Terrorisme homosexuel : un gîte ardéchois en ligne de mire

Au printemps dernier, un gîte avait refusé d’accueillir le stage d’été des Gais Musette en apprenant au dernier moment qu’il s’agissait d’un club de danse sodomite (lire ici notre article).
Après moult pleurnicheries, l’association de danse homosexualiste avait décidé de porter l’affaire devant la Halde, qui vient de lui donner raison: la haute autorité a décidé de transmettre le dossier au Procureur de la république en vue de poursuites pénales pour discrimination homophobe.

Le business de « l’antiracisme »

La nouvelle présidente de la Halde, Jeannette Bougrab, a fait voter début mai par le collège de l’instance de lutte contre les discriminations une délibération visant à doubler son indemnité mensuelle qui passe de 6.900 à 14.000 euros, selon Le Canard enchaîné à paraître mercredi.

L’hebdomadaire précise que cette délibération, en date du 3 mai et qui ne figure pas sur le site de la Haute autorité de lutte contre les discriminations et pour l’égalité, a été votée sous le titre de « modification de règlement de gestion des professionnels ».

Toujours selon Le Canard enchaîné, la présidente de la Halde bénéficiera également d’une indemnité de résidence.

Jeannette Bougrab, 36 ans, a été nommée présidente de la Halde par un décret du 16 avril du président de la République Nicolas Sarkozy. Créée par la loi du 30 décembre 2004, la Halde bénéficie d’un budget annuel de 11,9 millions d’euros et emploie 87 personnes.

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Les sodomites n’iront pas danser en Ardèche

«L’homosexualité ne correspond pas aux énergies et à l’éthique que nous développons.» Voici la fin de non-recevoir qu’a opposée l’association ardéchoise CÅ“urs et Jardins au club de danse lesbien, gay, bi et trans (LGBT), Gais Musette, qui souhaitait y organiser son stage de danse estival.
CÅ“urs et Jardins assure avoir voulu «protéger le lieu, l’image de l’association, et [les] enfants vivant sur place des éventuelles dérives sexuelles qu’une telle réunion pouvait laisser supposer».
«Nous sommes en droit de choisir qui nous voulons. Et en l’occurrence, nous avions peur d’une sexualité débridée, a confirmé à 20 Minutes, Fanny Hermier, trésorière de l’association ardéchoise. Cela aurait été la même chose avec un groupe d’hétérosexuels.»
Oscillants entre pleurnicheries, chantages et menaces, les extrémistes gays envisagent de saisir la HALDE.

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Sarközy ne sait pas ce qu’est un Français

Mercredi 31 mars dernier eut lieu une réunion durand laquelle notre bien-aimé président tenta de calmer l’ire des députés de la majorité, suite à la dernière raclée électorale.

 Lors de la séance de questions-réponses, il déclara : « Moi, l’expression “Français traditionnel”, je ne sais pas ce que cela veut dire. »
Il se référait à Gérard Longuet, sénateur UMP et ancien membre d’Occident, pour qui il faut quelqu’un « issu du corps traditionnel français » à la tête de la HALDE afin qu’elle soit plus efficace.

Quand on sait que Sarközy, qui est actuellement à 28% dans les sondages (le plus bas niveau jamais atteint par un président de la république), considère être « un homme de sang mêlé à la tête d’une nation métissée », on imagine aisément ce qu’est, pour lui, la « France d’après » : tout, sauf la France.
Et dire que certains se sont laissés prendre…

Discrimination à la HALDE ?

Après la polémique sur l’éventualité d’une nomination de Malek Boutih à la tête de l’institution chargée de traquer les Français réticents au nouvel ordre sarközyste, c’est finalement Jeannette Bougrab qui remplace Louis Schweitzer (source).

Le poste de président semble être désormais exclusivement réservé aux « zissus ».

Dégradations sur la façade de Saint-Nicolas-du-Chardonnet : on attend toujours la réaction des autorités

Vers trois heures de l’après-midi du dimanche 17 janvier 2010, trois jeunes cagoulés ont lancé neuf projectiles (des pots de confiture) remplis de peinture rouge sur la façade de l’église Saint-Nicolas-du-Chardonnet.
Ils ont été aperçus par un fidèle présent qui a pu donner leur signalement à la police qui est arrivée sur les lieux quelques minutes après les faits.
Aucune revendication n’a été faite.

Aucune protestation publique non plus…

M. Sarkozy ne s’est pas déplacé pour dénoncer « le scandale digne des heures les plus sombres de notre histoire ».
Mgr Vingt-Trois ne nous a pas fait part de sa « solidarité », encore moins de son indignation devant le temple de Dieu sali.
La Halde [Haute Autorité de Lutte contre les Discriminations et pour l’Egalité] ne s‘est pas saisie de cette injure faite à des Français « en raison de leur religion ».
Quant aux médias, ils n’ont pas jugé utile de faire connaître les faits au public.

Ce n’est après tout qu’une église catholique…