Comment la Commission européenne étouffe Ariane et Airbus dans le but de favoriser leurs concurrents américains

L’Union européenne nous est officiellement présentée comme la nécessité pour des Etats européens de se regrouper pour être forts dans un monde globalisé afin de faire face à d’autres entités, tels les Etats-Unis, la Chine, etc.
« Sans l’Europe, chaque Etat qui la constitue ne serait rien et vulnérable, alors que grâce à l’Europe, nous sommes regroupés et pouvons résister aux autres ». Combien de fois cette antienne a-t-elle été répétée ? Pourtant, la façon dont la Commission européenne vient de réagir au sujet du rapprochement Airbus-Ariane nous prouve que rien n’est plus faux et que les commissaires et technocrates bruxellois poursuivent d’autres desseins que de protéger notre continent, ses industries, ses populations.

En effet, Airbus et Ariane voulaient « se marier » ce qui aurait créé le n°1 mondial dans les domaines de l’aéronautique et l’aérospatial. Ce groupe aurait été très concurrentiel, puisque de cette union, des économies auraient pu être faites, au grand dam de leurs concurrents, tels Boeing ou le producteur de fusées américain SpaceX. Mais ce mariage n’aura pas lieu. La raison ? C’est la commission européenne elle-même qui s’y oppose !
Dans une excellente tribune de Damien Lempereur et Brice Wartel parue dans le Figaro, les raisons évoquées par les technocrates bruxellois nous sont données : cela créerait une « position dominante » qui serait contraire à une concurrence libre et non faussée !
Bref, Bruxelles dit non à la fusion des deux groupes européens dans le but de protéger leurs concurrents américains, chinois, russes ou autres ! Cela est d’autant plus un scandale que ces concurrents sont pour la plupart subventionnés par leurs Etats.
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Bruxelles : la ville où plusieurs milliers de lobbies dirigent l’Union européenne !

Aux abords des institutions européennes, il existe 2500 structures de groupes de pression et plus de 15 000 lobbyistes : ce qui fait de Bruxelles le deuxième pôle de lobbying après Washington. Pour mieux comprendre ces réseaux d’influences, les réalisateurs de la vidéo ci-dessous ont rencontré certains de leurs membres. Pascal Keineis représente à lui seul quarante multinationales dans le secteur des services, des banques et des assurances et du tourisme, soit 50% du PNB de l’UE. A l’opposé, Olivier Hoedeman a créé il y a vingt ans un observatoire pour cerner l’influence de l’industrie sur les décisions de Bruxelles. Au début de ses recherches, il avait notamment découvert l’existence de l’ERT, groupe de pression réunissant les plus gros industriels européens.

Pas de sapin à Bruxelles cette année

Le grand sapin de Noël, érigé traditionnellement sur la Grand-Place de Bruxelles, ne verra pas le jour cette année. Lui sera substituée une structure métallique, sans âme, à l’image du parlement bétonné qui siège dans cette ville.

Cette initiative, qui suscite évidemment de vives réactions, est notamment dénoncée par le député bruxelloise Bianca Debaets (CD&V), dont le communiqué est à la base de la polémique. Les autorités nient toute pression communautaire de la part des musulmans, sans cependant convaincre tout le monde.

Femmes injuriées dans les rues de Bruxelles: « dans 95% des cas, ce serait par des Maghrébins »

Sofie Peeters, étudiante flamande, jette un pavé dans la mare avec son documentaire “Femme de la rue”, diffusé jeudi sur une chaîne néerlandophone.
Pour faire simple et vous faire gagner du temps, nous avons sélectionné pour vous les quelques passages en français de la bande-annonce du documentaire (tournés en caméra cachée à Bruxelles) :

“Je suis originaire de Louvain, mais je suis venue habiter à Bruxelles, dans le quartier Anneessens, il y a deux ans, pour mes études”, explique la jeune femme. “J’ai été surprise de voir que chaque fois que je sortais en rue, j’étais la cible des remarques des hommes.” Des simples sifflets aux remarques carrément vulgaires du style “c’est combien?”.
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Combien nous coûte l’eurodéputée Karima Delli ?

