Le gouvernement annule la dette ivoirienne : 3,76 milliards d’euros partis en fumée !

Moscovici s'épanche sur ses principes et confirme s'être trompé de pays
Alors que notre économie est au bord de l’effondrement et que la dette française s’élève elle-même à 1 800 milliards d’euros (!), le ministre de l’Economie et des Finances, Pierre Moscovici, et son homologue de Côte d’Ivoire ont signé mardi soir un accord bilatéral d’annulation de la dette du pays, en présence du président, Alassane Ouattara.
Non seulement l’Afrique nous coûte une fortune chez nous (par l’immigration), mais en plus on sacrifie des milliards là-bas, en sachant que c’est en quasi pure perte.
C’est toujours agréable de savoir pourquoi les impôts augmentent tant…

(source)

La note financière de la France enfin dégradée.

Sans surprise. Peu après 16 heures, ce vendredi, une source gouvernementale a indiqué que l’agence de notation financière Standard & Poor’s avait bel et bien décidé de « dégrader la France » en lui retirant sa note d’excellence triple A mais qu’elle maintenait en revanche les notations AAA de l’Allemagne, des Pays-Bas et du Luxembourg.

L’énorme dette que la République a contractée va nous coûter encore plus cher désormais. 2 milliards par an selon une estimation de Bercy.
Il y a encore peu de temps, Sarközy et sa clique expliquaient que si la France perdait son triple A, ce serait la catastrophe. Maintenant – magie de la politique – ils nous disent que ce n’est pas si grave.
Les Français vont à nouveau trinquer à la place de l’oligarchie.

Quelques rappels de citations :
« Nous serons là pour conserver ce triple A. C’est une condition nécessaire pour protéger notre modèle social… Nous mettrons tout en oeuvre pour ne pas être dégradés» François Baroin, ministre des Finances (France 2, 18 oct.)
Le triple A « est un atout que nous devons préserver à tout prix.(…) C’est le résultat du travail des Français.» François Fillon, devant l’Assemblée générale des maires (5 nov.)
«Si on perd le triple A, je suis mort.» N. Sarközy à des proches (6 déc.)

Loi Pompidou-Rothschild, pouvoir bancaire et dette publique

Dans cette petite video, le professeur Etienne Chouard explique de façon assez claire comment les Etats se retrouvent asservis à la Finance.

Le journal du Système, Le Monde, est monté au créneau pour contrer Chouard, mais sans parvenir à être convaincant. Résumé de la controverse ici.

Economie : c’est au tour de la France

Le président Nicolas Sarkozy a-t-il interrompu ses vacances d’été uniquement pour assister à un rebond technique des bourses européennes ? La réalité est que le problème de la dette française constitue maintenant un problème immédiat pour les marchés internationaux, bien plus grave que l’abaissement de la note de la dette américaine. Le dollar n’a pas été affecté par cette décision de Standard and Poor’s, mais l’euro, c’est une autre affaire ! Car la dégradation de la note de la dette française impacterait dramatiquement l’euro. Quand les bourses américaines ont plongé, en début de semaine dernière, de nombreux investisseurs ont afflué vers le Trésor américain, signe que le pessimisme n’était pas au plus bas pour les Etats-Unis. Par contre, les problèmes de liquidités concernant les dettes européennes sont si conséquents maintenant, que l’idée fait son chemin selon laquelle l’Allemagne et la France ne disposent pas de liquidités suffisantes pour renflouer tout le monde au sein de la zone euro. (Cliquer pour lire la suite.)

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La note financière des Etats-Unis dégradée

Pour la première fois de leur histoire, les Etats-Unis n’ont plus leur «AAA», la note maximale (censée être fonction de leur solvabilité).
L’agence d’évaluation financière Standard and Poor’s (S&P) a en effet décidé cette nuit de dégrader la note attribuée à la dette publique du pays, citant les «risques politiques» face aux enjeux du déficit budgétaire.
Dans un communiqué, S&P a annoncé avoir abaissé d’un cran cette note, pour la porter à «AA+». Elle a par ailleurs abaissé la perspective à «négative», ce qui signifie qu’elle estime que la prochaine évolution sera plutôt négative que positive.
Les médias américains ont affirmé que le gouvernement avait sévèrement contesté les projections des analystes de l’agence après avoir examiné les conclusions de S&P. En vain. La perte de ce sceau d’excellence devrait avoir des répercussions brutales sur les marchés financiers, difficiles à imaginer dans l’immédiat.

Petit sondage :
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Perpignan, Saint-Cyprien : la révolte des contribuables…

contre les dépenses inutiles et les projets débiles.

A Perpignan, la Ville construit un nouveau théâtre de 1 100 places pour 42 millions €. La ville bénéficie déjà d’ un palais des congrès de 1 000 places et d’ un théâtre de 400 places. Coût de fonctionnement annuel de ce nouvel équipement : 3 millions €.
Dette de la commune : 240 millions € en 2009. 260 millions € en 2010.
Impôts locaux : + 8 %, soit 50 euros par habitant.

La 38 ème fontaine de Perpignan, ” cadeau ” d’ une entreprise privée, a coûté 1,4 million € ; 325 000 € / an en frais de gestion et d’ entretien. Selon le maire, Jean-Marc Pujol, l’ entretien revient entre 90 000 et 120 000 €, selon les années.
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