Talmud : un « best-of »

« Les Juifs n’ayant pu anéantir le peuple chrétien en tuant le Christ, ont voulu le bafouer par la rédaction du Talmud, un tissu d’horreurs anti-chrétiennes. » (Martin V, Sedes Apostolica, 1425). Le Talmud a été maintes fois condamné sévèrement par les papes.

Le Talmud est le livre central du judaïsme moderne (c’est-à-dire celui qui s’est construit après la venue du Christ).

C’est probablement le livre le plus haineux et le plus raciste qui ait jamais été écrit dans l’histoire de l’humanité.
Tout y est permis à l’encontre des goyim (« non-juifs », en hébreu, au singulier goy) qui sont abaissés au rang de bêtes.
Le Christ y est insulté et son nom blasphémé des façons les plus ignobles et la Très Sainte Vierge qualifiée de prostituée.

C’est la mentalité transmise par ce brûlot qui faisait dire il n’y a pas longtemps à Ovadia Yosef, grand rabbin d’Israël : « Les Goïm sont nés seulement pour nous servir. Sans cela, ils n’ont pas de place dans le monde. », ou à Jacques Attali que les juifs sont les seuls êtres humains.

Quand les sociétés chrétiennes découvrirent un jour avec effroi le contenu de ce livre (notamment grâce à des juifs convertis), au Moyen-Age, il fut interdit, brûlé (en particulier sous Saint Louis), etc.
Des versions expurgées furent alors éditées par les rabbins, pour le « grand public ». Ce sont encore celles qu’on peut trouver derrière des vitrines de magasins.

Voici un recueil de quelques sentences de la version originale :

Talmud, Ereget Rashi Erod.22 30 : Un goy est comme un chien. Les Ecritures nous apprennent qu’un chien mérite plus de respect qu’un goy.

Talmud, Iebhammoth 61a : Les juifs ont droit à être appelés “hommes”, pas les goyim.

Talmud, Iore Dea 377, 1 : Il faut remplacer les serviteurs goyim morts, comme les vaches, ou les ânes perdus. Il ne faut pas montrer de sympathie pour le juif qui les emploie.

Talmud, Jalkut Rubeni Gadol 12b: Les âmes des goyim proviennent d’esprits impurs qu’on nomme porcs.
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