Karima Delli, 30 ans, fait partie des 14 députés européens d’Europe Ecologie – Les Verts. Elle dévoile en détail le coût pour le contribuable d’un eurodéputé. On compte 736 eurodéputés, dont 72 Français. Karima Delli a détaillé ses salaires ainsi que toutes ses dépenses. Ses revenus mensuels nets se montent à 8 580,33 euros : salaire + indemnités de présence. Plus 26 700 euros mensuels pour ses frais. Continuer la lecture de « Combien nous coûte l’eurodéputée Karima Delli ? »

L’UE nous impose les poulets américains malades, au nom du libre-échange

Depuis que les Français mangent moins de bœuf parce qu’on leur a dit qu’ils consommaient trop de viande et que c’est mauvais pour le cholestérol et le cancer, ils se rabattent sur le blanc de poulet. Cela, selon la formule « je ne mange presque plus de viande, seulement du poulet » ; parce que le poulet, ce n’est pas vraiment de la viande – d’ailleurs, ce machin à deux pattes n’est pas non plus vraiment un animal, n’est-ce pas ? On tuait déjà dans le monde 35 milliards de poulets par an. Maintenant ça fera 40… Mais, du coup, nos camps de concentration à poulets ne suffisent plus et nos amis américains arrivent avec les leurs pour nous dépanner. Mauvaise surprise !

En raison de l’insalubrité de leurs méthodes d’élevage industriel, 40 % en moyenne sont infestés de salmonellose. Pas de problème : il suffit de tremper les bestioles dans un bain chloré et le tour est joué… Sauf que le chlore est très toxique ! Du coup, vingt États de l’Union européenne n’en veulent pas. Toujours pas de problème : puisque les Américains vendent cette saloperie au regard du libre-échange (obligé) entre les États partenaires de l’Organisation mondiale du commerce (OMC), Bruxelles a voté l’obligation d’importer le poulet étasunien. Donc les Français devront manger du poulet à l’eau de Javel. Ça, c’est de la démocratie !
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Retraite à 50 ans avec 9.000 euros par mois pour les fonctionnaires de l’UE

Cette année, 340 fonctionnaires partent à la retraite anticipée à 50 ans avec une pension de 9.000 Euros par mois.
Les technocrates européens jouissent de véritables retraites de nababs…

Exemples :

Giovanni Buttarelli, qui occupe le poste de « contrôleur adjoint de la protection des données », aura acquis après seulement 1 an et 11 mois de service (en novembre 2010), une retraite de 1 515 € / mois. L’équivalent de ce que touche, en moyenne, un salarié français du secteur privé après une carrière complète (40 ans).

Son collègue, Peter Hustinx, vient de voir son contrat de cinq ans renouvelé. Après 10 années, lui aura droit à près de 9 000 € de retraite / mois.

Roger Grass, greffier à la Cour de justice européenne, va toucher 12 500 € de retraite par mois.

Pernilla Lindh, juge au Tribunal de première instance, 12 900 € / mois.

Damaso Ruiz-Jarabo Colomer, avocat général, 14 000 € / mois. Continuer la lecture de « Retraite à 50 ans avec 9.000 euros par mois pour les fonctionnaires de l’UE »

L’indépendance budgétaire des Etats en ligne de mire de Bruxelles

Le prétexte était trop beau : la monnaie européenne est menacée par la quasi-faillite de l’État grec; le coupable est donc la politique budgétaire indépendante des Etats; supprimons cette indépendance ! C’est le plan du Soviet suprême de la Commission européenne de Bruxelles, révélé aujourd’hui par le journal La Tribune.

Les États de la zone euro ne sont plus maîtres de leur politique monétaire depuis 2002, celle-ci étant contrôlée par la Banque Centrale Européenne.

La politique budgétaire des États demeure le dernier levier de politique économique indépendant de Bruxelles, malgré les contraintes du pacte de stabilité, empêchant notamment de laisser filer les déficits d’un pays.
La soumettre à vérification et approbation de la Commission des ronds de cuir de Bruxelles signifie la fin de la souveraineté des Etats :
budget de défense trop important, plan de retraites pas assez libéral ? La Commission oppose une désapprobation préalable et fait jouer la menace d’amendes lourdes.

Pomme de terre OGM : Bruxelles aux ordres des multinationales

Une fois de plus, Bruxelles a fait le choix des multinationales des OGM contre la majorité des citoyens européens.

La Commission européenne a autorisé hier la culture d’Amflora, pomme de terre génétiquement modifiée de la firme agrochimique allemande Basf.

La Commission européenne a également approuvé la mise sur le marché de trois produits contenant du maïs génétiquement modifié, pour l’alimentation humaine et animale mais pas pour la culture.

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