Restau asiatique : les clients mangeaient la femme du chef sans le savoir

Les pires rumeurs courent sur la restauration asiatique, dans les innombrables boui-bouis qui se sont multipliés en Occident.
En lisant l’anecdote, réelle, ci-dessous, on comprend pourquoi.

« Au Mexique, c’est un client qui s’est fait livré chez lui qui a interpellé la police. Après avoir entamé son repas, il trouvait que le goût était inhabituel : amer et élastique. Il a directement appelé les autorités craignant que la viande en question ne provienne d’un animal, mais la réalité était tout autre.

Après une dispute avec sa femme, M. Xiung, le restaurateur, l’avait tuée et découpée en morceaux.

Arrêté par la police, M. Xiung a avoué que pour faire disparaître le cadavre, il avait mélangé la viande issue du corps de sa femme avec la farce des raviolis et des brochettes de son restaurant. Cela faisait une semaine qu’il servait cette viande à sa clientèle.

D’autres morceaux du corps de sa femme ont été retrouvés dans la chambre froide du restaurant. »

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Vignobles bordelais : quand le terroir de France est vendu aux Chinois

Depuis 2008, trente-deux domaines bordelais sont passés sous pavillon chinois. Un trente-troisième, Les vieux Maurins à Saint-Emilion, est en cours d’acquisition. «L’année 2013 s’annonce comme une année charnière, car des milliers de petits propriétaires dans le Bordelais sont en difficulté, et certains pourraient franchir le pas de la vente», analyse en effet  Benoist Simmat, journaliste spécialisé dans l’économie du vin. En cinq ans, ce sont ainsi trente-deux propriétés dans le bordelais qui sont passées aux mains des chinois…

La mondialisation semble donc s’attaquer à ce qui semblait pourtant le plus enraciné dans notre histoire et dans notre terroir, témoins de notre identité charnelle. Faut-il s’en inquiéter ?

Christophe Château, directeur de communication du CIVB, souligne en effet qu’«un amalgame est fait entre le monde du vin, et celui de l’industrie. Quand des Chinois démantèlent une usine française, effectivement c’est inquiétant. Mais le vignoble et les terroirs, eux, ne sont pas délocalisables ! »Et Benoist Simmat de conclure : «Le seul vrai danger, selon, c’est le risque de voir une propriété exporter tout son vin en Asie. Cela voudrait dire que l’étiquette disparaîtrait des rayons français, ce serait ennuyeux.»

Espérons alors que les Chinois soient davantage des ambassadeurs de nos produits et de nos vins, que des spoliateurs…

Bellefont-Belcier : le château est racheté par les Chinois

Un grand cru classé de Saint-Emilion, Bellefont-Belcier, vient d’être racheté par un industriel chinois. Un grand cru qui appartenait depuis 1994 à trois associés, Dominique Hébrard, Alain Laguillaumie et Jacques Berrebi.

« C’est l’acquisition la plus prestigieuse en termes de notoriété et de prix en France », déclare Frank Lagorce, l’intermédiaire mandaté qui a conduit la vente. Bellefont-Belcier devient ainsi le premier grand cru classé acquis par un investisseur chinois dans le bordelais. Alain Laguillaumie, actionnaire majoritaire, a en effet remis les clés de ses 20 hectares, la semaine dernière, à Monsieur Wang, riche industriel de 45 ans possédant 1% des minerais de fer en Chine et spécialisé dans son extraction.

Un cas loin d’être isolé. Si même les produits du terroir ne sont pas suffisamment enracinés dans notre Histoire pour demeurés français, c’est la France qui, à l’heure de la mondialisation, se vend morceau par morceau…

Les Chinois de Paris manifestent

contre l’insécurité dont ils s’estiment victimes et pour demander plus de sécurité. Ils étaient entre 3 000 (selon la police) et 20 000 (selon les organisateurs).
Les Chinois sont pris à partie car «il y en a beaucoup qui n’ont pas de papiers, et une certaine catégorie de population française les agresse sachant qu’ils n’iront pas porter plainte à la police», a expliqué un Français marié à une Chinoise.