mission, depuis des années, de dénoncer (et souvent calomnier) tous les acteurs de ce qu’il qualifie « l’extrême-droite ».

Il mêle infos authentiques (parfois issues directement de la police ou de certains services de l’Etat), supputations de cyber-militants, grossières erreurs, calomnies ou manipulations volontaires.

Les rédacteurs et informateurs changent parfois, au fil des ans.
Mais celui qui sévit depuis quelques temps a été identifié : il s’agit de Denis Schérer, journaliste qui publie sous le pseudonyme de René Monzat (petite biographie ici).

En 2003, le politologue et historien des idées Pierre-André Taguieff n’avait pas hésité à le qualifier de « délateur professionnel », estimant même qu’il se prévalait abusivement du titre de « chercheur ».

Voici quelques photos de Denis Schérer prises lors du 8 mai dernier à Paris, alors qu’il s’évertuait à photographier tous les participants de la manifestation nationaliste, pour montrer leur visage sur son site.
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