C’était un 26 avril… 1937 : le bombardement de Guernica (et ses bobards)

 

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Durant la guerre civile espagnole, Franco bénéficie lui aussi d’un soutien étranger et ce 26 avril, l’aviation allemande bombarde Guernica.
Les objectifs sont trois fabriques d’armes et les 2000 républicains chargés de défendre ces sites.

Exploité internationalement, le nombre de victimes figurant sur les registres d’état-civil s’élève à 126 (et non les 1654 morts et les 889 blessés de la propagande rouge).

Quant au célèbre tableau de l’escroc de génie Picasso, qui porte le nom Guernica et qui émeut les bonnes consciences à propos du bombardement, il a été rebaptisé ainsi plusieurs années après !

Il avait été réalisé lors d’une série sur la Minotauromachie, lorsque le gouvernement espagnol lui commanda et paya (1 million de francs) une toile pour l’Exposition universelle de 1937 à Paris.
Il suffit de regarder ce tableau pour constater qu’il n’illustre en rien les horreurs de la guerre (version officielle), mais la corrida.

Source : Éphémérides nationalistes

Espagne : décès de Blas Pinar, figure historique du patriotisme d’après-guerre

Alberto Torresano nous écrit :

« BLAS PIÑAR  ¡¡PRESENTE !!

Blas Piñar est décédé ce 28 janvier, à son domicile, à l’âge de 95 ans.

Porteur des idéaux de la Croisade du 18 juillet 1936, il avait fondé dans cet esprit la revue Fuerza nueva, en 1966.
Patriote éminent, théologien, poète, juriste et écrivain, remarqué pour ses discours classiques et majestueux.
Depuis la mort de Franco, il a dirigé le patriotisme espagnol comme un véritable « caudillo », que des millions de personnes ont acclamé en Espagne, en Europe et en Amérique, s’abandonnant au charme de sa parole et à son clair jugement.
Notaire de profession, marié à Carmen Gutiérrez, il avait 8 enfants, fidèles continuateurs de sa lignée, 43 petits-enfants et 70 arrières petits-enfants.

Il a dirigé l’Institut culturel hispanique jusqu’à ce qu’il soit démis pour son article « Hypocrites », publié dans ABC, dénonçant les maîtres du monde et la trahison des Nord-Américains devant l’avance inexorable du communisme.

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Messe pour Franco et Jose-Antonio à Paris

On nous prie d’annoncer :
« Vendredi 19 novembre, à 19 h 30, en l’église Saint Nicolas du Chardonnet à Paris (Vème arrondissement, métro Maubert-Mutualité), une Messe de Requiem sera dite, à la demande du Cercle Franco-hispanique, pour le repos de l’âme de Jose-Antonio Primo de Rivera, fondateur de la Phalange espagnole fusillé par les rouges le 20 novembre 1936, et du Général Franco, Chef de l’Etat espagnol, rappelé à Dieu le 20 novembre 1975. »

Une crapule idéologique sur le point d’être suspendue

Baltasar Garzon fait ses cartons. Le célèbre magistrat espagnol s’apprête à quitter son bureau, le cabinet d’instruction numéro 5, qu’il occupe depuis vingt-deux ans à l’Audience nationale, la plus haute instance pénale du pays. Ses pairs du Conseil général du pouvoir judiciaire (CGPJ), l’équivalent espagnol du Conseil supérieur de la magistrature (CSM), devraient le suspendre de ses fonctions, jeudi 22 avril, dans l’attente de son procès. La procédure est automatique pour tout magistrat accusé, comme lui, de prévarication, c’est-à-dire d’avoir abusé de son pouvoir.

Le juge Garzon est poursuivi pour avoir ouvert des enquêtes partiales et idéologiques, fin 2008, sur les soi-disant crimes franquistes de la guerre civile (1936-1939) et la répression durant le régime franquiste (1939-1975) alors que les faits de cette période (pour les deux camps) sont couverts par une  loi d’amnistie des crimes politiques (dite de réconciliation nationale) votée en 1977, deux ans après la mort de Francisco Franco.

En requalifiant en crimes contre l’humanité, donc imprescriptibles, les disparitions de quelque 114 000 républicains, Baltasar Garzon a monté « un artifice juridique », selon le magistrat instructeur Luciano Varela, qui a suivi en cela les plaintes de trois associations nationalistes, dont la Phalange espagnole.

S’il est reconnu coupable , M. Garzon encourt une peine de dix à vingt ans d’interdiction d’exercer. Autant dire que ce serait la fin de la carrière du juge vedette espagnol, dont la renommée a franchi les frontières en 1998 lorsqu’il ordonna l’arrestation de l’ex-dictateur chilien Augusto Pinochet au nom de la « justice universelle ».

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