Application « Viber » : attention, espionnage israélien

« Viber » est un programme gratuit qui, installé sur les téléphones modernes, permet d’appeler gratuitement une personne équipée du même logiciel.
On estime actuellement à plus de 100 millions le nombre d’utilisateurs de Viber.

Or il apparaît que le fondateur et propriétaire de la compagnie Viber Media  est Talmon Marko, un américano-israélien qui a servi 4 ans dans l’armée israélienne.
Il aurait été nommé au poste de directeur exécutif responsable des renseignements au commandement central

« Sachant que le programme Viber offre un service gratuit à 100%, permet l’échange de vidéos et des messages textuels, et ne diffuse pas de publicité. Face à ces données, une question se pose : quel est l’objectif d’un tel service, gratuit à 100% ?
La réponse est simple : le programme « Viber » sur les Androïd et Iphone par exemple est capable de lire tous les contacts figurant sur la liste des contacts téléphoniques, même ceux qui ne font pas partie du programme.
Viber est aussi capable de localiser le lieu de l’utilisateur, ses comptes électroniques, l’enregistrement de sa voix, de vidéos et la prise de photos !
Il a également la capacité d’espionner toutes les informations présentes dans les fichiers téléphoniques et de connaitre tous les programmes utilisés par les utilisateurs !
C’est donc à travers ce programme gratuit très populaire, qu’on offre à « Israël » nos informations personnelles, gratuitement aussi ! »

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Wikileaks : surveillance massive de la population par des sociétés privées

La société Owni, le partenaire français de Wikileaks, vient de révéler et de prouver l’existence d’une surveillance massive la population par des sociétés privées. « Une carte du monde espionné » est actuellement mise en ligne. Elle nous apprend qu’en France au moins 8 sociétés usent de méthodes d’espionnage :  Alcatel, Qosmos, Thales, Aqsacom, Amesys (Bull), Scan & Target, Septier et Vupen. Surveillance internet, téléphonique, des sms, des déplacements GPS, virus informatique (trojan), captation et d’analyse de la voix… Tout y passe.

WikiLeaks rend public aujourd’hui près de 1 100 documents internes, plaquettes commerciales et modes d’emploi des produits commercialisés par les industriels des systèmes de surveillance et d’interception des télécommunications.

Ces nouvelles fuites montrent un marché de la surveillance de masse représentant désormais cinq milliards de dollars, avec des technologies capables d’espionner la totalité des flux Internet et téléphoniques à l’échelle d’une nation. Les fleurons de ce marché s’appellent Nokia-Siemens, Qosmos, Nice, Verint, Hacking Team, Bluecoat ou Amesys. Les documents détaillant leurs capacités d’interception, contenant une multitude de détails technologiques, seront progressivement mis en ligne par WikiLeaks.

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L’espionnage des sms

Article du Figaro à lire ici concernant l’espionnage des sms par la police (possible depuis 2007) et leur archivage par les opérateurs.
Ce dernier n’est officiellement pas en vigueur, mais concrètement, quand un texto dont l’envoi échoue est renvoyé automatiquement jusqu’à trois jours plus tard, c’est qu’il a été archivé.

En ligne de mire de cet espionnage : les voyous et les dissidents politiques.
Soyez toujours prudents dans vos communications, quelque soit le support.

Les Européens critiques envers le gouvernement US fichés

Le service secret américain SDU (Surveillance Detection Unit), jusqu’à présent pratiquement inconnu du public, poursuit et photographie des Européens qui se montrent critiques envers le gouvernement américain.

Des documents publiés montrent que rien qu’en Norvège, par exemple, plus de 2000 personnes ont été visées par la SDU. Les données sont traitées et classifiées à Washington dans le système Simas (Security Incident Management Analysis System), la banque de données de l’anti-terrorisme américain. Les documents de WikiLeaks montrent que des unités de la SDU sont stationnées et actives en permanence aussi en Autriche, en Suisse et en Allemagne. Berlin a hâtivement déclaré qu’elle n’avait aucune information concernant des activités de la SDU. Il semble qu’à Londres des agents secrets anglais insatisfaits soient prêts à adhérer à la SDU. « Le gouvernement a réduit nos moyens, nous ne pouvons plus travailler efficacement. Il semble que les Américains, eux, n’aient pas de soucis d’argent. » Selon certaines rumeurs des centaines de collaborateurs des services secrets anglais seraient révoltés et prêts à changer de côté.

Source: Vertraulicher Schweizer Briefdu 30/12/10 via Mecanopolis

Un général de haut rang placé sur écoute avec feu vert de l’Elysée…

Parce que sceptique sur l’utilité de l’alignement (mené avec acharnement par Sarközy) de la France sur la politique étrangère américaine…
En l’occurence il s’agit de la guerre en Afghanistan, où notre président envoie au casse-pipe nos compatriotes pour défendre des intérêts aussi peu français que lui.

