Blois : le terrain de la mosquée aurait servi à élever des porcs

Un scandale vient d’éclater au sein de la communauté musulmane de Blois ! De taille effectivement, puisqu’il remet en cause la construction en cours de la mosquée. Pour cause, le terrain sur lequel elle est actuellement bâtie aurait été occupé auparavant par un élevage de porcs ! Ce terrain appartenait en effet à un charcutier, M. Chevalier, lequel élevait à cet endroit des porcs pour faire vivre sa charcuterie…

Or, pour les musulmans, un terrain qui a été occupé par des porcs est  « haram », c’est à dire impur ! Le projet de mosquée va-t-il alors être abandonné ? Il faut souligner que dans ce projet de construction, le Roi du Maroc a engagé 787000 euros ! Va-t-il exiger qu’on les lui restitue ? Il y a de cela 20 ans, un souk  était en construction à Derdara, au Maroc : lorsqu’une nuit, des sangliers se sont invités sur cette terre et l’ont labourée, ils ont dans le même temps sifflé la fin des travaux, lesquels ont en effet été abandonnés !

La charcuterie n’est plus la bienvenue à Nimes…

Hugues Bousiges, préfet du Gard, a réuni en urgence, jeudi 27 septembre dernier, les élus et les représentants d’un quartier de Nimes. Motif ? Les pressions exercées par des musulmans, sur le marché du quartier du « Chemin-bas d’Avignon », pour que soit retirés de la vente l’alcool, la charcuterie et les vêtements féminins… Quant au représentant régional du Conseil français du culte musulman, convié à la réunion, il affirme, désolé, que « c’est la première fois qu'[il] entend parler d’une telle histoire« .

Evidemment, les revendications catégorielles de minorités issues de l’immigration sont absolument inexistantes sur notre sol. Bien sûr… Le malheur, c’est que nos dirigeants feignent de découvrir les désastreuses conséquences des causes qu’ils ne se lassent pourtant pas de promouvoir. Que l’immigration de masse puisse avoir une incidence sur la stabilité et l’équilibre culturel et démographique de nos sociétés, voilà qui semble avoir échappé à nos politiques. Que les faits viennent le leur rappeler et le vérifier, voilà qui paraît les déranger. Ces gens là n’ont eu de cesse, en effet, d’utiliser le ressort affectif et de susciter la compassion envers les populations immigrées extra-européennes, interdisant ainsi toute maîtrise de l’immigration. Ce faisant, ces démagogues ont agi sans considération du bien commun, lequel reste pourtant, en politique, le critère ultime de discernement.

Vont-ils aujourd’hui s’attaquer aux effets pervers de leur politique, et faire taire les revendications communautaires toujours plus nombreuses sur notre territoire ? Vont-ils rappeler à nos hôtes que, les ayant accepté sur son sol, la France a le droit d’exiger d’eux le respect de ses codes, de ses coutumes et de ses traditions ? Ou vont-ils céder devant ces groupes politico-religieux, sous le prétexte fallacieux d’une diversité qui brise aujourd’hui le ciment social et communautarise le pays ? Ils semblent manifestement embêtés à Nimes. « Dieu rit des hommes qui déplorent les effets dont ils chérissent les causes« , s’amusait pourtant Bossuet. Mais il est vrai que l’illustre évêque de Meaux a disparu des manuels d’Histoire avec Louis XIV…

Jean de Rouen