« Je veux que le CRIF soit l’atout maître d’Israël en France « 

Richard Prasquier a été réélu dimanche à la présidence du Crif (Conseil représentatif des institutions juives de France) avec 106 voix contre 61 voix à son prétendant Meyer Habib. Le mandat du président est de trois ans, renouvelable une fois. Dans l’histoire du Crif , tous les présidents élus ont fait leurs deux mandats.

Lors de son discours de campagne, Prasquier avait lancé : « Je veux que le CRIF soit l’atout maître d’Israël en France « . Preuve supplémentaire, s’il en fallait, que le CRIF n’est pas une fédération confessionnelle comme il le prétend mais bien une organisation israélienne sur le territoire français.

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Le CRIF : l’autre ambassade d’Israël en France

Dans cette interview du Président du CRIF (Conseil Représentatifs des Institutions Juives) et malgré ses dénégations, il n’échappera à personne que le discours de ce monsieur n’est pas celui d’un représentant religieux mais celui d’un responsable politique israélien.
Richard Prasquier affirme ne pas vouloir importer le conflit israélo-palestinien sur notre sol mais est-il conscient qu’il est justement le premier à le faire? Il se fait le porte-parole d’un état étranger alors qu’il est cessé représenter les Français de confession juive. Ce monsieur oeuvre en permanence à associer les Juifs de France à la politique désastreuse de l’Etat d’Israël et ensuite il voudrait « que l’on importe pas ce conflit en France ». Toujours la même rengaine sioniste : « Faites ce que je dis pas ce que je fais! »

Le CSA aux ordres du CRIF

Le Conseil Supérieur de l’Audiovisuel (CSA) a demandé, le 8 avril 2010, à la société Eutelsat de cesser la diffusion de la chaîne égyptienne Al Rahma.
Des propos à caractère « antisémite » auraient été tenus sur cette chaîne, le 31 octobre 2009, à propos du conflit israélo-palestinien, décrivant le peuple juif de façon non positive.
Pour le Conseil représentatif des Institutons Juives de France (CRIF) de tels propos seraient contraires à l’article 15 de la loi du 30 septembre 1986 qui interdit la diffusion de tout programme incitant à la haine ou à la violence pour des raisons de religion ou de nationalité.

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Un sarközyste du CRIF pris au piège par Les Infiltrés

Parmi les 22 individus arrêtés suite à l’investigation menée par les journalistes de l’émission Les Infiltrés sur les réseaux pédophiles, figure un gros poisson.

L’une des « victimes » de ces journalistes, dont l’émission est présentée par David Pujadas sur France 2, est en effet un fer de lance du sionisme et du sarközysme.
Il s’appelle Maurice Gutman, est conseiller municipal UMP du Mesnil-Saint-Denis, chargé d’Internet, président du comité local de la Croix Rouge, membre éminent du consistoire (institution hébraïque) (source : Le Parisien), et en outre membre à part entière du CRIF (source : CRIF) et webmestre du « Comité Français pour Yad Vashem » (source)

Rappelons aussi au passage que le journaliste responsable de cette enquête de longue haleine, Laurent Richard, également rédacteur en chef de l’agence Capa, a éprouvé le besoin moral de dénoncer les actes de pédophilie dont il a été témoin – chose que l’on peut évidemment saluer – face à la décadence et au désordre moral que représente de plus en plus visiblement le sarközysme.

Marc Knobel, le commissaire politique du Crif, s’en prend à Fdesouche

François Desouche, le site d’extrême droite le plus populaire de France (24.000 pages vues par jour), n’est pas hébergé en France. « Identitaire » » et « nationaliste », ses créateurs ont pourtant choisi de l’installer aux États-Unis, dans la petite ville de Lansing au Michigan. Plutôt paradoxal pour un site qui stigmatise les étrangers qui s’installent en France, (…)
« Ces sites s’hébergent à l’étranger parce qu’il existe une loi anti-raciste en France depuis 1972 », explique à StreetPress, Marc Knobel chercheur au CRIF et ancien responsable d’une association de lutte contre le racisme sur Internet:
« Les propos racistes et antisémites sont considérés non comme des opinions mais comme des délits, et des actions en justice peuvent être intentées contre les directeurs de publication de ces sites.» Marc Knobel poursuit: «A partir du moment où ils sont à l’étranger, ils sont tranquilles. Les coordonnées que possèdent les hébergeurs étrangers ne peuvent pas être transmises aux services français ».

