Seuls les Européens sont-ils racistes ?

Quel scandale ! Que font les professionnels de l’indignation ??
Cela s’est déroulé le 1er octobre dernier, lors de l’émission « C dans l’air » (France 5). Une émission consacrée à l’évacuation d’un campement de Roms à Marseille par des riverains. Ecoutez les propos du journaliste José D’Arrigo, professeur à l’Université de Provence (on imagine comment sont formés ses successeurs) :

Cette évacuation de Roms n’a donc aucun caractère raciste puisque, nous explique-t-il, « ce ne sont pas des Européens qui ont fait ça ». Ou comment suggérer que seuls les Européens peuvent faire preuve de racisme… Imagine-t-on un instant un intervenant tenir les propos inverses sur le même plateau ? Ce même journaliste aurait-il pu affirmer qu’un geste d’hostilité à l’adresse d’un étranger ne pouvait recouvrir une dimension raciste dans la mesure où il était accompli par des Européens ? Quelles cascades de réactions cela aurait-il suscité auprès des associations dites anti-racistes…

Que ce journaliste ne craigne cependant rien. Il est convenu de nos jours de distiller la haine de l’Occidental, ce « salaud » de Blanc si cher à l’imagerie post-coloniale…

LIESI : conditionner les citoyens à la «crise majeure» des mondialistes

Le 14 août 2011, lors de l’émission C Dans L’air, Philippe Dessertine (professeur d’économie à l’université de Nanterre) expliquait : « On est dans un enchaînement avec une accélération absolument démentielle. Les Français vont bientôt comprendre qu’il n’y a pas trente-six voies… c’est dans quelques semaines qu’il va falloir prendre des décisions fondamentales… Il va falloir discuter avec l’Allemagne. Jean-Claude Trichet a dit que cette crise est probablement aussi grave, voire même plus grave que la crise de 1929, c’est-à-dire la plus grave crise depuis la Première Guerre mondiale. A un moment donné, les politiques vont devoir expliquer à leur population que c’est ça ou le chaos, un chaos qui est absolument inimaginable ».

L’idée d’une « monnaie mondiale » comme solution à l’actuelle guerre monétaire implacable qui se joue sur les marchés des devises, est aujourd’hui reprise par de nombreux économistes. Bien sûr, on évoque l’exemple de l’euro, mais on insiste sur le fait que sa faiblesse vient d’un manque de rigueur budgétaire et de transparence pour la grande majorité des Etats au sein de la Zone euro.

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