Merah… Zones d’ombre et zones de guerre ! Questions ?

Un article intéressant de Rivarol :

Après l’émotion, le spectacle et les pétarades, vient le temps des questions. Questions qu’il faut poser avec insistance, sans trop espérer obtenir de réponses. Mais les “bonnes” questions sont déjà un pas en avant vers un peu de transparence… cette nécessaire “vérité” sans laquelle la démocratie n’est qu’un vain mot, un hochet.

Pour avancer dans le labyrinthe de cette ténébreuse affaire, il s’agirait en premier lieu de s’efforcer de savoir qui était vraiment Merah: un petit voyou voyageur ou plus? Un homme “manipulé”? En l’occurrence un correspondant stipendié de services occidentaux américains ou français… un agent dormant à l’intersection du crime organisé et des réseaux de l’islam radical? L’intéressant téléfilm scénarisé par Frédéric Krivine et intitulé «Nom de code DP» décrit précisément un cas de figure similaire dont auraient pu s’inspirer à bon escient les auteurs du “montage” qui nous occupe. Dans la fiction (prémonitoire?), une cellule djihadiste dormante se trouve infiltrée par un agent du Mossad…

Continuer la lecture de « Merah… Zones d’ombre et zones de guerre ! Questions ? »

Un général de haut rang placé sur écoute avec feu vert de l’Elysée…

Parce que sceptique sur l’utilité de l’alignement (mené avec acharnement par Sarközy) de la France sur la politique étrangère américaine…
En l’occurence il s’agit de la guerre en Afghanistan, où notre président envoie au casse-pipe nos compatriotes pour défendre des intérêts aussi peu français que lui.

« C’est une guerre américaine »

« La dernière livraison du « Canard enchaîné » rapporte que le contre-espionnage français a enregistré, en 2009 et 2010, les conversations du patron de l’Ecole de guerre, qui ose mettre en cause l’engagement de la France en Afghanistan.

Selon l’Elysée et le ministre de la défense, la République est en danger quand un général ose émettre quelques critiques sur l’engagement de la France en Afghanistan.

A sein de l’état-major des armées, on n’ignore pas l’intérêt porté par la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI) aux conversations et aux relations du général Desportes. Motif de cet espionnage électronique réalisé sans l’aval d’un juge d’instruction : Vincent Desportes serait membre d’un réseau militaire clandestin baptisé « Surcouf ».
Continuer la lecture de « Un général de haut rang placé sur écoute avec feu vert de l’Elysée… »