Hongrie : le Premier ministre affirme que l’immigration menace la civilisation européenne

Orban

Lors d’une conférence organisée en l’honneur de l’ex-chancelier conservateur allemand Helmut Kohl, le Premier ministre hongrois Viktor Orban s’est exprimé sur les récentes vagues d’immigration qui ont frappé l’Europe. Il a affirmé sans détour que l’immigration massive menaçait la civilisation européenne.
« Une migration de masse se produit aujourd’hui dans le monde et elle pourrait changer le visage de la civilisation européenne. Si cela se produit, ce sera irréversible », a-t-il déclaré avant d’insister : « s’il y a une Europe multiculturelle, on ne reviendra pas en arrière, ni vers une Europe chrétienne, ni vers un monde de cultures nationales. […] Si nous faisons une erreur aujourd’hui, ce sera pour toujours ».

Viktor Orban répondait à des critiques récemment faites à son gouvernement après la distribution à la population hongroise d’un questionnaire sur l’immigration. Certaines questions, très critiquées, faisaient un rapprochement entre les migrants, les demandeurs d’asile et le terrorisme.
Le vice-président de la Commission européenne, Frans Timmermans, était même intervenu en personne pour dénoncer un questionnaire « malveillant et mauvais (…) qui véhicule des préjugés sur les étrangers ».

 Un discours que l’on aimerait entendre dans la bouche de notre Premier ministre bien entendu, mais surtout dans celles des dirigeants de la « droite » !

« Nous avons acheté Manhattan, la Hongrie, la Roumanie et la Pologne »

Il nous faut rétablir certaines vérités concernant le Jobbik, le parti nationaliste hongrois.
Les merdias français l’accusent parfois de délire antisémite, parce qu’il affirme par exemple que les Israéliens raflent massivement l’immobilier hongrois.
Laissons donc le président israélien Shimon Peres nous donner son avis (à l’Hotel Hilton de Tel-Aviv en 2007) :

Hongrie : un test génétique créé la polémique…

Les médias hongrois ont rué dans les brancards quand les résultats d’un test génétique commandé à un laboratoire d’analyse médicale par un député du Jobbik, l’excellent parti nationaliste, ont été rendus publics.

L’un des principaux sites nationalistes magyars s’est naturellement réjoui des résultats, qu’il a qualifiés de « nobles » :
« Aucune trace génétique d’ancêtres juifs ou roms. »

Emoi (probablement feint) chez les « scientifiques » stipendiés et les politicards de gauche comme de droite. Ceux-là qui faisaient mine de se haïr récemment (le parti conservateur d’Orban, au pouvoir, étant présenté comme « d’extrême-droite », sic) s’unissent sur-le-champ dans un concert d’indignation citoyenne, républicaine, etc.

Le directeur de l’institut de génétique de l’Académie hongroise des sciences, István Raskó, a qualifié ce test de « non-sens », n’hésitant pas à mentir en affirmant qu’il est « impossible de déduire des origines ethniques d’après des variations génétiques dans le génome ».
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Lajos Marton : vie hors du commun d’un patriote

 L’un des rares a avoir été condamné 2 fois à mort !
Patriote hongrois et français, Lajos Marton a été espion, combattant à Budapest en 1956, militant OAS, participant à l’attentat du Petit-Clamart contre De Gaulle, etc.

Ses mémoires viennent de paraître : Ma vie pour la patrie.
Dans l’émission audible ci-dessous, il est reçu par Emmanuel Ratier pour évoquer sa vie (à partir de la 22e minute).
 

Le livre est disponible ici.

4e de couverture :
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Le mouvement Jobbik réclame le retrait de la Hongrie de l’UE

Un drapeau européen brûlé: l’image est plutôt rare. Ce sont deux députés hongrois du parti Jobbik qui ont mis le feu au symbole de l’Union européenne le 14 janvier à Budapest. Deux mille sympathisants de Jobbik réclament le retrait de la Hongrie des institutions européennes.

Mobilisation politico-médiatique contre la Hongrie

De Jeanne Smits dans Présent via lesalonbeige.blogs.com de jeudi :

« Est-ce parce qu’on ne pardonne pas à Viktor Orban d’avoir courageusement, à 26 ans, tenu tête au pouvoir communiste qui écrasait son pays que « sa » Hongrie est aujourd’hui sous le coup d’une mobilisation politico-médiatique d’une ampleur ahurissante ? Parce que le Premier ministre hongrois est pro-vie ? Parce que sa Constitution musclée et centrée sur l’identité chrétienne rompt avec le relativisme ambiant ? Un peu de tout cela, sans doute… […] « L’Europe pourrait laisser la Hongrie faire faillite » titrait mardi Le Figaro – un peu vite au regard du contenu de l’interview qui suivait, mais enfin c’est l’idée qui reste. On ne tient pas tête impunément à Bruxelles.

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L’UE souhaite la mort de la Hongrie

Le gouvernement hongrois a lancé une campagne pour faire diminuer le nombre d’avortements et favoriser l’adoption. L’UE qui a contribué à hauteur de 400.000€ regrette et demande le remboursement des fonds. Attitude criminelle lorsque l’on sait que la nation hongroise perd près de 30.000 personnes (rapport natalité/mortalité) chaque année en dépit d’un solde migratoire positif.