« C’est une guerre américaine »

« La dernière livraison du « Canard enchaîné » rapporte que le contre-espionnage français a enregistré, en 2009 et 2010, les conversations du patron de l’Ecole de guerre, qui ose mettre en cause l’engagement de la France en Afghanistan.

Selon l’Elysée et le ministre de la défense, la République est en danger quand un général ose émettre quelques critiques sur l’engagement de la France en Afghanistan.

A sein de l’état-major des armées, on n’ignore pas l’intérêt porté par la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI) aux conversations et aux relations du général Desportes. Motif de cet espionnage électronique réalisé sans l’aval d’un juge d’instruction : Vincent Desportes serait membre d’un réseau militaire clandestin baptisé « Surcouf ».
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Espionnage sur facebook

Durant un an, un faux profil facebook, Reut Zukerman, se présentant comme une belle israélienne a ajouté de nombreux militaires de l’État hébreux parmi ses contacts, en profitant pour leur soutirer des informations.

Aussi invraisemblable que cela puisse paraître, le Spiegel rapporte que nombre de ces contacts virtuels auraient rapporté des noms de soldats, du jargon, des codes secrets et des descriptions détaillées des bases militaires.

Au bout de quelques temps, certains de ces imprudents internautes ont trouvé étrange le nombre de militaires d’élite en contact avec cette Mata-Hari du net, que personne n’avait jamais vu (et pour cause: elle n’a jamais existé, les photos n’ayant, comme cela arrive parfois, aucun rapport avec la réalité)

La page fut finalement effacée par ses auteurs, sans que l’on sache qui ils étaient.

Quoi qu’il en soit, cela démontre une faille de sécurité évidente au sein de Tsahal, dont les soldats ne respectent pas les consignes de sécurité dés qu’un joli minois se profile…

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François Bon

La France coopérerait aux assassinats politiques perpétrés par le Mossad

Selon une enquête du journal tunisien Dounia El Watan, cité par Al-Manar, l’assassinat du dirigeant du Hamas Mahmoud Mabhouh à Dubaï, le 20 janvier 2010, aurait nécessité une équipe bien plus importante que celle déjà mise en cause par les Émirats arabes unis.
Aux tueurs, il faudrait ajouter une équipe de repérage des lieux dirigée par un ancien responsable sécuritaire de la Tunisie, Ahmed Bannour.

M. Bannour vivrait actuellement en exil en France et aurait constitué une cellule de renseignement pour le compte joint des services israélien et français.
Ahmed Bannour a fuit la Tunisie après la découverte de ses activités d’espionnage au profit du Mossad israélien. Profitant de ses responsabilités au sein de l’État, il avait organisé le bombardement du siège du Fatah à Tunis, le 1er octobre 1985 —auquel Yasser Arafat (dit Abou Ammar) échappa—, puis l’assassinat d’un autre leader palestinien, Khalil Al-Wazir (dit Abou Jihad), le 16 avril 1988.

Sous couvert d’une société française qu’il contrôlerait, Ahmed Bannour aurait envoyé deux « hommes d’affaires » français et une équipe de techniciens négocier à Dubaï un contrat d’installation d’ascenseurs. A cette occasion, les agents français se seraient procurés les plans de l’hôtel où Mahmoud Mabhouh devait descendre ainsi que ceux du système de sécurité de l’hôtel.

La société française de M. Bannour est par ailleurs citée dans une affaire d’espionnage actuellement pendante devant la Cour militaire du Liban. Elle a servi de couverture pour l’immigration à Beyrouth pour des ressortissants tunisiens et égyptiens travaillant pour le Mossad. Ceux-ci projetaient un attentat contre la radio de cheikh Hussein Fadlallah et l’assassinat du secrétaire général du Hezbollah, Sayed Hassan Nasrallah.

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Facebook et la vie privée

D’après le site GNT, le réseau social Facebook, qui a déjà subi des attaques lorsqu’il avait voulu partager les informations personnelles de ses internautes avec des sites partenaires, aurait à nouveau l’ambition de s’engager dans cette voie.

Les utilisateurs de Facebook ont manifesté plusieurs fois contre l’idée d’une « licence perpétuelle sur le contenu des utilisateurs« . En effet, la firme déclare « travailler avec des sites partenaires sélectionnés par [ses] soins, afin d’offrir une expérience plus personnelle quand [ses] membres visiteront ces sites« .

L’objectif est sans nul doute de revendre ces informations à des agences publicitaires ou autres cabinets, qui tireraient profit de ces informations et données personnelles à des fins commerciales, soit pour cibler davantage leurs consommateurs et prospects, soit pour revendre des fichiers et bases de données.
Facebook est à l’origine un réseau social, à travers lequel chacun est libre de dialoguer, d’échanger, et de partager les informations qu’il souhaite. Avec ces réformes, les internautes ont peur de se voir « privés de leur vie privée ». A savoir que ces données seraient utilisables même après désactivation du compte.