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Vous serez traités comme des Palestiniens en Israël

Monsieur Jean Claude Magendie, Premier Président de la Cour d’Appel de Paris,   et Monsieur Jacques Degrandi, Président du Tribunal de Grande Instance de Paris ont offert, le mercredi 3  mars 2010,  une réception au Palais de Justice de Paris pour rendre compte du voyage d’études des Hauts Magistrats et Avocats français, organisé en Israël du 18 au 22 octobre 2009.
Notons l’inévitable présence de Monsieur Richard Prasquier, Président du CRIF, et de Madame Nicole Guedj, Présidente de la Fondation France-Israël,  à cette petite sauterie.
Ces Hauts Magistrats et Avocats français ont exprimé leur profonde admiration pour le système juridique et judiciaire Israélien.
Avis à tous les justiciables français, vous serez traités comme des Palestiniens en Israël !

Le Grand Rabbin de France décoré de la légion d’honneur

Nicolas Sarkozy a remis les insignes de Chevalier dans l’ordre de la légion d’honneur au Grand Rabbin de France Gilles Bernheim, le mercredi 3 mars à l’Elysée.

Tout le gratin sioniste était présent avec notamment Richard Prasquier, président du CRIF, Roger Cukierman, président d’honneur, Arié Bensemhoun et Marc Zerbib, membres de l’exécutif, Patrick Klugman, membre du comité directeur et Haïm Musicant, directeur général du CRIF, qui n’ont pas manquer de féliciter le nouveau Chevalier.
La question qui vient de suite à l’esprit est : mais qu’a bien pu faire ce grand homme pour être ainsi honoré par la République française ?

Michèle Alliot-Marie : soumission totale à Israël

Lors du dîner du Crif de Bordeaux samedi dernier, la ministre de la Justice, Michèle Alliot-Marie, a fait acte de soumission totale au Crif et à l’Etat sioniste.
Pire, elle s’est vantée d’avoir donner des instructions pour criminaliser les opposants à la politique d’Israël.
« Je n’accepte pas que des personnes, responsables associatifs, politiques ou simples citoyens, appellent au boycott de produits au motif qu’ils sont kasher ou qu’ils proviennent d’Israël.
Je souhaite que le parquet fasse preuve de davantage de sévérité à ce sujet.
J’ai donc adressé une circulaire aux parquets généraux, leur demandant d’identifier et de signaler tous les actes de provocation à la discrimination.
J’entends que tous les auteurs d’actes soient poursuivis dès qu’ils auront été identifiés et notamment quand les appels auront été faits sur Internet.
A cet égard, je salue la détermination du parquet dans l’affaire de l’individu qui avait appelé au boycott de produits israéliens par voie d’affichettes dans un centre commercial de Mérignac.
Ses réquisitions ont été suivies dans la condamnation prononcée par le tribunal correctionnel de Bordeaux le 10 février dernier.
L’action du parquet de Bordeaux illustre ma détermination dans la lutte contre l’antisémitisme. »
Pourtant, le boycott, arme non-violente si l’en est, a toujours été présenté par nos médias comme un moyen de pression « démocratique » face à une injustice.
En criminalisant le boycott, la servile Michèle Alliot-Marie, nous supprime encore une liberté. Chaque jour qui passe confirme l’état de dictature dans lequel nous vivons.

Qu’est-ce que le Crif ?

Qu’est-ce que le Crif sinon un groupuscule endogamique qui se donne des airs de petit Etat indépendant, agissant à sa guise, faisant plier les uns et les autres, tant par le biais de l’autocensure, sensible chez bien des journalistes, craignant à juste titre d’être soupçonnés d’antisémitisme dès qu’ils oseront critiquer la politique israélienne, que par l’instrumentalisation de la culpabilité de la Shoah intériorisée par la classe politique ?

(…) tous les ingrédients sont réunis pour parler aussi de communautarisme juif.

On en vient à se demander si le Crif n’est pas plutôt le porte-parole d’Israël en France, comme une seconde ambassade de ce pays.

Mais qui représente véritablement le Crif et combien sont-ils en son sein ? On ne le saura jamais. Ce qui compte, c’est qu’il est perçu comme un lobby (mot horripilant en France) par les politiciens. Et considéré comme tel, il l’est bien, un lobby, en fait. Ceux qui s’agglutinent à son dîner croient vraiment qu’il joue un rôle important dans la machine électorale. On y vient à la pêche aux voix juives, et pour être adoubé par des juifs dont l’influence serait déterminante, en raison de la place qu’ils occupent, ou sont censés occuper, dans la société française.

ESTHER BENBASSA, directeur d’études à l’Ecole pratique des hautes études (Sorbonne)

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