Tous les moyens sont bons pour mélanger

Il est très difficile pour des parents français désireux d’accueillir un enfant dans leur foyer, d’adopter un petit Français. 
Alors qu’à côté de cela, l’avortement des bébés français est promu et remboursé.
Il est plus facile en revanche, d’adopter un bébé étranger. Hasard ?

En tout cas, un phénomène croissant…

Dans un contexte difficile, le nombre d’adoptions à l’étranger a enregistré, en 2010, une hausse exceptionnelle. Selon les statistiques du ministère des Affaires étrangères, dévoilées par Le Figaro, 3 504 enfants ont été recueillis par des familles françaises l’an dernier, contre 3 017 en 2009. Soit une augmentation de 14 %.

Cette évolution s’explique en partie par le séisme qui a dévasté Haïti en janvier dernier. «En un an, 992 enfants haïtiens sont arrivés en France, précise Jean-Paul Monchau, ambassadeur chargé de l’adoption internationale. Mais il s’agit d’une accélération des procédures engagées avant le séisme et non d’adoptions nouvelles.» Depuis quelques années, Haïti est le premier pays d’origine des enfants recueillis en France.

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