Hongrie: le gouvernement lance une campagne pro-vie

Sans que ce soit pour autant une véritable attaque contre la culture de mort, le gouvernement hongrois lance une campagne de bon sens pour faire réfléchir les femmes qui souhaitent avorter. L’affiche ci-dessous est présente dans les lieux de passage de la capitale hongroise Budapest :

Le slogan est émouvant : « Je comprends bien que tu n’es pas encore prête pour moi, mais donne moi au service d’adoption, laisse moi vivre« , supplie le futur enfant à sa mère.  Ces affiches invitent les femmes ayant une grossesse non-désirée à véritablement réfléchir avant d’avorter et leur rappellent notamment que de nombreux couples en Hongrie désirent adopter un enfant.

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Curiosité – Le Jobbik (Hongrie) en revient aux runes

Csanád Szegedi est député européen du Jobbik (puissant mouvement nationaliste et chrétien hongrois, dont nous vous parlons de temps en temps). En 2010, il a lancé un programme afin d’inscrire les noms des villes hongroises en anciennes runes hongroises. Gyöngyöshalász a été la première municipalité a placer les inscriptions. D’autres ont suivi.
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La Hongrie va-t-elle choisir la vie ?

Hilary White de LifeSite signale que le gouvernement conservateur de Hongrie issu des élections d’avril dernier entend inscrire la protection de la vie depuis l’instant de la conception dans la nouvelle Constitution en cours d’élaboration.
La commission de rédaction du texte – que l’opposition avait quittée avec fracas à l’automne – devrait le présenter devant l’Assemblée nationale de la Hongrie entre le 10 et le 15 décembre, où la majorité dispose des deux tiers des sièges avec le Fidesz, parti du Premier ministre Viktor Orban. Continuer la lecture de « La Hongrie va-t-elle choisir la vie ? »

Entretien avec la mère du plus fameux prisonnier politique hongrois

Difficile de se promener en Hongrie, et en particulier à Budapest, sans apercevoir des graffitis ou affichettes appelant à la libération de quelqu’un : « Free Budaházy ! »
Mais de qui s’agit-il donc ?!

« György Budaházy est un militant nationaliste hongrois qui s’est fait connaître en réalisant des actions spectaculaires.
Au total, douze actions judiciaires ont été entreprises à son encontre. Deux sont terminées. Il lui est notamment reproché d’avoir enlevé des insignes communistes se trouvant sur un monument situé dans le centre de Budapest.
»

« Le 17 juin 2009, György Budaházy est arrêté et emprisonné pour « terrorisme ». Dix-sept autres personnes sont également jetées en prison. Elles sont suspectées d’appartenir à l’organisation Hunnia Csoport. La plupart de ces individus sont maintenus en détention arbitraire durant plusieurs mois, puis relâchés. Deux personnes sont ensuite, de nouveau, emprisonnées. György Budaházy est le seul qui est resté en prison de manière continue depuis quatorze mois. »

Voici un intéressant entretien avec sa mère, publié sur le site de Lionel Baland :
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La droite nationale hongroise commémore le traité de Trianon

[Un reportage de Contre-Info]
Le 4 juin 2010, près de 350 patriotes hongrois se sont rassemblés à Versailles devant le palais de Trianon. 
Venus de Hongrie en car pour la plupart, en motos pour une trentaine, ils entendaient rappeler qu’il y a quatre-vingt-dix ans, leur patrie fut partagée à telle enseigne qu’il ne subsiste aujourd’hui du territoire hongrois qu’un tiers de ce qu’il fut.  
L’ensemble de la droite nationale était  représentée, à commencer par le parti Jobbik et son égérie Krisztina Morvai. Les jeunesses des 64 comtés (HVIM) avaient eux aussi fait le déplacement.
Chants et discours, dans une mer de drapeaux, dont l’emblématique bannière rouge et blanche d’Arpad, le chef historique des tribus magyares, se succédèrent dans une atmosphère presque religieuse. L’émotion était palpable. Les Hongrois se figèrent quant retentirent les premières notes du chant des Sicules, les frères séparés de Transylvanie.
Un des orateurs affirma qu’il ne suffisait pas de se souvenir du traité de Trianon, mais qu’il fallait en parler sans cesse. Cette commémoration n’était en effet pas seulement mémorielle, mais aussi revendicative, demandant à la France de réparer ce qui est considéré en Hongrie comme une injustice. 
 
Le premier rassemblement était autorisé jusqu’à 12 heures, ce qui permit à la police républicaine, invoquant ce prétexte, d’exiger des quelques patriotes français s’attardant sur les lieux, une présentation de leurs pièces d’identité. Ils agissaient « à la demande du procureur » avec une rare insolence.
Ils menacèrent même, comble de la mesure, les députés Krisztina Morvai et  Tamas Gaudi Nagy d’arrestation, car ces derniers refusaient d’obtempérer.
Invoquant leur immunité diplomatique, le député hongrois appella l’ambassade de son pays, ce qui mit la police dans une certaine confusion. « C’est un non-incident » dit en se résignant l’officier de police…
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